L’atelier de validation des projets d’insertion des jeunes dans le commerce et d’appui à la distribution des produits vivriers tenu les 7 et 8 juin, à l’hôtel Manhattan Suites, s’est refermé vendredi sur une forte note d’optimisme du ministre du Commerce, Dagobert Banzio.
Deux jours durant, les participants à l’atelier de validation des projets d’insertion des jeunes dans le Commerce et d’appui à la distribution des produits vivriers ont profondément réfléchi sur les tenants et les aboutissants de ces projets. Il fallait en cerner tous les contours, afin d’éviter tout risque d’échec. Grâce à la dextérité du directeur de cabinet du ministère du Commerce, Koné Moussa, qui a piloté les travaux, et avec l’expertise du cabinet Afric Consulting Group dirigé par son DG, Lolo Augustin, les travaux ont abouti à un rapport final qui trace le cadre d’exécution de ce vaste et important programme. A charge pour la tutelle de soumettre les conclusions au gouvernement pour validation finale. Etape après laquelle, les projets entreront dans leur phase active avec la sélection des intéressés. Il est prévu, à cet effet, un test psychotechnique qui sera suivi d’une formation des postulants retenus. Cela implique qu’au préalable, des dossiers soient déposés auprès d’une structure dont le nom sera communiqué. Entre temps, Dagobert Banzio et ses hommes s’attèleront à accorder leurs violons avec les élus. Au sortir de ces deux jours de travaux fort enrichissants, le ministre du Commerce s’est réjoui de la qualité du rapport et il exprimé l’engagement du président de la République, Alassane Ouattara et du gouvernement à faire aboutir ces projets : « Le rapport final est un document qui retrace les opinions de tous les acteurs du commerce. Il s’agissait de voir comment soutenir et encadrer les jeunes pour mieux s’insérer dans le tissu commercial et la petite restauration. Il y a également la problématique de la distribution des produits vivriers qui a été soumise par les femmes, qui en sont les principales actrices. Les jeunes auront des boutiques dans les quartiers et seront suivis, afin de répondre efficacement aux attentes des populations, et surtout appliquer les mesures du gouvernement visant à réduire le coût de la vie. Tous les ministères techniques y seront impliqués et des communications conjointes seront faites en conseil des ministres pour l’exécution de ces projets », a-t-il promis.
Bientôt des boutiques tenues par des jeunes ivoiriens
Le ministre et ses collaborateurs sont conscients du délai d’exécution de ce dossier, qui doit être le plus court possible, vu l’urgence. « Cela se fera très rapidement, parce que le Premier ministre a donné des instructions fermes pour que le dossier soit accéléré. Le ministre de l’Economie et des Finances a décidé de le prendre en main pour que nous puissions aller très vite dans la mise en œuvre, parce que c’est un programme éminemment important qui rentre dans le cadre des solutions que le président Alassane Ouattara a trouvées en matière d’emploi et d’insertion sociale, et surtout en matière de responsabilisation de notre jeunesse, pour qu’elle agisse de façon positive dans le sens du développement de la Côte d’Ivoire. Ces projets font partie des projets prioritaires de l’agenda du gouvernement. Il s’agit de trouver de la place aux Ivoiriens de moins de 40 ans et non de chasser ceux qui sont déjà là, qui nous aident à nous approvisionner et avec lesquels nous nous entendons bien autour du protocole que nous avons signé. Grâce à cet accord, le prix du riz est aujourd’hui moins élevé en Côte d’Ivoire que dans nombre de pays de la sous-région. Pour le financement, 20 milliards sont prévus. C’est très avancé. Il reste à identifier les zones d’installation des boutiques. Pour la distribution, il faut des points de départ et d’arrivée bien aménagés, pour mieux conserver les produits. Je vous le dis, c’est un projet majeur qui ne va pas trainer du tout. Tout démarrera effectivement en septembre et 2200 jeunes sont directement visés. Ecoutez bien, d’ici à deux semaines, vous entendrez des choses. Or, il y a des emplois indirects qui vont se créer autour de ces projets. On sera facilement au-delà de ce chiffre ». Demain, le rapport final des travaux.
Mass Domi
Deux jours durant, les participants à l’atelier de validation des projets d’insertion des jeunes dans le Commerce et d’appui à la distribution des produits vivriers ont profondément réfléchi sur les tenants et les aboutissants de ces projets. Il fallait en cerner tous les contours, afin d’éviter tout risque d’échec. Grâce à la dextérité du directeur de cabinet du ministère du Commerce, Koné Moussa, qui a piloté les travaux, et avec l’expertise du cabinet Afric Consulting Group dirigé par son DG, Lolo Augustin, les travaux ont abouti à un rapport final qui trace le cadre d’exécution de ce vaste et important programme. A charge pour la tutelle de soumettre les conclusions au gouvernement pour validation finale. Etape après laquelle, les projets entreront dans leur phase active avec la sélection des intéressés. Il est prévu, à cet effet, un test psychotechnique qui sera suivi d’une formation des postulants retenus. Cela implique qu’au préalable, des dossiers soient déposés auprès d’une structure dont le nom sera communiqué. Entre temps, Dagobert Banzio et ses hommes s’attèleront à accorder leurs violons avec les élus. Au sortir de ces deux jours de travaux fort enrichissants, le ministre du Commerce s’est réjoui de la qualité du rapport et il exprimé l’engagement du président de la République, Alassane Ouattara et du gouvernement à faire aboutir ces projets : « Le rapport final est un document qui retrace les opinions de tous les acteurs du commerce. Il s’agissait de voir comment soutenir et encadrer les jeunes pour mieux s’insérer dans le tissu commercial et la petite restauration. Il y a également la problématique de la distribution des produits vivriers qui a été soumise par les femmes, qui en sont les principales actrices. Les jeunes auront des boutiques dans les quartiers et seront suivis, afin de répondre efficacement aux attentes des populations, et surtout appliquer les mesures du gouvernement visant à réduire le coût de la vie. Tous les ministères techniques y seront impliqués et des communications conjointes seront faites en conseil des ministres pour l’exécution de ces projets », a-t-il promis.
Bientôt des boutiques tenues par des jeunes ivoiriens
Le ministre et ses collaborateurs sont conscients du délai d’exécution de ce dossier, qui doit être le plus court possible, vu l’urgence. « Cela se fera très rapidement, parce que le Premier ministre a donné des instructions fermes pour que le dossier soit accéléré. Le ministre de l’Economie et des Finances a décidé de le prendre en main pour que nous puissions aller très vite dans la mise en œuvre, parce que c’est un programme éminemment important qui rentre dans le cadre des solutions que le président Alassane Ouattara a trouvées en matière d’emploi et d’insertion sociale, et surtout en matière de responsabilisation de notre jeunesse, pour qu’elle agisse de façon positive dans le sens du développement de la Côte d’Ivoire. Ces projets font partie des projets prioritaires de l’agenda du gouvernement. Il s’agit de trouver de la place aux Ivoiriens de moins de 40 ans et non de chasser ceux qui sont déjà là, qui nous aident à nous approvisionner et avec lesquels nous nous entendons bien autour du protocole que nous avons signé. Grâce à cet accord, le prix du riz est aujourd’hui moins élevé en Côte d’Ivoire que dans nombre de pays de la sous-région. Pour le financement, 20 milliards sont prévus. C’est très avancé. Il reste à identifier les zones d’installation des boutiques. Pour la distribution, il faut des points de départ et d’arrivée bien aménagés, pour mieux conserver les produits. Je vous le dis, c’est un projet majeur qui ne va pas trainer du tout. Tout démarrera effectivement en septembre et 2200 jeunes sont directement visés. Ecoutez bien, d’ici à deux semaines, vous entendrez des choses. Or, il y a des emplois indirects qui vont se créer autour de ces projets. On sera facilement au-delà de ce chiffre ». Demain, le rapport final des travaux.
Mass Domi