C’est cet après-midi (15h30) que l’Asec Mimosas joue son match retour des 16èmes de finale de la coupe de la confédération contre l’Etoile filante de Ouagadougou au stade Félix Houphouët-Boigny. On se souvient qu’au match aller, il y a deux semaines, l’Asec Mimosas et l’équipe burkinabé se sont quittés dos à dos (2-2) à Ouagadougou. Au regard de ce résultat, les Mimos sont plus proches de la qualification. Parce qu’un nul (0-0) ou (1-1) qualifierait les ivoiriens. Mais en vérité, cette qualification est loin d’être gagnée pour l’Asec Mimosas qui aura une bonne équipe en face. En conséquence les jaunes et noir doivent aborder cette rencontre dans l’esprit d’un nouveau match. Et le défenseur Okou Zahui et ses coéquipiers l’ont bien compris. « Il s’agit d’un autre match, différent de celui de Ouagadougou. Nous l’aborderons avec une énorme envie de le gagner, parce que les matches à domicile doivent être toujours gagnés. Nous essayerons d’inscrire au moins un but, en première mi-temps, sans en prendre », a déclaré le défenseur Okou Zahui sur le site de son club. Les Mimos ont préparé cette rencontre avec beaucoup de rigueur à Sol béni. Et la défaite contre la JCAT en championnat, dit-on, a été vite oubliée.
Les burkinabés arrivent avec beaucoup de détermination pour la conquête du ticket des 8èmes de finale. Le fait d’avoir réussi à inscrire deux buts face à l’Asec leur donne du zèle et ils espèrent beaucoup. Ce sera donc un match très ouvert que l’Asec devra aborder avec intelligence. La balle est dans le camp de l’entraineur Sébastien Désabre pour définir une stratégie, ayant vu les forces et faiblesses des burkinabés.
E. T
Les burkinabés arrivent avec beaucoup de détermination pour la conquête du ticket des 8èmes de finale. Le fait d’avoir réussi à inscrire deux buts face à l’Asec leur donne du zèle et ils espèrent beaucoup. Ce sera donc un match très ouvert que l’Asec devra aborder avec intelligence. La balle est dans le camp de l’entraineur Sébastien Désabre pour définir une stratégie, ayant vu les forces et faiblesses des burkinabés.
E. T