En prélude à la double mission économique ivoirienne qui aura lieu du 5 au 12 juillet 2012, respectivement à Paris et Londres, Emmanuel Essis Esmel, Directeur général du Centre de promotion des investissements en Côte d’Ivoire (CEPICI) a organisé, le mardi 12 juin 2012, un petit déjeuner. Il s’est agi pour le DG du CEPICI, d’expliquer les enjeux et présenter le programme de ces évènements. Selon Emmanuel Essis Esmel, il est question à travers ces deux missions, d’inciter les Ivoiriens de l’étranger à un retour au bercail, en vue de faire bénéficier leur expertise à la Côte d’Ivoire, attirer des investisseurs et susciter la participation de la communauté des investisseurs du Royaume-Uni à une grande rencontre ivoiro-britannique en 2013. «Ces journées ont pour objectif de permettre à la diaspora de mieux connaître l’environnement des affaires en Côte d’Ivoire», a-t-il confié. Selon Emmanuel Essis Esmel, la mission économique ivoirienne vise à informer et sensibiliser la communauté des investisseurs aux opportunités d’investissement en Côte d’Ivoire, favoriser la création des conditions propices au rapatriement des savoir-faire acquis par les expatriés ivoiriens , identifier les préoccupations de la diaspora en matière d’investissement et la convaincre à participer aux efforts de reconstruction de leur pays. «Pour ces journées de promotions économiques à Paris, nous ciblons les secteurs de la banque, de la construction, de l’immobilier, de l’assurance et de l’agriculture, les associations représentatives des Ivoiriens de l’étranger, les experts en investissements», a-t-il noté. Pour ce qui concerne le rendez-vous au Royaume-Uni, Emmanuel Essis Esmel a fait savoir que cette mission permettra de promouvoir les opportunités et d’attirer les investisseurs, en mettant en avant, les atouts économiques de la Côte d‘Ivoire et les projets d’intérêt public à proposer au marché britannique. Ce qui, selon lui, va permettre à la partie ivoirienne de s’inspirer du modèle anglais. Des débats sur les enjeux et nouveaux défis meubleront cette rencontre d’hommes.
Armand K
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