A l'initiative de ECS (Euro communication système) se tient la première édition du SIPO (Salon international du produit original). Ouvert hier mercredi 28 mars 2012 à la Caistab au Plateau, il prend fin le vendredi 30 mars 2012.
Ouvrant le salon, M. Denis Bouhoussou, directeur général de l'OIPI (Office ivoirien de la propriété intellectuelle) représentant le ministre d'Etat, ministre de l'Industrie, Dosso Moussa, a indiqué que "la contrefaçon peut engendrer la mort lorsqu'elle concerne un secteur important comme celui des médicaments". Pour l’expert, la contrefaçon concerne l'industrie du luxe et la pharmaceutique en passant par les biens de consommation. Pour lui, la contrefaçon qui englobe la reproduction illégale des produits industriels est une source de préoccupation pour le gouvernement ivoirien et bien que les statistiques ne sont pas encore disponibles, on a une idée de l'ampleur de ce "fléau" au vu des dégâts causés et aucun secteur n'est épargné. Il s'est donc réjoui de l'organisation du SIPO, car, il inculque à la consommation de produits originaux ce qui permet de se mettre à l'abri des produits dangereux. La contrefaçon menace l'économie nationale et la santé des populations. Il a terminé en annonçant une série de mesures que le gouvernement compte mettre en place pour combattre ce "fléau". Mais avant, c'est à Daniel Ziallo, qu'est revenu l'honneur de débuter les allocutions en qualité d'organisateur du salon. Il a marqué son engagement et son intérêt pour la lutte contre la contrefaçon d'où la tenue de ce salon qui s'inscrit dans le redressement économique de la Côte d'Ivoire. Et d'apprécier le soutien et la disponibilité du ministre d'Etat, avant de saluer l'expertise et l'expérience de l'OMPI (organisation mondiale de la propriété intellectuelle), de l'OIPI et du BURIDA, structures de grande utilité dans la lutte pour la propriété intellectuelle. Pour lui, consommer original, c'est lutter contre la contrefaçon qui représente 9 à 10% du commerce mondial. Revenant sur l'ampleur et les conséquences de ce "fléau" sur la vie des populations, il a insisté sur le fait que "son salon" va ouvrir le débat pour une prise en charge du danger et une sensibilisation à terme pour lutter efficacement contre ce fléau et ainsi contribuer à l'essor de la Côte d'Ivoire. Intervenant au nom des consommateurs, le PCA de la FACACI (fédération des associations des consommateurs actifs de Côte d'Ivoire), Marius Comoé, a souligné que les Ivoiriens meurent à petit feu car les produits contrefaits pullulent sur les marchés ivoiriens. Il a soutenu que toutes les maladies alimentaires que nous avons proviennent de la contrefaçon et a conclu sur cette exhortation : ‘’le mouvement consommateur va s'approprier la lutte conter la contrefaçon qui est une initiative salutaire pour l'ensemble des populations ivoiriennes’’.
L'IA présent au SIPO
"Le quotidien dont vous avez rêvé" tient un stand parmi la dizaine d'exposants présents au premier jour de ce salon. De l'avis de Brice Akéréni, responsable commercial de l'IA, cette présence n'a d'autre but que de soutenir l'original et lutter par ricochet contre la contrefaçon dont est aussi victime son groupe de presse. "Nous avons en effet constaté un réseau parallèle de vente de journaux qui pénalise nos efforts et ventes mais ne vous inquiétez pas. Nous y remédierons au plus vite", ajoute t-il. Pour le responsable commercial de l’IA, "c'est un honneur d'être le seul quotidien de la presse écrite présent à ce salon. Cela dénote de la confiance des organisateurs et surtout du sérieux de la publication qui est partenaire de l'évènement et qui compte l'accompagner pour les autres défis". Au SIPO, n'oubliez pas de visiter le stand de l'IA, vous y découvrirez les quotidiens du jour mais aussi les mensuels qu'édite le groupe sans oublier le livre témoignage de son directeur général, Alafé Wakili, a-t-il conclu.
Franck O
Ouvrant le salon, M. Denis Bouhoussou, directeur général de l'OIPI (Office ivoirien de la propriété intellectuelle) représentant le ministre d'Etat, ministre de l'Industrie, Dosso Moussa, a indiqué que "la contrefaçon peut engendrer la mort lorsqu'elle concerne un secteur important comme celui des médicaments". Pour l’expert, la contrefaçon concerne l'industrie du luxe et la pharmaceutique en passant par les biens de consommation. Pour lui, la contrefaçon qui englobe la reproduction illégale des produits industriels est une source de préoccupation pour le gouvernement ivoirien et bien que les statistiques ne sont pas encore disponibles, on a une idée de l'ampleur de ce "fléau" au vu des dégâts causés et aucun secteur n'est épargné. Il s'est donc réjoui de l'organisation du SIPO, car, il inculque à la consommation de produits originaux ce qui permet de se mettre à l'abri des produits dangereux. La contrefaçon menace l'économie nationale et la santé des populations. Il a terminé en annonçant une série de mesures que le gouvernement compte mettre en place pour combattre ce "fléau". Mais avant, c'est à Daniel Ziallo, qu'est revenu l'honneur de débuter les allocutions en qualité d'organisateur du salon. Il a marqué son engagement et son intérêt pour la lutte contre la contrefaçon d'où la tenue de ce salon qui s'inscrit dans le redressement économique de la Côte d'Ivoire. Et d'apprécier le soutien et la disponibilité du ministre d'Etat, avant de saluer l'expertise et l'expérience de l'OMPI (organisation mondiale de la propriété intellectuelle), de l'OIPI et du BURIDA, structures de grande utilité dans la lutte pour la propriété intellectuelle. Pour lui, consommer original, c'est lutter contre la contrefaçon qui représente 9 à 10% du commerce mondial. Revenant sur l'ampleur et les conséquences de ce "fléau" sur la vie des populations, il a insisté sur le fait que "son salon" va ouvrir le débat pour une prise en charge du danger et une sensibilisation à terme pour lutter efficacement contre ce fléau et ainsi contribuer à l'essor de la Côte d'Ivoire. Intervenant au nom des consommateurs, le PCA de la FACACI (fédération des associations des consommateurs actifs de Côte d'Ivoire), Marius Comoé, a souligné que les Ivoiriens meurent à petit feu car les produits contrefaits pullulent sur les marchés ivoiriens. Il a soutenu que toutes les maladies alimentaires que nous avons proviennent de la contrefaçon et a conclu sur cette exhortation : ‘’le mouvement consommateur va s'approprier la lutte conter la contrefaçon qui est une initiative salutaire pour l'ensemble des populations ivoiriennes’’.
L'IA présent au SIPO
"Le quotidien dont vous avez rêvé" tient un stand parmi la dizaine d'exposants présents au premier jour de ce salon. De l'avis de Brice Akéréni, responsable commercial de l'IA, cette présence n'a d'autre but que de soutenir l'original et lutter par ricochet contre la contrefaçon dont est aussi victime son groupe de presse. "Nous avons en effet constaté un réseau parallèle de vente de journaux qui pénalise nos efforts et ventes mais ne vous inquiétez pas. Nous y remédierons au plus vite", ajoute t-il. Pour le responsable commercial de l’IA, "c'est un honneur d'être le seul quotidien de la presse écrite présent à ce salon. Cela dénote de la confiance des organisateurs et surtout du sérieux de la publication qui est partenaire de l'évènement et qui compte l'accompagner pour les autres défis". Au SIPO, n'oubliez pas de visiter le stand de l'IA, vous y découvrirez les quotidiens du jour mais aussi les mensuels qu'édite le groupe sans oublier le livre témoignage de son directeur général, Alafé Wakili, a-t-il conclu.
Franck O