(Madame la Directrice générale Christine Lagarde), Messieurs les Ministres, Monsieur l’Administrateur, Madame la Directrice du Département Afrique, chers participants, c’est pour moi, un honneur de prendre la parole au nom de mes collègues de la zone UEMOA pour dire quelques mots avant que soit ouverte la séance de discussions.
Je voudrais d’abord remercier la Direction générale et le Département Afrique du FMI d’avoir initié cette réunion de haut niveau sur le « Renforcement de la Stabilité et de la Croissance dans l’UEMOA dans un Environnement Incertain ». L’ensemble des mes collègues et moi-même apprécions cette initiative notamment pour deux raisons. D’abord, c’est une marque d’attention à l’égard de notre zone monétaire, qu’en dépit du calendrier chargé des Réunions de Printemps, l’occasion nous soit donnée de partager les résultats de la consultation régionale au titre de l’Article IV, et d’échanger directement avec les services du FMI sur les grandes conclusions de cet exercice.
La deuxième raison tient au fait que cette réunion vient à son heure. Au moment, en effet, où le monde traverse une crise financière et économique d’une grande ampleur avec des conséquences diverses sur les économies d’Afrique subsaharienne, nous accueillons avec beaucoup de satisfaction toute occasion d’échanger sur les voies et moyens pour nos pays de sortir de cette mauvaise conjoncture et de renforcer la croissance. La zone UEMOA a fait beaucoup de progrès sur le chemin de l’intégration économique et les conseils du FMI nous ont aidés dans cette dynamique. La réunion de ce jour est une autre occasion pour l’approfondissement de cette coopération dont nous appelons le renforcement.
Avant de laisser la parole à mes collègues pour des questions et commentaires à la suite de la présentation de l’équipe du FMI, je voudrais dire que les recommandations contenues dans le rapport qui a sanctionné la récente consultation entre vos services et les institutions de l’UEMOA, ont retenu toute notre attention. Les défis sont nombreux ; qu’il s’agisse des questions de viabilité budgétaire de long terme, de viabilité de la dette, ou des besoins d’investissement notamment en infrastructures, en passant par les chocs qui menacent nos économies comme la sécheresse et l’instabilité sociopolitique dans certains pays de notre sous-région. Le soutien de nos partenaires dont le FMI est crucial dans la recherche de solutions.
Je vous remercie de votre attention.
Je voudrais d’abord remercier la Direction générale et le Département Afrique du FMI d’avoir initié cette réunion de haut niveau sur le « Renforcement de la Stabilité et de la Croissance dans l’UEMOA dans un Environnement Incertain ». L’ensemble des mes collègues et moi-même apprécions cette initiative notamment pour deux raisons. D’abord, c’est une marque d’attention à l’égard de notre zone monétaire, qu’en dépit du calendrier chargé des Réunions de Printemps, l’occasion nous soit donnée de partager les résultats de la consultation régionale au titre de l’Article IV, et d’échanger directement avec les services du FMI sur les grandes conclusions de cet exercice.
La deuxième raison tient au fait que cette réunion vient à son heure. Au moment, en effet, où le monde traverse une crise financière et économique d’une grande ampleur avec des conséquences diverses sur les économies d’Afrique subsaharienne, nous accueillons avec beaucoup de satisfaction toute occasion d’échanger sur les voies et moyens pour nos pays de sortir de cette mauvaise conjoncture et de renforcer la croissance. La zone UEMOA a fait beaucoup de progrès sur le chemin de l’intégration économique et les conseils du FMI nous ont aidés dans cette dynamique. La réunion de ce jour est une autre occasion pour l’approfondissement de cette coopération dont nous appelons le renforcement.
Avant de laisser la parole à mes collègues pour des questions et commentaires à la suite de la présentation de l’équipe du FMI, je voudrais dire que les recommandations contenues dans le rapport qui a sanctionné la récente consultation entre vos services et les institutions de l’UEMOA, ont retenu toute notre attention. Les défis sont nombreux ; qu’il s’agisse des questions de viabilité budgétaire de long terme, de viabilité de la dette, ou des besoins d’investissement notamment en infrastructures, en passant par les chocs qui menacent nos économies comme la sécheresse et l’instabilité sociopolitique dans certains pays de notre sous-région. Le soutien de nos partenaires dont le FMI est crucial dans la recherche de solutions.
Je vous remercie de votre attention.
