Le Groupement des éditeurs de presse de Côte d’Ivoire a organisé sa troisième tribune, le jeudi 19 avril 2012, avec comme invité le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur, Hamed Bakayoko. « Le défis de la sécurité et les nouveaux enjeux de la politique de décentralisation » est le thème qui a été développé par le ministre d’Etat, le ministre de l’Intérieur.
Après Adama Toungara, ministre des Mines, du Pétrole et de l’Energie et Koné Nabagné Bruno, ministre de la Poste et des Technologie de l’information et de la communication, le ministre d’Etat Hamed Bakayoko est venu à la « Tribune du GEPCI », pour parler de son plan d’action à la tête du ministère de l’Intérieur. Les organisateurs de cette rencontre ont choisi la salle des fêtes de l’hôtel Ivoire pour la circonstance et au cours d’un petit-déjeuner servi à l’ensemble des invités, Hamed Bakayoko a fait l’état des lieux de la police nationale, avant et après la crise postélectorale en Côte d’Ivoire. Pour mener les débats et éviter tous les débordements, les membres du bureau du GEPCI ont désigné Alfred Dan Moussa, « journaliste émérite », selon le maître de cérémonie, Alafé Wakili, Directeur Général de « L’Intelligent d’Abidjan », qui était très actif pour servir de courroie entre le ministre de l’Intérieur et tous les intervenants. Le directeur général de l’Institut des sciences et techniques de la communication (ISTC), Alfred Dan Moussa, ne s’est pas dérobé à cette tâche. Il a insisté, avant l’entame des séries de questions-réponses, sur la précision dans les questions et le strict respect de ces consignes. 18 personnes ont pris la parole pour exposer leurs préoccupations au premier policier de Côte d’Ivoire, qui a répondu en tout à 22 questions. Sans faux-fuyant, sans langue de bois. « Le ministre a répondu à toutes ces questions, c’est un homme de conviction, il a parlé avec engagement. Il ne fait jamais les choses à moitié. Je lui demandais s’il s’attendait à gérer un jour le portefeuille de l’Intérieur et il m’a répondu : « Pas tellement ». Aujourd’hui, il est dans l’étoffe du ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur. Le président de la République lui fait confiance, il l’a dit tout à l’heure et si on pense qu’il peut partir du gouvernement, les gens se trompent. Je pense qu’il a parlé avec le vocabulaire de tous les jours, mais aussi avec le vocabulaire soutenu et vous l’avez relevé, le ministre nous a entretenus et on n’a pas vu le temps passé. Je n’ai pas de note à donner, mais je pars enrichi puisque je ne l’étais en venant ici et je pense que c’est le cas de la plupart d’entre vous, sinon de tous », a noté Alfred Dan Moussa. « Vous n’avez donné de note, mais on la devine aisément », a renchéri le maître de cérémonie, Alafé Wakili qui n’a pas manqué de faire un clin d’œil au partenaire du GEPCI, Moov-Côte d’Ivoire, dont l’implication a été pour beaucoup dans la réussite de la rencontre, de même que celle des collaborateurs du ministre de l’Intérieur, notamment le service de communication. A preuve, le « standing ovation » spontané des participants à la rencontre a achevé de convaincre que le ministre de l’Intérieur est l’homme qu’il faut, à la place qu’il faut.
Solidarité gouvernementale
Plusieurs membres du gouvernement étaient présents dans la salle des fêtes de l’hôtel Ivoire, pour soutenir le ministre Hamed Bakayoko. Il s’agit du ministre de la Promotion du logement, Mme Kaba Nialé, du ministre de la Poste et des technologies de l’information et de la communication, Koné Nabagné Bruno et du ministre auprès de la présidence de la République, chargé de la Défense, Paul Koffi Koffi. Le chef d’état-major général des FRCI, le général de division Soumaïla Bakayoko, représenté par son adjoint, le général de brigade Détho Letho Firmin, le commandant supérieur de la gendarmerie nationale, le général de brigade Kouassi Gervais, étaient également présents. A côté d’eux, il y avait également Sy Savané, Haute autorité de la communication audiovisuelle (HACA) et Mme Konan Payne, directrice du CICG. Le maire de Treichville, Amichia François, président de l’UVICOCI, le maire intérimaire de Marcory, Lamine Diabagaté, entre autres, étaient aussi présents. C’est devant ce parterre de personnalités que le président du GEPCI, Amédée Assi a traduit la volonté des membres de son bureau à « mensualiser » cette tribune d’échanges, qui se tenait tous les deux mois. « En organisant la présente rencontre, le GEPCI s’inscrit dans une démarche on ne peut plus citoyenne. En effet, les éditeurs de presse ont décidé d’apporter une valeur ajoutée à l’information des populations, en donnant l’occasion aux hommes et aux femmes reconnus pour leurs qualités professionnelles et morales, de s’exprimer sur des sujets de grande importance », a indiqué Amédée Assi, qui n’a pas « douté que le conférencier qui n’est autre que le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur, rompu aux arcanes de la gestion de la cité, fera une prestation à l’aune des attentes des professionnels des médias », a-t-il dit tout en renouvelant ses remerciements aux ministres Adama Toungara et Koné Bruno, les invités de la première et de la deuxième « Tribune du GEPCI ». Effectivement, Hamed Bakayoko n’a pas déçu. Il a donné des réponses claires et précises aux différentes questions posées par les journalistes et les acteurs de secteur de la sécurité. « Dans mon domaine, je me battrai avec acharnement, avec engagement, avec volonté pour que les choses avancent, pour que les choses changent. Les choses ont avancé, de nombreux efforts ont été faits (…) C’est le résultat de grand lobbying, de grandes discussions, de grandes sensibilisations dans tous les domaines (…) Dans tous les pays du monde il y a chaque jour un peu d’insécurité, mais du travail a été fait. Nous n’allons pas lâcher, nous allons continuer (…) Tous les pays qui ont fait des bonds qualitatifs le doivent à la prise de conscience et à la prise en main de leur destin par les filles et les fils de ces pays. Chacun doit faire sa part dans son domaine », a souhaité le ministre d’Etat Hamed Bakayoko.
Olivier Dion
Après Adama Toungara, ministre des Mines, du Pétrole et de l’Energie et Koné Nabagné Bruno, ministre de la Poste et des Technologie de l’information et de la communication, le ministre d’Etat Hamed Bakayoko est venu à la « Tribune du GEPCI », pour parler de son plan d’action à la tête du ministère de l’Intérieur. Les organisateurs de cette rencontre ont choisi la salle des fêtes de l’hôtel Ivoire pour la circonstance et au cours d’un petit-déjeuner servi à l’ensemble des invités, Hamed Bakayoko a fait l’état des lieux de la police nationale, avant et après la crise postélectorale en Côte d’Ivoire. Pour mener les débats et éviter tous les débordements, les membres du bureau du GEPCI ont désigné Alfred Dan Moussa, « journaliste émérite », selon le maître de cérémonie, Alafé Wakili, Directeur Général de « L’Intelligent d’Abidjan », qui était très actif pour servir de courroie entre le ministre de l’Intérieur et tous les intervenants. Le directeur général de l’Institut des sciences et techniques de la communication (ISTC), Alfred Dan Moussa, ne s’est pas dérobé à cette tâche. Il a insisté, avant l’entame des séries de questions-réponses, sur la précision dans les questions et le strict respect de ces consignes. 18 personnes ont pris la parole pour exposer leurs préoccupations au premier policier de Côte d’Ivoire, qui a répondu en tout à 22 questions. Sans faux-fuyant, sans langue de bois. « Le ministre a répondu à toutes ces questions, c’est un homme de conviction, il a parlé avec engagement. Il ne fait jamais les choses à moitié. Je lui demandais s’il s’attendait à gérer un jour le portefeuille de l’Intérieur et il m’a répondu : « Pas tellement ». Aujourd’hui, il est dans l’étoffe du ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur. Le président de la République lui fait confiance, il l’a dit tout à l’heure et si on pense qu’il peut partir du gouvernement, les gens se trompent. Je pense qu’il a parlé avec le vocabulaire de tous les jours, mais aussi avec le vocabulaire soutenu et vous l’avez relevé, le ministre nous a entretenus et on n’a pas vu le temps passé. Je n’ai pas de note à donner, mais je pars enrichi puisque je ne l’étais en venant ici et je pense que c’est le cas de la plupart d’entre vous, sinon de tous », a noté Alfred Dan Moussa. « Vous n’avez donné de note, mais on la devine aisément », a renchéri le maître de cérémonie, Alafé Wakili qui n’a pas manqué de faire un clin d’œil au partenaire du GEPCI, Moov-Côte d’Ivoire, dont l’implication a été pour beaucoup dans la réussite de la rencontre, de même que celle des collaborateurs du ministre de l’Intérieur, notamment le service de communication. A preuve, le « standing ovation » spontané des participants à la rencontre a achevé de convaincre que le ministre de l’Intérieur est l’homme qu’il faut, à la place qu’il faut.
Solidarité gouvernementale
Plusieurs membres du gouvernement étaient présents dans la salle des fêtes de l’hôtel Ivoire, pour soutenir le ministre Hamed Bakayoko. Il s’agit du ministre de la Promotion du logement, Mme Kaba Nialé, du ministre de la Poste et des technologies de l’information et de la communication, Koné Nabagné Bruno et du ministre auprès de la présidence de la République, chargé de la Défense, Paul Koffi Koffi. Le chef d’état-major général des FRCI, le général de division Soumaïla Bakayoko, représenté par son adjoint, le général de brigade Détho Letho Firmin, le commandant supérieur de la gendarmerie nationale, le général de brigade Kouassi Gervais, étaient également présents. A côté d’eux, il y avait également Sy Savané, Haute autorité de la communication audiovisuelle (HACA) et Mme Konan Payne, directrice du CICG. Le maire de Treichville, Amichia François, président de l’UVICOCI, le maire intérimaire de Marcory, Lamine Diabagaté, entre autres, étaient aussi présents. C’est devant ce parterre de personnalités que le président du GEPCI, Amédée Assi a traduit la volonté des membres de son bureau à « mensualiser » cette tribune d’échanges, qui se tenait tous les deux mois. « En organisant la présente rencontre, le GEPCI s’inscrit dans une démarche on ne peut plus citoyenne. En effet, les éditeurs de presse ont décidé d’apporter une valeur ajoutée à l’information des populations, en donnant l’occasion aux hommes et aux femmes reconnus pour leurs qualités professionnelles et morales, de s’exprimer sur des sujets de grande importance », a indiqué Amédée Assi, qui n’a pas « douté que le conférencier qui n’est autre que le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur, rompu aux arcanes de la gestion de la cité, fera une prestation à l’aune des attentes des professionnels des médias », a-t-il dit tout en renouvelant ses remerciements aux ministres Adama Toungara et Koné Bruno, les invités de la première et de la deuxième « Tribune du GEPCI ». Effectivement, Hamed Bakayoko n’a pas déçu. Il a donné des réponses claires et précises aux différentes questions posées par les journalistes et les acteurs de secteur de la sécurité. « Dans mon domaine, je me battrai avec acharnement, avec engagement, avec volonté pour que les choses avancent, pour que les choses changent. Les choses ont avancé, de nombreux efforts ont été faits (…) C’est le résultat de grand lobbying, de grandes discussions, de grandes sensibilisations dans tous les domaines (…) Dans tous les pays du monde il y a chaque jour un peu d’insécurité, mais du travail a été fait. Nous n’allons pas lâcher, nous allons continuer (…) Tous les pays qui ont fait des bonds qualitatifs le doivent à la prise de conscience et à la prise en main de leur destin par les filles et les fils de ces pays. Chacun doit faire sa part dans son domaine », a souhaité le ministre d’Etat Hamed Bakayoko.
Olivier Dion
