Des partisans "irréductibles" de l`ancien président Laurent Gbagbo "continuent à s`organiser pour attaquer" la Côte d`Ivoire mais ils "ne peuvent pas déstabiliser le pays", a assuré mardi à Washington le Premier ministre ivoirien Jeannot Ahoussou-Koudio.
Evoquant la série d`attaques meurtrières qui ont frappé ces dix derniers jours l`ouest du pays, le chef de gouvernement en visite aux Etats-Unis a déclaré lors d`une conférence de presse que "des irréductibles continu(aient) à s`organiser pour attaquer la Côte d`Ivoire, principalement à partir du Liberia".
"Ce sont des soubresauts d`un régime sanguinaire, les derniers soubresauts du régime sanguinaire de Laurent Gbagbo, et cela ne peut pas remettre en cause la réconciliation" nationale, a-t-il ajouté, confirmant le "maintien" d`une rencontre le 13 juillet avec le Front populaire ivoirien, le parti de M. Gbagbo.
Ces actions "ne peuvent pas déstabiliser le régime mais ça perturbe", a poursuivi le Premier ministre, selon qui "la sécurité revient globalement dans le pays" et les forces de l`ONU et ivoiriennes "sont en train de sécuriser la frontière ouest".
Une série d`attaques ont touché l`ouest du pays et fait quelque 12.000 déplacés selon l`ONU.
Interrogé sur des informations de presse évoquant une éventuelle libération sous caution de l`ex-président ivoirien, soupçonné de crimes contre l`humanité par la Cour pénale internationale (CPI) lors des violences post-électorales de 2010-2011 et écroué à la Haye, le Premier ministre ivoirien a simplement appelé à laisser "la justice faire son travail".
"S`il s`avère que les juges de la CPI estiment qu`il faille libérer conditionnellement M. Laurent Gbagbo, nous aviserons. Nous n`avons aucune objection mais nous estimons que M. Gbagbo était à la tête de forces illégales qui ont commis des crimes", a-t-il ajouté.
Le chef du gouvernement ivoirien, qui depuis plusieurs jours rencontre des responsables politiques et économiques dans la capitale américaine, a par ailleurs indiqué qu`il espérait "arriver fin décembre 2012 à un taux de croissance de 6%" contre -4% fin 2011.
Evoquant la série d`attaques meurtrières qui ont frappé ces dix derniers jours l`ouest du pays, le chef de gouvernement en visite aux Etats-Unis a déclaré lors d`une conférence de presse que "des irréductibles continu(aient) à s`organiser pour attaquer la Côte d`Ivoire, principalement à partir du Liberia".
"Ce sont des soubresauts d`un régime sanguinaire, les derniers soubresauts du régime sanguinaire de Laurent Gbagbo, et cela ne peut pas remettre en cause la réconciliation" nationale, a-t-il ajouté, confirmant le "maintien" d`une rencontre le 13 juillet avec le Front populaire ivoirien, le parti de M. Gbagbo.
Ces actions "ne peuvent pas déstabiliser le régime mais ça perturbe", a poursuivi le Premier ministre, selon qui "la sécurité revient globalement dans le pays" et les forces de l`ONU et ivoiriennes "sont en train de sécuriser la frontière ouest".
Une série d`attaques ont touché l`ouest du pays et fait quelque 12.000 déplacés selon l`ONU.
Interrogé sur des informations de presse évoquant une éventuelle libération sous caution de l`ex-président ivoirien, soupçonné de crimes contre l`humanité par la Cour pénale internationale (CPI) lors des violences post-électorales de 2010-2011 et écroué à la Haye, le Premier ministre ivoirien a simplement appelé à laisser "la justice faire son travail".
"S`il s`avère que les juges de la CPI estiment qu`il faille libérer conditionnellement M. Laurent Gbagbo, nous aviserons. Nous n`avons aucune objection mais nous estimons que M. Gbagbo était à la tête de forces illégales qui ont commis des crimes", a-t-il ajouté.
Le chef du gouvernement ivoirien, qui depuis plusieurs jours rencontre des responsables politiques et économiques dans la capitale américaine, a par ailleurs indiqué qu`il espérait "arriver fin décembre 2012 à un taux de croissance de 6%" contre -4% fin 2011.