Le ministère des Droits de l’Homme et des Libertés Publiques, en partenariat avec la Banque Mondiale et Search for common ground (SFCG), a organisé, le mardi 12 juin au Grand Hôtel d’Abidjan Plateau, un atelier d’harmonisation du cadre institutionnel de la Commission Nationale des Droits de l’Homme de Côte d’Ivoire (CNDHCI) avec les principes de Paris.
«En ce moment ou le pays est en train d’entreprendre plusieurs réformes, il est bien évident et opportun que des réflexions puissent se faire pour que la réforme sur la Commission Nationale des Droits de l’Homme tienne compte des principes de Paris (…) Search for Common Ground se réjouit de sa contribution pour la tenue de cet atelier grâce à son projet de renforcement des capacités de communication et de transparence sur les réformes en matière de gouvernance financé par la Banque Mondiale», a expliqué Quentin Kanyatsi, Directeur Pays du SFCG.
Les travaux de cet atelier se sont déroulés en deux groupes de réflexion. Le premier a travaillé sur l’attribution, la saisine et la procédure de la CNDHCI. Le second groupe, a quant lui, a orienté ses travaux sur la composition, l’organisation et le fonctionnement de la Commission Nationale des Droits de l’Homme de Côte d’Ivoire.
Au terme des travaux, le premier groupe a proposé des modifications sur six (6) articles, tandis que celles du second ont porté sur quatre (4) articles.
La plénière, après de âpres échanges et quelques propositions de reformulation, a approuvé l’essentiel des recommandations portant amendement du projet de loi censé assoir le nouveau statut de la CNDHCI conformément aux Principes de Paris.
En espérant que «les conclusions et les recommandations issues de ce séminaire renforceront davantage la Commission Nationale des Droits de l’Homme de Côte d’Ivoire pour une protection et une promotion accrue des droits de l’homme», a conclu dans son discours de clôture M. Jean Fructueux Bako, le Directeur de Cabinet et représentant le ministre des Droits de l’Homme et des Libertés Publiques à ces assises auxquelles ont pris part les organisations de la société civile.
Service de Communication du Ministère des Droits de l’Homme et des Libertés Publiques
«En ce moment ou le pays est en train d’entreprendre plusieurs réformes, il est bien évident et opportun que des réflexions puissent se faire pour que la réforme sur la Commission Nationale des Droits de l’Homme tienne compte des principes de Paris (…) Search for Common Ground se réjouit de sa contribution pour la tenue de cet atelier grâce à son projet de renforcement des capacités de communication et de transparence sur les réformes en matière de gouvernance financé par la Banque Mondiale», a expliqué Quentin Kanyatsi, Directeur Pays du SFCG.
Les travaux de cet atelier se sont déroulés en deux groupes de réflexion. Le premier a travaillé sur l’attribution, la saisine et la procédure de la CNDHCI. Le second groupe, a quant lui, a orienté ses travaux sur la composition, l’organisation et le fonctionnement de la Commission Nationale des Droits de l’Homme de Côte d’Ivoire.
Au terme des travaux, le premier groupe a proposé des modifications sur six (6) articles, tandis que celles du second ont porté sur quatre (4) articles.
La plénière, après de âpres échanges et quelques propositions de reformulation, a approuvé l’essentiel des recommandations portant amendement du projet de loi censé assoir le nouveau statut de la CNDHCI conformément aux Principes de Paris.
En espérant que «les conclusions et les recommandations issues de ce séminaire renforceront davantage la Commission Nationale des Droits de l’Homme de Côte d’Ivoire pour une protection et une promotion accrue des droits de l’homme», a conclu dans son discours de clôture M. Jean Fructueux Bako, le Directeur de Cabinet et représentant le ministre des Droits de l’Homme et des Libertés Publiques à ces assises auxquelles ont pris part les organisations de la société civile.
Service de Communication du Ministère des Droits de l’Homme et des Libertés Publiques