Après sa visite du terrain, le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur s’est prêté aux questions des journalistes
LP : Quels sont vos impressions après la visite de terrain?
Hamed Bakayoko : On a beaucoup de travail à faire. La situation n’est pas bonne au niveau des habitations à risque. La menace directe sur les populations est permanente. Le gouvernement a prévu un plan de délocalisation de ces familles qui sont en danger afin que la saison des pluies ne soit pas une occasion de grands deuils pour la nation. Je voudrais sensibiliser les familles. Je crois que la vie est à préserver. Il faut faire quelque chose. Il ne faudrait pas que les populations s’opposent aux messages de sensibilisation du gouvernement. Ce n’est pas contre les populations mais la situation est ainsi faite. On n’a pas envie de venir à chaque occasion de deuil apporter la compassion. Nous venons dire aux populations de quitter les zones à risque. Un pécule est prévu pour accompagner les familles dans le processus de relocalisation. Je demande aux familles concernées de ne pas faire de résistance. Les 22 bassins sont identifiés à Abobo, ceux qui les occupent sont connus, mais les gens font de la résistance. Je pense qu’ils doivent comprendre que c’est dans leur intérêt de quitter ces zones. Nous avons également visité les commissariats de la commune d’Abobo. Nous vu des efforts à faire en mobilité et en réhabilitation. Dès la semaine prochaine, nous allons prendre des dispositions pour palier à ces insuffisances qui ont été évidentes.
LP : Est-ce qu’il y a un plan d’urgence pour le 13è arrondissement qui est totalement en ruine?
HB : Oui, il aura un plan d’urgence pour le 13è arrondissement. Nous avons vu les conditions inimaginables dans lesquelles les policiers travaillent dans ce commissariat. Je pense qu’il faut les saluer, saluer leur courage. Dès lundi un opérateur sera désigné pour que rapidement, dans un mois voir 45 jours, le 13è arrondissement soit réhabilité.
Propos recueillis par LO
LP : Quels sont vos impressions après la visite de terrain?
Hamed Bakayoko : On a beaucoup de travail à faire. La situation n’est pas bonne au niveau des habitations à risque. La menace directe sur les populations est permanente. Le gouvernement a prévu un plan de délocalisation de ces familles qui sont en danger afin que la saison des pluies ne soit pas une occasion de grands deuils pour la nation. Je voudrais sensibiliser les familles. Je crois que la vie est à préserver. Il faut faire quelque chose. Il ne faudrait pas que les populations s’opposent aux messages de sensibilisation du gouvernement. Ce n’est pas contre les populations mais la situation est ainsi faite. On n’a pas envie de venir à chaque occasion de deuil apporter la compassion. Nous venons dire aux populations de quitter les zones à risque. Un pécule est prévu pour accompagner les familles dans le processus de relocalisation. Je demande aux familles concernées de ne pas faire de résistance. Les 22 bassins sont identifiés à Abobo, ceux qui les occupent sont connus, mais les gens font de la résistance. Je pense qu’ils doivent comprendre que c’est dans leur intérêt de quitter ces zones. Nous avons également visité les commissariats de la commune d’Abobo. Nous vu des efforts à faire en mobilité et en réhabilitation. Dès la semaine prochaine, nous allons prendre des dispositions pour palier à ces insuffisances qui ont été évidentes.
LP : Est-ce qu’il y a un plan d’urgence pour le 13è arrondissement qui est totalement en ruine?
HB : Oui, il aura un plan d’urgence pour le 13è arrondissement. Nous avons vu les conditions inimaginables dans lesquelles les policiers travaillent dans ce commissariat. Je pense qu’il faut les saluer, saluer leur courage. Dès lundi un opérateur sera désigné pour que rapidement, dans un mois voir 45 jours, le 13è arrondissement soit réhabilité.
Propos recueillis par LO