Abidjan, Le ministre de la Poste et des TIC, Bruno Nabagné Koné a animé lundi à l’hôtel Pullman (Plateau, Abidjan) une conférence de presse en vue de mieux informer les populations des avantages attendus par le déploiement de services mobiles 3ème génération (3G) en Côte d’Ivoire et sur l’Ordonnance portant code des télécommunications.
Après l’annonce de la tenue d’un bilan semestriel en juillet, le ministre a explicité les différentes étapes et les travaux effectués en amont, depuis 2004, qui ont abouti à la prise du décret n°2011-496 du 29 décembre 2011 définissant les modalités d’attribution des autorisations d’utilisation de fréquences radioélectriques pour l’établissement et l’exploitation de réseaux de télécommunication de 3ème génération (3G).
M. Bruno Koné qui a dit ouvrir totalement les livres de son département sur les deux sujets susmentionnés, a souligné la transparence dans tout le processus d’attribution de la licence 3 G aux trois premiers opérateurs satisfaisant aux conditions, à savoir Orange, MTN et Moov Côte d’Ivoire.
Tout en soulignant qu’une seule licence reste disponible pour les trois opérateurs de téléphonie mobile restant, le premier responsable des TIC a assuré que le premier d’entre eux qui sera à jour de ses engagements vis-à-vis de l’Etat et présentera un dossier conforme se verra aussitôt attribuer cette licence.
« Il n’ ya rien d’anormal qui ce soit passé là, (…) l’Etat n’a fait aucun cadeau à quelqu’un », a martelé le ministre des TIC qui a rappelé que chacun des opérateurs a payé six milliards FCFA à l’Etat en contrepartie de l’attribution de la licence 3G.
Face aux critiques qualifiées de « surréalistes » d’une certaine presse qui l’accuse de diverses mauvaises pratiques dans l’attribution de la licence 3G à un opérateur mobile, en l’occurrence Moov, Bruno Koné a réitéré que l’Agence des télécommunications de Côte d’Ivoire (ATCI), en tant que structure sous sa tutelle, ne devrait prendre, après tant d’autres actions, des décisions unilatérales, sans consultation ou information préalable de son département.
Bruno Nabagné Koné a réitéré que sa responsabilité et celle de l’Etat sont de faire en sorte que la Côte d’Ivoire soit l’un des pionniers africains en matière de TIC. « Je souhaite qu’on nous comprenne, qu’on nous fasse confiance et qu’on nous porte des contradictions (…) pour faire avancer le pays », a-t-il dit, soulignant que toutes les mesures prises dans le secteur des télécommunications visent surtout l’intérêt des populations.
(AIP)
cmas
Après l’annonce de la tenue d’un bilan semestriel en juillet, le ministre a explicité les différentes étapes et les travaux effectués en amont, depuis 2004, qui ont abouti à la prise du décret n°2011-496 du 29 décembre 2011 définissant les modalités d’attribution des autorisations d’utilisation de fréquences radioélectriques pour l’établissement et l’exploitation de réseaux de télécommunication de 3ème génération (3G).
M. Bruno Koné qui a dit ouvrir totalement les livres de son département sur les deux sujets susmentionnés, a souligné la transparence dans tout le processus d’attribution de la licence 3 G aux trois premiers opérateurs satisfaisant aux conditions, à savoir Orange, MTN et Moov Côte d’Ivoire.
Tout en soulignant qu’une seule licence reste disponible pour les trois opérateurs de téléphonie mobile restant, le premier responsable des TIC a assuré que le premier d’entre eux qui sera à jour de ses engagements vis-à-vis de l’Etat et présentera un dossier conforme se verra aussitôt attribuer cette licence.
« Il n’ ya rien d’anormal qui ce soit passé là, (…) l’Etat n’a fait aucun cadeau à quelqu’un », a martelé le ministre des TIC qui a rappelé que chacun des opérateurs a payé six milliards FCFA à l’Etat en contrepartie de l’attribution de la licence 3G.
Face aux critiques qualifiées de « surréalistes » d’une certaine presse qui l’accuse de diverses mauvaises pratiques dans l’attribution de la licence 3G à un opérateur mobile, en l’occurrence Moov, Bruno Koné a réitéré que l’Agence des télécommunications de Côte d’Ivoire (ATCI), en tant que structure sous sa tutelle, ne devrait prendre, après tant d’autres actions, des décisions unilatérales, sans consultation ou information préalable de son département.
Bruno Nabagné Koné a réitéré que sa responsabilité et celle de l’Etat sont de faire en sorte que la Côte d’Ivoire soit l’un des pionniers africains en matière de TIC. « Je souhaite qu’on nous comprenne, qu’on nous fasse confiance et qu’on nous porte des contradictions (…) pour faire avancer le pays », a-t-il dit, soulignant que toutes les mesures prises dans le secteur des télécommunications visent surtout l’intérêt des populations.
(AIP)
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