La représentante-résidente du Haut-commissariat des Nations-Unies pour les Réfugiés (HCR) en Côte d'Ivoire Anne Encontre, a été reçue en audience le 20 avril 2012, par le Premier ministre Ahoussou Kouadio Jeannot, à son cabinet. Elle a dressé un bilan de l’opération de rapatriement volontaire des réfugiés ivoiriens.
A sa sortie d’audience, elle a fait savoir que sa présence à la primature est relative à la définition des axes prioritaires du partenariat du UNHCR (Haut Commissariat des Réfugiés)/ Etat de Côte d’Ivoire. Il s’agira à l’en croire, d’établir une base de données, un registre central en Côte d’Ivoire pour tous les réfugiés Ivoiriens et aussi ceux vivant en Côte d’Ivoire. « De plus en plus, il y a la stabilité. Jusqu’à présent, nous avons reçu 5000 réfugiés ivoiriens, notamment de l’ouest qui sont rentrés. Nous avons aussi reçu d’autres venant du Ghana, du Togo et quelques uns de la Guinée », a-t-elle indiqué. S’agissant des réfugiés vivant sur le territoire ivoirien, elle a annoncé la cessation de leur statut et de leur prise en charge à partir du 30 juin 2012. « Nous sommes en train de faire une vérification parce que les réfugiés qui se trouvent en Côte d’Ivoire pour la plupart sont des Libériens. Nous avons annoncé une clause de cessation de statuts de réfugiés pour les Libériens. Qui va prendre fin le 30 juin de cette année. Et nous voudrons qu’ils soient pour le rapatriement volontaire », a-t-elle souligné. C’est pourquoi, elle souhaite qu’ils optent pour le retour volontaire au Liberia parce que la stabilité y est revenue. Autre choix qui s’offre à eux, c’est « d’opter pour le statut de citoyen de la CEDEAO puisqu’ils ont pour la majorité déjà passé 20 ans en Côte d’Ivoire ». A ce sujet, elle a révélé que le HCR, le gouvernement ivoirien et le SAARA (Service d’aide et assistance aux refugiés et apatrides) travaille de concert avec les réfugiés libériens pour qu’ils « puissent décider de leur avenir ».
K. Hyacinthe
A sa sortie d’audience, elle a fait savoir que sa présence à la primature est relative à la définition des axes prioritaires du partenariat du UNHCR (Haut Commissariat des Réfugiés)/ Etat de Côte d’Ivoire. Il s’agira à l’en croire, d’établir une base de données, un registre central en Côte d’Ivoire pour tous les réfugiés Ivoiriens et aussi ceux vivant en Côte d’Ivoire. « De plus en plus, il y a la stabilité. Jusqu’à présent, nous avons reçu 5000 réfugiés ivoiriens, notamment de l’ouest qui sont rentrés. Nous avons aussi reçu d’autres venant du Ghana, du Togo et quelques uns de la Guinée », a-t-elle indiqué. S’agissant des réfugiés vivant sur le territoire ivoirien, elle a annoncé la cessation de leur statut et de leur prise en charge à partir du 30 juin 2012. « Nous sommes en train de faire une vérification parce que les réfugiés qui se trouvent en Côte d’Ivoire pour la plupart sont des Libériens. Nous avons annoncé une clause de cessation de statuts de réfugiés pour les Libériens. Qui va prendre fin le 30 juin de cette année. Et nous voudrons qu’ils soient pour le rapatriement volontaire », a-t-elle souligné. C’est pourquoi, elle souhaite qu’ils optent pour le retour volontaire au Liberia parce que la stabilité y est revenue. Autre choix qui s’offre à eux, c’est « d’opter pour le statut de citoyen de la CEDEAO puisqu’ils ont pour la majorité déjà passé 20 ans en Côte d’Ivoire ». A ce sujet, elle a révélé que le HCR, le gouvernement ivoirien et le SAARA (Service d’aide et assistance aux refugiés et apatrides) travaille de concert avec les réfugiés libériens pour qu’ils « puissent décider de leur avenir ».
K. Hyacinthe