Le tourisme s’impose aujourd’hui comme un « secteur incontournable du développement économique et des échanges internationaux », a fait observer, lundi, le ministre ivoirien du Tourisme, Charles Aké Atchimon.
Lors de la cérémonie d’ouverture du séminaire sur la politique régionale touristique , M. Aké Atchimon a souligné que dans ce contexte plutôt favorable, les Etats membres de l’UEMOA ont décidé de conjuguer leurs efforts, en vue de juguler les contraintes structurelles qui minent le secteur, ainsi que valoriser les atouts d’une offre touristique regroupée au sein de l’Union, de manière à pouvoir tirer profit de cette industrie.
Justifiant cette démarche, le ministre a fait remarquer que les problèmes dont souffrent les acteurs du secteur sont pour l’essentiel transnationaux. Il faut donc, a-t-il assuré, une réponse régionale plus efficace que des réponses nationales isolées.
En adoptant le 20 février 2010 l’acte additionnel portant institution de la politique commune du tourisme de l’UEMOA, a-t-il poursuivi, les chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union ont donné un signal fort aux acteurs.
Celui-ci consiste à faire de notre espace communautaire « un marché régional intégré, attractif, offrant des produits touristiques de qualité, diversifiés, visibles et compétitifs sur les marchés émetteurs », a fait savoir Aké Atchimon.
(AIP)
hb/cmas
Lors de la cérémonie d’ouverture du séminaire sur la politique régionale touristique , M. Aké Atchimon a souligné que dans ce contexte plutôt favorable, les Etats membres de l’UEMOA ont décidé de conjuguer leurs efforts, en vue de juguler les contraintes structurelles qui minent le secteur, ainsi que valoriser les atouts d’une offre touristique regroupée au sein de l’Union, de manière à pouvoir tirer profit de cette industrie.
Justifiant cette démarche, le ministre a fait remarquer que les problèmes dont souffrent les acteurs du secteur sont pour l’essentiel transnationaux. Il faut donc, a-t-il assuré, une réponse régionale plus efficace que des réponses nationales isolées.
En adoptant le 20 février 2010 l’acte additionnel portant institution de la politique commune du tourisme de l’UEMOA, a-t-il poursuivi, les chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union ont donné un signal fort aux acteurs.
Celui-ci consiste à faire de notre espace communautaire « un marché régional intégré, attractif, offrant des produits touristiques de qualité, diversifiés, visibles et compétitifs sur les marchés émetteurs », a fait savoir Aké Atchimon.
(AIP)
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