La fumée blanche va sortir dimanche enfin d’après-midi à l’hôtel Belle Côte, à Cocody-Riviera Palmeraie. Et le nouveau président de l’Union Nationale des Journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI) sera connu. Il succèdera à Mam Camara, qui vient d’achever le mandat de Criwa Zéli, malheureusement décédé en février 2010, des suites d’un mal pernicieux qui le rongeait. Le rideau tombera ainsi sur le 8ème Congrès ordinaire de l’Unjci…
Vingt-quatre heures plus tôt, la pêche aux voix (des électeurs) aura été très âpre entre les deux candidats en lice. D’un côté, Moussa Traoré dit « MT », Directeur de Publication de L’Expression, qui conduit la liste « Solidarité et renouveau », et de l’autre Benson Pierre Acka, journaliste à RTI1, la tête de la liste « Professionnalisme et renforcement des acquis ».
Même si l’élection du président de l’Unjci est le point d’orgue de ces assises, elle ne cristallisera pas, à elle seule, toute l’énergie des congressistes. Plusieurs autres points seront à l’ordre du jour. Il faut déjà savoir que la cérémonie d’ouverture aura lieu demain samedi, à partir de 9h, en présence du ministre de la Communication, Diakité Coty Souleïmane. Elle sera meublée, comme c’est le cas en pareille circonstance, par une série d’allocutions. Ainsi, après le traditionnel discours de bienvenue livré par le président du Comité d’Organisation, César Etou, les organisations amies du secteur des médias, entre autres le SAAPCI (Syndicat autonome des agents de la presse de Côte d’Ivoire), le SYNAPPCI (Syndicat national des agents de la presse privée de Côte d’Ivoire), l’URPCI (Union des radios de proximité de Côte d’Ivoire), le REPPRELCI( Réseau des professionnels de la presse en ligne de Côte d’Ivoire), la CNDPCI (Coordination nationale des directeurs de publication de Côte d’Ivoire), l’UPF (Union de la presse francophone), le RIAAM( Réseau des instances africaines d’autorégulation des médias), le GEPCI(Groupement des éditeurs de presse de Côte d’Ivoire), par la voix de leurs responsables respectifs, exprimeront leur soutien à l’Unjci. De même, les structures de régulation et d’autorégulation, l’OLPED (Observatoire pour la liberté de la presse, l’éthique et la déontologie), le CNP (Conseil national de la presse) et la HACA (Haute autorité de la communication audiovisuelle), livreront, chacun, leur message. Ensuite, les travaux proprement dits débuteront. Le conseil exécutif sortant fera son bilan moral et financier, suivi du rapport du Conseil d’administration. Puis, ce sera la mise en place des commissions, qui se mettront aussitôt au travail, dans l’après-midi et la soirée. Dimanche matin, les participants se retrouveront, pour les plénières, avec en toile de fond, la lecture des rapports des commissions, l’adoption des motions et recommandations. Et sous les coups de 14h, ce sera l’élection du Conseil exécutif, et celle du Conseil d’administration. A l’issue de cette ultime étape, le nouveau Président de l’union sera acclamé. Il présidera aux destinées de l’Unjci pour les trois prochaines années. Pour lui et son équipe, le plus dur commencera…
Y. Sangaré
Vingt-quatre heures plus tôt, la pêche aux voix (des électeurs) aura été très âpre entre les deux candidats en lice. D’un côté, Moussa Traoré dit « MT », Directeur de Publication de L’Expression, qui conduit la liste « Solidarité et renouveau », et de l’autre Benson Pierre Acka, journaliste à RTI1, la tête de la liste « Professionnalisme et renforcement des acquis ».
Même si l’élection du président de l’Unjci est le point d’orgue de ces assises, elle ne cristallisera pas, à elle seule, toute l’énergie des congressistes. Plusieurs autres points seront à l’ordre du jour. Il faut déjà savoir que la cérémonie d’ouverture aura lieu demain samedi, à partir de 9h, en présence du ministre de la Communication, Diakité Coty Souleïmane. Elle sera meublée, comme c’est le cas en pareille circonstance, par une série d’allocutions. Ainsi, après le traditionnel discours de bienvenue livré par le président du Comité d’Organisation, César Etou, les organisations amies du secteur des médias, entre autres le SAAPCI (Syndicat autonome des agents de la presse de Côte d’Ivoire), le SYNAPPCI (Syndicat national des agents de la presse privée de Côte d’Ivoire), l’URPCI (Union des radios de proximité de Côte d’Ivoire), le REPPRELCI( Réseau des professionnels de la presse en ligne de Côte d’Ivoire), la CNDPCI (Coordination nationale des directeurs de publication de Côte d’Ivoire), l’UPF (Union de la presse francophone), le RIAAM( Réseau des instances africaines d’autorégulation des médias), le GEPCI(Groupement des éditeurs de presse de Côte d’Ivoire), par la voix de leurs responsables respectifs, exprimeront leur soutien à l’Unjci. De même, les structures de régulation et d’autorégulation, l’OLPED (Observatoire pour la liberté de la presse, l’éthique et la déontologie), le CNP (Conseil national de la presse) et la HACA (Haute autorité de la communication audiovisuelle), livreront, chacun, leur message. Ensuite, les travaux proprement dits débuteront. Le conseil exécutif sortant fera son bilan moral et financier, suivi du rapport du Conseil d’administration. Puis, ce sera la mise en place des commissions, qui se mettront aussitôt au travail, dans l’après-midi et la soirée. Dimanche matin, les participants se retrouveront, pour les plénières, avec en toile de fond, la lecture des rapports des commissions, l’adoption des motions et recommandations. Et sous les coups de 14h, ce sera l’élection du Conseil exécutif, et celle du Conseil d’administration. A l’issue de cette ultime étape, le nouveau Président de l’union sera acclamé. Il présidera aux destinées de l’Unjci pour les trois prochaines années. Pour lui et son équipe, le plus dur commencera…
Y. Sangaré