Koné Katinan Justin qui se présente comme le porte-parole de l’ex-président déchu a été mis aux arrêts hier au Cameroun. L’homme qui a “braqué” la BCEAO et qui a quitté le pays avec des sacs d’argent est désormais fini. Répondeur-automatique de la Refondation en exil, Koné Katinan s’est illustré par des déclarations en l’emporte-pièce. Réussissant même la prouesse de défendre l’indéfendable. Il sera extradé dans les heures qui suivent. Fin de cavale.
Après les attaques de Para
Les FRCI engagent la traque contre les mercenaires
Une traque sans merci. Un impressionnant détachement des Forces républicaines de Côte d’Ivoire est actuellement aux trousses des mercenaires et autres miliciens qui ont attaqué le village de Para et tué sept Casques bleus nigériens de l’ONUCI et 13 civiles, le 8 juin dernier. Conduit par commandant Fofana Losseni, plus connu sous le sobriquet de ‘’Loss’’, les éléments des FRCI ont engagé sur place à Para, depuis jeudi, une véritable chasse aux mercenaires. Elle n’a pas été vaine. Elle a été fructueuse. De nombreux mercenaires et assaillants ont été mis aux arrêts et mis à la disposition de la Gendarmerie, selon une source sur place. Pour cette fois, les FRCI ne veulent laisser aucune chance aux tueurs. Tous les villages qui longent le fleuve ont été passés au peigne fin. Ainsi, Para, Nigré, Saho, Guiritou ont été fouillé de fond en comble. Bonne nouvelle, les populations ont dit leur disponibilité à collaborer avec les FRCI pour dénoncer et livrer tout mercenaire qui serait tapis dans l’ombre de la forêt dense qui se trouve de part et d’autre et que les tueurs traversent pour venir faire le coup de feu et retrouver tranquillement chez eux au Libéria. Le commandant ‘’Loss’ en personne s’est rendu jusqu’à la frontière avec le Libéria, notamment sur le fleuve Cavally où il est tombé, avec ses hommes, sur de nombreuses pistes villageoises empruntées par les assaillants pour venir tuer les paisibles populations. Longue en effet de 700 kilomètres, la frontière ivoiro-libérienne est certes très poreuse, mais les FRCI sont déterminées à ne négliger aucun détail. C’est pourquoi, pendant que les militaires s’évertuent à nettoyer les villages, les consultations avec les autorités administratives, politiques et la chefferie traditionnelle se poursuivent.
Yves-M. ABIET
Après les attaques de Para
Les FRCI engagent la traque contre les mercenaires
Une traque sans merci. Un impressionnant détachement des Forces républicaines de Côte d’Ivoire est actuellement aux trousses des mercenaires et autres miliciens qui ont attaqué le village de Para et tué sept Casques bleus nigériens de l’ONUCI et 13 civiles, le 8 juin dernier. Conduit par commandant Fofana Losseni, plus connu sous le sobriquet de ‘’Loss’’, les éléments des FRCI ont engagé sur place à Para, depuis jeudi, une véritable chasse aux mercenaires. Elle n’a pas été vaine. Elle a été fructueuse. De nombreux mercenaires et assaillants ont été mis aux arrêts et mis à la disposition de la Gendarmerie, selon une source sur place. Pour cette fois, les FRCI ne veulent laisser aucune chance aux tueurs. Tous les villages qui longent le fleuve ont été passés au peigne fin. Ainsi, Para, Nigré, Saho, Guiritou ont été fouillé de fond en comble. Bonne nouvelle, les populations ont dit leur disponibilité à collaborer avec les FRCI pour dénoncer et livrer tout mercenaire qui serait tapis dans l’ombre de la forêt dense qui se trouve de part et d’autre et que les tueurs traversent pour venir faire le coup de feu et retrouver tranquillement chez eux au Libéria. Le commandant ‘’Loss’ en personne s’est rendu jusqu’à la frontière avec le Libéria, notamment sur le fleuve Cavally où il est tombé, avec ses hommes, sur de nombreuses pistes villageoises empruntées par les assaillants pour venir tuer les paisibles populations. Longue en effet de 700 kilomètres, la frontière ivoiro-libérienne est certes très poreuse, mais les FRCI sont déterminées à ne négliger aucun détail. C’est pourquoi, pendant que les militaires s’évertuent à nettoyer les villages, les consultations avec les autorités administratives, politiques et la chefferie traditionnelle se poursuivent.
Yves-M. ABIET