Grand-Bassam -La Commission électorale indépendante (CEI) tient depuis mercredi, à Grand-Bassam, à une vingtaine de km au sud-est d’Abidjan, un atelier d’évaluation des élections qu’elle a organisées ces dernières années en Côte d’Ivoire, en vue de mieux affronter les prochaines échéances municipales et régionales.
Lors de la cérémonie d’ouverture qui a vu la présence de plusieurs diplomates et de plusieurs partenaires financiers et techniques de l’institution, le président Youssouf Bakayoko a souligné que, face aux fréquentes récriminations dont la CEI est l’objet après la tenue des élections présidentielles et législatives, il est important de marquer un arrêt pour jeter un œil sur le rétroviseur, en vue de faire des recommandations pour parfaire davantage le déroulement des élections locales à venir.
"J’entends encore trop souvent les récriminations des professionnels de l’insatisfaction qui nous prédisent un avenir inquiétant, pour avoir des scrupules à dire au contraire et avec force. Nous avions une mission, nous l’avons remplie", a déclaré Youssouf Bakayoko qui rappelé que beaucoup a été fait par la CEI et ses partenaires pour l’avancée de la démocratie en Côte d’Ivoire.
"Les Ivoiriens n’étaient même plus des citoyens puisque nul système d’identification existait. Aujourd’hui, notre système d’identification biométrique nous place en avance sur le continent", a-t-il fait savoir, notant que malgré de nombreux obstacles, les élections présidentielles et législatives ont répondu aux standards internationaux.
Pour le président de la CEI, la tâche n’est pas pour autant terminée, au regard de l’importance des futures élections régionales et municipales qui restent à organiser, a-t-il ajouté.
"Notre tâche est donc loin d’être achevée. Les élections locales terminées, il sera tout juste temps de nous atteler à l’organisation des futures élections nationales et la boucle sera bouclée", a expliqué le président Bakayoko.
Quatre commissions seront chargées de réfléchir sur les sous-thèmes : "cadre légal et réglementaire", "formation, éducation civique et communication", "opérations électorales" et "logistique et sécurité".
L’atelier qui se tient, en partenariat avec l’ONG américaine IFES, s’achève vendredi, avec des recommandations pertinentes, pour faire de la CEI une structure incontournable dans le domaine des élections en Côte d’Ivoire, a conclu le premier responsable de l’institution.
(AIP)
kp
Lors de la cérémonie d’ouverture qui a vu la présence de plusieurs diplomates et de plusieurs partenaires financiers et techniques de l’institution, le président Youssouf Bakayoko a souligné que, face aux fréquentes récriminations dont la CEI est l’objet après la tenue des élections présidentielles et législatives, il est important de marquer un arrêt pour jeter un œil sur le rétroviseur, en vue de faire des recommandations pour parfaire davantage le déroulement des élections locales à venir.
"J’entends encore trop souvent les récriminations des professionnels de l’insatisfaction qui nous prédisent un avenir inquiétant, pour avoir des scrupules à dire au contraire et avec force. Nous avions une mission, nous l’avons remplie", a déclaré Youssouf Bakayoko qui rappelé que beaucoup a été fait par la CEI et ses partenaires pour l’avancée de la démocratie en Côte d’Ivoire.
"Les Ivoiriens n’étaient même plus des citoyens puisque nul système d’identification existait. Aujourd’hui, notre système d’identification biométrique nous place en avance sur le continent", a-t-il fait savoir, notant que malgré de nombreux obstacles, les élections présidentielles et législatives ont répondu aux standards internationaux.
Pour le président de la CEI, la tâche n’est pas pour autant terminée, au regard de l’importance des futures élections régionales et municipales qui restent à organiser, a-t-il ajouté.
"Notre tâche est donc loin d’être achevée. Les élections locales terminées, il sera tout juste temps de nous atteler à l’organisation des futures élections nationales et la boucle sera bouclée", a expliqué le président Bakayoko.
Quatre commissions seront chargées de réfléchir sur les sous-thèmes : "cadre légal et réglementaire", "formation, éducation civique et communication", "opérations électorales" et "logistique et sécurité".
L’atelier qui se tient, en partenariat avec l’ONG américaine IFES, s’achève vendredi, avec des recommandations pertinentes, pour faire de la CEI une structure incontournable dans le domaine des élections en Côte d’Ivoire, a conclu le premier responsable de l’institution.
(AIP)
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