Contrairement à l’annonce faite en début de semaine par le ministre du Commerce, Dagobert Banzio, Le prix du riz sur les marchés du détail n’a pas changé. Au lendemain de la publication de la nouvelle tarification de variétés de riz, «L’Eléphant » s’est rendu sur les différents marchés du détaillant pour s’enquérir des réalités. Hélas ! La réalité est tout autre.
Aucune diminution du prix du riz n’est effective. Pourtant, des documents distribués par le ministère du Commerce pour imposer les nouveaux prix aux commerçants sont uniquement affichés que dans les hyper et supermarchés. De Yopougon à Abobo, en passant par la commune d’Attécoubé et Adjamé, le constat est le même. Le prix du riz sur les marchés du détaillant n’a pas changé. Idem pour les marchés de la commune de Cocody. Véritable comédie entre les commerçants et le gouvernement. Quelques commerçants interrogés à Abobo souhaitent que le ministre du commerce se rende sur les marchés plutôt que dans les grands magasins pour s’imprégner de la réalité des décisions prises. Avant de se réjouir de l’effectivité de la diminution du prix du riz. « Le gouvernement pense que nous sommes responsables de l’augmentation du prix du riz. C’est faux », déclare un commerçant. Avant d’ajouter que l’Etat doit faire d’énormes sacrifices dans la lutte contre la cherté de la vie. « Afin de permettre aux commerçants du détaillant de ne pas faire faillite », a-t-il conclu. En réalité, il n’est rien d’une quelconque diminution. Le ministre du Commerce, selon la nouvelle réglementation demande aux commerçants du détaillant de vendre par exemple le kg du riz Uncle Sam 100% brisure à 445f au lieu de 450f sur le marché du détaillant, le kg du riz Uncle Sam cassé une fois à 543,11f au lieu de 550f et le riz papillon à 367f au lieu de 400f. Nous pensons qu’une réduction de 5 à 10f est loin de réduire la cherté de la vie.
J.H.A.
Aucune diminution du prix du riz n’est effective. Pourtant, des documents distribués par le ministère du Commerce pour imposer les nouveaux prix aux commerçants sont uniquement affichés que dans les hyper et supermarchés. De Yopougon à Abobo, en passant par la commune d’Attécoubé et Adjamé, le constat est le même. Le prix du riz sur les marchés du détaillant n’a pas changé. Idem pour les marchés de la commune de Cocody. Véritable comédie entre les commerçants et le gouvernement. Quelques commerçants interrogés à Abobo souhaitent que le ministre du commerce se rende sur les marchés plutôt que dans les grands magasins pour s’imprégner de la réalité des décisions prises. Avant de se réjouir de l’effectivité de la diminution du prix du riz. « Le gouvernement pense que nous sommes responsables de l’augmentation du prix du riz. C’est faux », déclare un commerçant. Avant d’ajouter que l’Etat doit faire d’énormes sacrifices dans la lutte contre la cherté de la vie. « Afin de permettre aux commerçants du détaillant de ne pas faire faillite », a-t-il conclu. En réalité, il n’est rien d’une quelconque diminution. Le ministre du Commerce, selon la nouvelle réglementation demande aux commerçants du détaillant de vendre par exemple le kg du riz Uncle Sam 100% brisure à 445f au lieu de 450f sur le marché du détaillant, le kg du riz Uncle Sam cassé une fois à 543,11f au lieu de 550f et le riz papillon à 367f au lieu de 400f. Nous pensons qu’une réduction de 5 à 10f est loin de réduire la cherté de la vie.
J.H.A.
