Miss Swan est esthéticienne. Sa particularité, transformer le corps humain. Dans cet entretien, elle raconte ses relations avec les hommes qui font partie de ses clients privilégiés.
Vous êtes esthéticienne, depuis quand exercez-vous cette profession ?
Depuis longtemps.
Quelle est votre particularité ?
Je transforme le corps humain uniquement par des plantes sans chirurgie esthétique, sans opération. Nous commençons depuis la tête jusqu’aux orteils.
Qui sont vos clients ?
Ce sont les hommes, les femmes, les plus jeunes, les pauvres, les plus nantis. Tout le monde.
Que viennent chercher les hommes, ici ?
Certains viennent pour le nettoyage du visage, d’autres pour des produits amincissants au niveau du ventre ou d’autres parties du corps.
Lesquelles ?
Le sexe de l’homme. C’est récurrent et ça marche. Je fais grossir le sexe.
Combien de clients recevez-vous par jour ?
Au niveau de la Côte d’Ivoire, c’est environ 50 hommes par jour. A l’extérieur, on va jusqu’à 150 personnes par jour.
Qu’est-ce qui explique cette forte demande au niveau des hommes ?
Les hommes sont dans le besoin. Quand ils sont dans le cas, ils sont complexés.
Comment arrivez-vous à les satisfaire ?
Chez certaines personnes, la guérison est rapide. Par contre, chez d’autres, elle est lente. On a une gamme de produits de traitement. Il y a des antibiotiques qui complètent la gamme. Les antibiotiques permettent de traiter tout ce qui est d’hémorroïde. Parce que quand l’organisme est malade, le traitement est plus lent.
Est-ce qu’il arrive parfois que des hommes vous sollicitent pour le contraire ?
C’est-à-dire.
Pour amincir le sexe…
Oui. Mais je n’en pas les produits. On en a pour grossir. On fait des recherches toutefois pour arriver un jour à les satisfaire.
Les femmes, aussi, vous sollicitent-elles beaucoup ?
Oui. Mais pour le rétrécissement. La demande est plus forte pendant les fêtes de fin d’année et les vacances. Pendant ces moments, ça marche bien et parfois les produits manquent.
Recevez-vous des clientes qui vous demandent de les aider à grossir leur postérieur ?
Oui, les seins aussi, surtout pour les raffermir.
Travaillez-vous beaucoup plus en Côte d’Ivoire qu’à l’extérieur ? Quels sont vos projets ?
On m’a déjà décerné un prix. Il s’agit du grand prix de la paix et de la relance économique 2011-2012. Il m’a été décerné par l’Observatoire de la bonne gouvernance. Je fais partie de l’association des femmes inventrices de Côte d’Ivoire. Je suis invitée à exposer mes produits au Togo. On me sollicite aux USA pour des consultations. Mon projet immédiat, c’est d’avoir une représentation au Burkina Faso et au Togo. La demande au niveau de l’Afrique de l’Ouest est très forte. Surtout dans ces deux (02) pays.
Comment êtes-vous arrivée à ce métier ?
C’est d’abord un don. Je connais les plantes. Par la suite, je suis aller en Afrique, du Sud pour me perfectionner.
Que conseillez-vous, aujourd’hui, à vos "sœurs" qui, certainement, apprécient ce que vous faites ?
Qu’elles se battent dans la vie. Moi, j’ai vendu au marché de Sicogi avec mes produits sur la tête.
Entretien réalisé par Djè KM
Vous êtes esthéticienne, depuis quand exercez-vous cette profession ?
Depuis longtemps.
Quelle est votre particularité ?
Je transforme le corps humain uniquement par des plantes sans chirurgie esthétique, sans opération. Nous commençons depuis la tête jusqu’aux orteils.
Qui sont vos clients ?
Ce sont les hommes, les femmes, les plus jeunes, les pauvres, les plus nantis. Tout le monde.
Que viennent chercher les hommes, ici ?
Certains viennent pour le nettoyage du visage, d’autres pour des produits amincissants au niveau du ventre ou d’autres parties du corps.
Lesquelles ?
Le sexe de l’homme. C’est récurrent et ça marche. Je fais grossir le sexe.
Combien de clients recevez-vous par jour ?
Au niveau de la Côte d’Ivoire, c’est environ 50 hommes par jour. A l’extérieur, on va jusqu’à 150 personnes par jour.
Qu’est-ce qui explique cette forte demande au niveau des hommes ?
Les hommes sont dans le besoin. Quand ils sont dans le cas, ils sont complexés.
Comment arrivez-vous à les satisfaire ?
Chez certaines personnes, la guérison est rapide. Par contre, chez d’autres, elle est lente. On a une gamme de produits de traitement. Il y a des antibiotiques qui complètent la gamme. Les antibiotiques permettent de traiter tout ce qui est d’hémorroïde. Parce que quand l’organisme est malade, le traitement est plus lent.
Est-ce qu’il arrive parfois que des hommes vous sollicitent pour le contraire ?
C’est-à-dire.
Pour amincir le sexe…
Oui. Mais je n’en pas les produits. On en a pour grossir. On fait des recherches toutefois pour arriver un jour à les satisfaire.
Les femmes, aussi, vous sollicitent-elles beaucoup ?
Oui. Mais pour le rétrécissement. La demande est plus forte pendant les fêtes de fin d’année et les vacances. Pendant ces moments, ça marche bien et parfois les produits manquent.
Recevez-vous des clientes qui vous demandent de les aider à grossir leur postérieur ?
Oui, les seins aussi, surtout pour les raffermir.
Travaillez-vous beaucoup plus en Côte d’Ivoire qu’à l’extérieur ? Quels sont vos projets ?
On m’a déjà décerné un prix. Il s’agit du grand prix de la paix et de la relance économique 2011-2012. Il m’a été décerné par l’Observatoire de la bonne gouvernance. Je fais partie de l’association des femmes inventrices de Côte d’Ivoire. Je suis invitée à exposer mes produits au Togo. On me sollicite aux USA pour des consultations. Mon projet immédiat, c’est d’avoir une représentation au Burkina Faso et au Togo. La demande au niveau de l’Afrique de l’Ouest est très forte. Surtout dans ces deux (02) pays.
Comment êtes-vous arrivée à ce métier ?
C’est d’abord un don. Je connais les plantes. Par la suite, je suis aller en Afrique, du Sud pour me perfectionner.
Que conseillez-vous, aujourd’hui, à vos "sœurs" qui, certainement, apprécient ce que vous faites ?
Qu’elles se battent dans la vie. Moi, j’ai vendu au marché de Sicogi avec mes produits sur la tête.
Entretien réalisé par Djè KM