Le ministre d’Etat, ministre de l’Industrie, Dosso Moussa est très embêté en ce moment. Il lui faut aujourd’hui, dans l’immédiat, près de cent hectares de terrains pour accueillir près de 200 entreprises prêtes à s’installer à Abidjan.
Un réel souci d’indisponibilité d’espaces industriels se pose au premier responsable de secteur de l’industrie en Côte d’Ivoire, le ministre Dosso Moussa. En effet, il lui en faut pour accueillir près de deux cent entreprises qui nourrissent l’ambition de s’installer en terre d’Eburnie. Le ministère d’Etat, ministère de l’Industrie en est conscient. Son premier responsable, Dosso Moussa, réfléchit à la création de nouvelles zones industrielles tant à Abidjan qu’à l’intérieur du pays. Un exercice peu aisé, car nécessitant de nouveaux investissements en termes d’infrastructures nouvelles qui ne sont pas inscrites dans le budget de finances 2012. Déjà, la réalisation d’une étude monographique des zones industrielles d’Abidjan et de l’intérieur du pays, portant sur le répertoire de toutes les zones industrielles de Côte d’Ivoire, nécessite une mobilisation de près de 227 millions de FCFA. Sur 50 millions de FCFA disponibles pour la période 2012, 26,9 millions de FCFA ont déjà été exécutés pour la monographie de la zone industrielle de Yopougon. 150,1 millions de FCFA restent à mobiliser en termes de besoins. Les études à réaliser concernent les zones industrielles de Koumassi (120ha), de Vridi 120ha), du Nord et Sud de San Pedro (50 ha) et les autres réserves industrielles de l’intérieur du pays. La difficulté majeure du ministre Dosso Moussa, c’est le fait que la zone industrielle de Yopougon ait servi à la construction d’habitations. Aujourd’hui, eu égard à la forte demande des nouveaux industriels, le premier responsable de l’industrie est donc confronté à un dilemme. Doit-il chasser les occupants (les habitations) de la zone industrielle ou les laisser continuer d’occuper cet espace ? Pour l’heure, rien n’a encore été décidé. Mais toujours est-il que la réhabilitation de cette zone industrielle s’impose. Selon une étude réalisée par le BNETD, elle coûterait la somme de 34.076,724 millions de FCFA.
Honoré Kouassi
Un réel souci d’indisponibilité d’espaces industriels se pose au premier responsable de secteur de l’industrie en Côte d’Ivoire, le ministre Dosso Moussa. En effet, il lui en faut pour accueillir près de deux cent entreprises qui nourrissent l’ambition de s’installer en terre d’Eburnie. Le ministère d’Etat, ministère de l’Industrie en est conscient. Son premier responsable, Dosso Moussa, réfléchit à la création de nouvelles zones industrielles tant à Abidjan qu’à l’intérieur du pays. Un exercice peu aisé, car nécessitant de nouveaux investissements en termes d’infrastructures nouvelles qui ne sont pas inscrites dans le budget de finances 2012. Déjà, la réalisation d’une étude monographique des zones industrielles d’Abidjan et de l’intérieur du pays, portant sur le répertoire de toutes les zones industrielles de Côte d’Ivoire, nécessite une mobilisation de près de 227 millions de FCFA. Sur 50 millions de FCFA disponibles pour la période 2012, 26,9 millions de FCFA ont déjà été exécutés pour la monographie de la zone industrielle de Yopougon. 150,1 millions de FCFA restent à mobiliser en termes de besoins. Les études à réaliser concernent les zones industrielles de Koumassi (120ha), de Vridi 120ha), du Nord et Sud de San Pedro (50 ha) et les autres réserves industrielles de l’intérieur du pays. La difficulté majeure du ministre Dosso Moussa, c’est le fait que la zone industrielle de Yopougon ait servi à la construction d’habitations. Aujourd’hui, eu égard à la forte demande des nouveaux industriels, le premier responsable de l’industrie est donc confronté à un dilemme. Doit-il chasser les occupants (les habitations) de la zone industrielle ou les laisser continuer d’occuper cet espace ? Pour l’heure, rien n’a encore été décidé. Mais toujours est-il que la réhabilitation de cette zone industrielle s’impose. Selon une étude réalisée par le BNETD, elle coûterait la somme de 34.076,724 millions de FCFA.
Honoré Kouassi