Bouna - Des classes attribuées aux professeurs contractuels ne sont pas du goût de certains titulaires qui grincent des dents au lycée moderne de Bouna.
L’établissement secondaire qui avait un déficit en enseignants a reçu depuis le 16 avril une quarantaine de contractuels dans toutes les matières, à l’exception des langues vivantes 2, a-t-on noté.
Cette nouvelle qui provoque un soulagement chez les parents et les élèves, crée plutôt une situation conflictuelle entre des enseignants titulaires et le proviseur d’une part, et entre les contractuels et les titulaires à qui des classes d’examen ont été retirées.
Un des professeurs titulaires, Mlle Tahiba, a décrié la situation, soulignant qu’à un mois de l’arrêt des notes, elle s’explique mal qu’on lui retire une classe de terminale pour l’attribuer à un nouvel arrivant.
Une rencontre a eu lieu, vendredi, entre le chef de l’établissement et les enseignants concernés, en vue de trouver une solution à ce conflit qui risque de créer des agréments aux élèves en classes d’examen.
(aip)
ibt/ngj/kp
L’établissement secondaire qui avait un déficit en enseignants a reçu depuis le 16 avril une quarantaine de contractuels dans toutes les matières, à l’exception des langues vivantes 2, a-t-on noté.
Cette nouvelle qui provoque un soulagement chez les parents et les élèves, crée plutôt une situation conflictuelle entre des enseignants titulaires et le proviseur d’une part, et entre les contractuels et les titulaires à qui des classes d’examen ont été retirées.
Un des professeurs titulaires, Mlle Tahiba, a décrié la situation, soulignant qu’à un mois de l’arrêt des notes, elle s’explique mal qu’on lui retire une classe de terminale pour l’attribuer à un nouvel arrivant.
Une rencontre a eu lieu, vendredi, entre le chef de l’établissement et les enseignants concernés, en vue de trouver une solution à ce conflit qui risque de créer des agréments aux élèves en classes d’examen.
(aip)
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