Le Président du conseil d’administration (PCA) de l’Africa Sports d’Abidjan, Koné Cheick Oumar et l’ensemble de ses proches étaient hier jeudi 17 mai 2012, face à la presse, suite à la sanction de la commission de discipline de la Fédération ivoirienne de football, relative à l’affaire Inaï Stéphane Desson ou « Pélé Guéré ».
C’est le cabinet du PCA de l’Africa Sports d’Abidjan, sis au Plateau, qui a servi de cadre à la réaction des dirigeants vert et rouge. Sangaré Mohamadou, secrétaire exécutif du club, a planté le décor en indiquant que l’Africa Sports d’Abidjan a été sanctionné par la FIF le mercredi 16 mai 2012 à propos du joueur Inaï Stéphane Desson. La commission de discipline de la Fédération, à en croire le secrétaire exécutif, a suspendu le joueur pour 24 mois pour avoir menti sur son identité, et condamné l’Africa à une amende d’un million FCFA et la perte du match Africa-Bassam du 29 avril 2012. Pour Sangaré Mohamadou, la FIF avait déjà débouté Bassam sur cette même affaire. Mais contre toute attente, la commission qui s’est autosaisie après que le joueur eut fait des révélations dans la presse, a cru bon de sanctionner l’Africa. Pour Sangaré Mohamadou, l’Africa a introduit une demande de qualification d’Inaï Stéphane Desson sur la base des données fournies par la FIF. S’il y a donc problème sur le joueur en question, la faute incombe à la FIF. Et par conséquent, l’Africa ne saurait être responsable. Assemien Kassi, le secrétaire administratif en charge des qualifications des joueurs, a précisé que la FIF reconnaît bien le joueur Inaï Stéphane Desson dont l’ancienneté est connue dans les données de la Fédération. Il a fait savoir qu’une demande introduite pour la qualification dudit joueur avait été rejetée pour signature non-conforme. Et qu’il a fallu qu’Inaï Stéphane revoie sa signature pour être qualifié. Il dit donc ne pas comprendre la tournure des événements, si on ne peut plus se fier aux données de la FIF. Koné Cheick Oumar, après l’exposé de ses collaborateurs, n’y est pas allé du dos de la cuillère pour asséner ses vérités. «La FIF a certifié nos recherches avant la procédure de qualifications des joueurs. S’il y a problème, c’est que la FIF nous a induits en erreur. L’Africa est fatigué des complots de la FIF», dira-t-il avant que le mercure ne monte : «on ne peut pas comprendre qu’on en veuille à un club», de la sorte. Dans la mesure où, révèle-t-il, c’est «l’Africa qui a installé cette Fédération». Parce que «nous avons cru qu’ils étaient capables de développer le football ivoirien». Koné Cheick Oumar visiblement fâché avec le président Sidy Diallo, martèlera : «Nous sommes prêts à lâcher cette Fédération».
Dans les jours à venir, l’Africa, a-t-il annoncé, portera plainte contre la FIF, en plus d’introduire un recours. Cependant, le club vert et rouge refuse d’aller devant la commission de discipline tant qu’elle sera dirigée par Bogui Charles. «Bogui Charles a un problème avec l’Africa ou avec son président». Pour Koné Cheick Oumar, l’Africa sera champion malgré les complots et autres combines de la FIF. Toutefois, il a invité la FIF à revoir sa copie et à œuvrer pour le développement du cuir en Côte d’Ivoire. «La FIF doit se ressaisir. Je ne me tairai pas sur les conneries de la FIF», a conclu Koné Cheick Oumar.
Annoncia Sehoué
C’est le cabinet du PCA de l’Africa Sports d’Abidjan, sis au Plateau, qui a servi de cadre à la réaction des dirigeants vert et rouge. Sangaré Mohamadou, secrétaire exécutif du club, a planté le décor en indiquant que l’Africa Sports d’Abidjan a été sanctionné par la FIF le mercredi 16 mai 2012 à propos du joueur Inaï Stéphane Desson. La commission de discipline de la Fédération, à en croire le secrétaire exécutif, a suspendu le joueur pour 24 mois pour avoir menti sur son identité, et condamné l’Africa à une amende d’un million FCFA et la perte du match Africa-Bassam du 29 avril 2012. Pour Sangaré Mohamadou, la FIF avait déjà débouté Bassam sur cette même affaire. Mais contre toute attente, la commission qui s’est autosaisie après que le joueur eut fait des révélations dans la presse, a cru bon de sanctionner l’Africa. Pour Sangaré Mohamadou, l’Africa a introduit une demande de qualification d’Inaï Stéphane Desson sur la base des données fournies par la FIF. S’il y a donc problème sur le joueur en question, la faute incombe à la FIF. Et par conséquent, l’Africa ne saurait être responsable. Assemien Kassi, le secrétaire administratif en charge des qualifications des joueurs, a précisé que la FIF reconnaît bien le joueur Inaï Stéphane Desson dont l’ancienneté est connue dans les données de la Fédération. Il a fait savoir qu’une demande introduite pour la qualification dudit joueur avait été rejetée pour signature non-conforme. Et qu’il a fallu qu’Inaï Stéphane revoie sa signature pour être qualifié. Il dit donc ne pas comprendre la tournure des événements, si on ne peut plus se fier aux données de la FIF. Koné Cheick Oumar, après l’exposé de ses collaborateurs, n’y est pas allé du dos de la cuillère pour asséner ses vérités. «La FIF a certifié nos recherches avant la procédure de qualifications des joueurs. S’il y a problème, c’est que la FIF nous a induits en erreur. L’Africa est fatigué des complots de la FIF», dira-t-il avant que le mercure ne monte : «on ne peut pas comprendre qu’on en veuille à un club», de la sorte. Dans la mesure où, révèle-t-il, c’est «l’Africa qui a installé cette Fédération». Parce que «nous avons cru qu’ils étaient capables de développer le football ivoirien». Koné Cheick Oumar visiblement fâché avec le président Sidy Diallo, martèlera : «Nous sommes prêts à lâcher cette Fédération».
Dans les jours à venir, l’Africa, a-t-il annoncé, portera plainte contre la FIF, en plus d’introduire un recours. Cependant, le club vert et rouge refuse d’aller devant la commission de discipline tant qu’elle sera dirigée par Bogui Charles. «Bogui Charles a un problème avec l’Africa ou avec son président». Pour Koné Cheick Oumar, l’Africa sera champion malgré les complots et autres combines de la FIF. Toutefois, il a invité la FIF à revoir sa copie et à œuvrer pour le développement du cuir en Côte d’Ivoire. «La FIF doit se ressaisir. Je ne me tairai pas sur les conneries de la FIF», a conclu Koné Cheick Oumar.
Annoncia Sehoué