Le ministère de l’Agriculture, avec l’appui du DGDI (Don de gouvernance et de développement institutionnel), organise depuis le vendredi 30 mars 2012, au N’Sa hôtel de Grand-Bassam, un atelier d’actualisation et de validation de la stratégie de communication dudit ministère pour rendre l’information agricole économique et financière disponible à tous les acteurs.
M. Coulibaly Sangafowa, ministre de l’Agriculture, s’est réjoui de ce que le thème s’inscrit dans la priorité de son département ministériel. «Le secteur agricole connaît aujourd’hui un déficit de l’investissement», a-t-il déploré. Au regard de cette faiblesse, le ministre ivoirien de l’Agriculture a exposé sa vision. «Pour donner à ce programme toutes les chances de réussite, il y aura des réformes au niveau de la communication agricole», a-t-il dévoilé. Des stratégies ont été définies par le ministre de l’Agriculture pour permettre à l’ensemble des participants de disposer d’un instrument pour l’atteinte des objectifs. Il s’agit, selon lui, de l’amélioration de la consommation locale, l’exportation des produits agricoles, la production en quantité et en qualité, du renforcement de la bonne gouvernance, la valorisation du métier d’agriculteur, la communication intra et interprofessionnelle. Les résultats attendus sont l’identification de la nature et des sources d’information, des vecteurs pour véhiculer l’information et des sources de financement. Avant lui, Bertin Akrou, coordonnateur adjoint du DGDI, a dit qu’après «38 mois de mise en œuvre, le DGDI enregistre au 8 mars 2012, un taux de décaissement de 75,12% et la mise en main de plus de 100% de ses activités». Plusieurs réformes ont été entamées dans les secteurs pétroliers et celui du café-cacao. «Pour atteindre un tel objectif, la communication tient une place de choix en tant qu’instrument de bonne gouvernance. Elle permet la transparence par la diffusion de l’information utile et vraie», a-t-il souligné. Avant d’exhorter les ministères à s’approprier cet outil de communication.
Armand K
M. Coulibaly Sangafowa, ministre de l’Agriculture, s’est réjoui de ce que le thème s’inscrit dans la priorité de son département ministériel. «Le secteur agricole connaît aujourd’hui un déficit de l’investissement», a-t-il déploré. Au regard de cette faiblesse, le ministre ivoirien de l’Agriculture a exposé sa vision. «Pour donner à ce programme toutes les chances de réussite, il y aura des réformes au niveau de la communication agricole», a-t-il dévoilé. Des stratégies ont été définies par le ministre de l’Agriculture pour permettre à l’ensemble des participants de disposer d’un instrument pour l’atteinte des objectifs. Il s’agit, selon lui, de l’amélioration de la consommation locale, l’exportation des produits agricoles, la production en quantité et en qualité, du renforcement de la bonne gouvernance, la valorisation du métier d’agriculteur, la communication intra et interprofessionnelle. Les résultats attendus sont l’identification de la nature et des sources d’information, des vecteurs pour véhiculer l’information et des sources de financement. Avant lui, Bertin Akrou, coordonnateur adjoint du DGDI, a dit qu’après «38 mois de mise en œuvre, le DGDI enregistre au 8 mars 2012, un taux de décaissement de 75,12% et la mise en main de plus de 100% de ses activités». Plusieurs réformes ont été entamées dans les secteurs pétroliers et celui du café-cacao. «Pour atteindre un tel objectif, la communication tient une place de choix en tant qu’instrument de bonne gouvernance. Elle permet la transparence par la diffusion de l’information utile et vraie», a-t-il souligné. Avant d’exhorter les ministères à s’approprier cet outil de communication.
Armand K
