Le Conseil économique et social a procédé, hier, au Plateau à la validation des réflexions sur «Le ménage, acteur du développement». Ces réflexions
qui ont réuni des spécialistes en économie, médecine, droit, des religieux, etc. ont permis de faire des suggestions à l’effet de contribuer à l’émergence d’une Côte d’Ivoire nouvelle. L’éducation, le droit, le social, l’économie, l’environnement et la culture constituent la boussole des projets. Ainsi, dès 6 ans, il est proposé d’éduquer les enfants sur le fonctionnement de la République, le respect des symboles de la nation, en les sensibilisant au sens de la responsabilité
avec des supports ludiques. Tout en valorisant la notion de l’effort dans le travail depuis l’école primaire.
La vie communautaire ne doit pas être également négligée. Et dans le souci d’apprendre à bien gérer un budget familial, lorsque l’enfant sera adulte, il
devra s’initier à la gestion à partir de 6 ans. Car un des problèmes cruciaux des ménages réside dans la mauvaise gestion. D’où une politique consistant à trouver de meilleures méthodes incitatives à une gestion rationnelle des revenus.
Le Conseil se préoccupe également des échecs scolaires. C’est pourquoi, il envisage de réduire de 80% ces échecs d’ici à 2020. Ce qui passe, entre autres, par l’implication des parents d’élèves dans le travail scolaire en développant
l’apprentissage.
Au chapitre juridique, le document exhorte à la connaissance, au respect de la loi et à être un modèle d’entrepreneur. Au niveau social, la population est invitée à avoir un comportement citoyen, à s’informer sur les droits et devoirs des actes administratifs.
A développer la solidarité.
Les entreprises, elles, sont invitées à instaurer une couverture sociale de leurs salariés.
Dans le secteur économique, il est proposé le développement de la consommation des produits ivoiriens, la promotion des entreprises agricoles.
S’agissant de l’environnement, il est question de poursuivre la sensibilisation à un environnement sanitaire et social assaini afin de contribuer à la santé de la population et au développement d’une conscience écologique.
La dimension culturelle fait état de la création de salons, des expositions et festivals. Le président du Ces a confié que si le ménage est équilibré, il est source de création de la richesse. Cela participe à la stabilité de la nation. Et au bien-être des populations.
Le Conseil, sous la présidence de Marcel Zadi Kessy, veut ainsi souscrire à l’ambition affichée du Président de la République, Alassane ouattara de faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent, dira Jean Misme, directeur des études du Ces. En jouant sa partition dans la renaissance promise de la Côte d’Ivoire.
En soutenant l’action gouvernementale.
S’appuyant sur une enquête relative au niveau de vie des ménages de 2008, le taux de pauvreté est passé de 38,4 % en 2002 à 48,9 % en 2008. C’est pourquoi, le directeur des études du Ces qui a lu la présentation des projets élaborés avec des experts, a souligné que la relance de l’économie nationale passera par la promotion d’une politique créatrice de richesses pour les ménages appauvris par la valse de crises dans le pays.
Les participants ont souligné que les propositions visent à l’amélioration du cadre de vie, l’élaboration de projets rentables, l’apprentissage de l’épargne. Le ministre d’Etat, ministre de l’Industrie, Dosso Moussa, a salué la démarche du président Zadi Kessy qui concourt à un changement de comportement, une esquisse de solution à la réinsertion sociale des jeunes et des femmes.
CHRISTIAN DALLET
qui ont réuni des spécialistes en économie, médecine, droit, des religieux, etc. ont permis de faire des suggestions à l’effet de contribuer à l’émergence d’une Côte d’Ivoire nouvelle. L’éducation, le droit, le social, l’économie, l’environnement et la culture constituent la boussole des projets. Ainsi, dès 6 ans, il est proposé d’éduquer les enfants sur le fonctionnement de la République, le respect des symboles de la nation, en les sensibilisant au sens de la responsabilité
avec des supports ludiques. Tout en valorisant la notion de l’effort dans le travail depuis l’école primaire.
La vie communautaire ne doit pas être également négligée. Et dans le souci d’apprendre à bien gérer un budget familial, lorsque l’enfant sera adulte, il
devra s’initier à la gestion à partir de 6 ans. Car un des problèmes cruciaux des ménages réside dans la mauvaise gestion. D’où une politique consistant à trouver de meilleures méthodes incitatives à une gestion rationnelle des revenus.
Le Conseil se préoccupe également des échecs scolaires. C’est pourquoi, il envisage de réduire de 80% ces échecs d’ici à 2020. Ce qui passe, entre autres, par l’implication des parents d’élèves dans le travail scolaire en développant
l’apprentissage.
Au chapitre juridique, le document exhorte à la connaissance, au respect de la loi et à être un modèle d’entrepreneur. Au niveau social, la population est invitée à avoir un comportement citoyen, à s’informer sur les droits et devoirs des actes administratifs.
A développer la solidarité.
Les entreprises, elles, sont invitées à instaurer une couverture sociale de leurs salariés.
Dans le secteur économique, il est proposé le développement de la consommation des produits ivoiriens, la promotion des entreprises agricoles.
S’agissant de l’environnement, il est question de poursuivre la sensibilisation à un environnement sanitaire et social assaini afin de contribuer à la santé de la population et au développement d’une conscience écologique.
La dimension culturelle fait état de la création de salons, des expositions et festivals. Le président du Ces a confié que si le ménage est équilibré, il est source de création de la richesse. Cela participe à la stabilité de la nation. Et au bien-être des populations.
Le Conseil, sous la présidence de Marcel Zadi Kessy, veut ainsi souscrire à l’ambition affichée du Président de la République, Alassane ouattara de faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent, dira Jean Misme, directeur des études du Ces. En jouant sa partition dans la renaissance promise de la Côte d’Ivoire.
En soutenant l’action gouvernementale.
S’appuyant sur une enquête relative au niveau de vie des ménages de 2008, le taux de pauvreté est passé de 38,4 % en 2002 à 48,9 % en 2008. C’est pourquoi, le directeur des études du Ces qui a lu la présentation des projets élaborés avec des experts, a souligné que la relance de l’économie nationale passera par la promotion d’une politique créatrice de richesses pour les ménages appauvris par la valse de crises dans le pays.
Les participants ont souligné que les propositions visent à l’amélioration du cadre de vie, l’élaboration de projets rentables, l’apprentissage de l’épargne. Le ministre d’Etat, ministre de l’Industrie, Dosso Moussa, a salué la démarche du président Zadi Kessy qui concourt à un changement de comportement, une esquisse de solution à la réinsertion sociale des jeunes et des femmes.
CHRISTIAN DALLET
