Ils ont confirmé tout le bien qu’on pensait d’eux. Donnant par la même occasion, raison à tous ceux qui doutaient de leur sincérité à prendre part au Dialogue républicain. Présent à la cérémonie d’ouverture et représenté par Danon Djédjé et Marie-dette Lorougnon, le FPI a tout simplement boudé la clôture. Ses représentants «excusés» pour aller préparer leur convention. Ainsi donc, les responsables de l’ancien parti au pouvoir n’ont pas jugé utile de prendre part à la clôture, donc n’ont pas apposé leur signature au bas du document d’une douzaine de pages, signé par le ¨Premier ministre Jeannot Kouadio-Ahoussou, Laurent Dona Fologo, président du Rassemblement pour la paix, le progrès et le partage (RPP), Mamadou Kouliobaly, président de Liberté de démocratie pour la république (Lider), Henri Niava, secrétaire national aux relations extérieures de l’Union des Sociaux démocrates (USD), Kabran Appiah, président du Mouvement national citoyen-alternatrive (MNC) Gervais Coulibaly, président du Cap Unir pour la démocratie et le développement (Cap-UDD), Mel Eg Théodore président de l’Union démocratique et citoyenne (UDCY), Coulibaly Jérôme, secrétaire général du Rassemblement du peuple de Côte d’Ivoire (RPCI), Danielle Boni-Claverie, présidente de l’Union républicaine pour la démocratie (URD), Henriette Lagou Adjoua, présidente du Renouveau pour la paix et la concorde (RPC), Oulé Tia Séraphin, président du Rassemblement pour la démocratie et la paix (RDP) et enfin par Irié Bi Irié, président de l’Union des démocrates pour le progrès (UDP). Comme on le constate, toutes les parties se sont engagées à œuvrer pour le retour de la paix et la cohésion entre pouvoir et opposition. Comment qualifier cette volte-face du FPI?
Une fuite en avant et pas plus. Parce que, c’est justement l’argument de la Convention qui avait été avancé pour justifier son absence. Puis, on ne sait trop pourquoi, ses responsables ont confirmé leur présence. Assister à l’ouverture du Conclave et participer aux travaux à huis clos puis, vers la fin, avancer des arguments qui ne tiennent pas la route pour ‘’quitter les lieux’’, c’est faire un pas en avant et deux en arrière. C’est tout simplement dire non. En réalité, le FPI s’est livré à son jeu favori: la fuite en avant, le double-jeu. Ce n’est pas aujourd’hui qu’il changera sa façon de s’asseoir, ce molosse!
YMA
Une fuite en avant et pas plus. Parce que, c’est justement l’argument de la Convention qui avait été avancé pour justifier son absence. Puis, on ne sait trop pourquoi, ses responsables ont confirmé leur présence. Assister à l’ouverture du Conclave et participer aux travaux à huis clos puis, vers la fin, avancer des arguments qui ne tiennent pas la route pour ‘’quitter les lieux’’, c’est faire un pas en avant et deux en arrière. C’est tout simplement dire non. En réalité, le FPI s’est livré à son jeu favori: la fuite en avant, le double-jeu. Ce n’est pas aujourd’hui qu’il changera sa façon de s’asseoir, ce molosse!
YMA