En se rendant à Washington, aux États-Unis d'Amérique, pour prendre part à l'édition 2012 du Forum annuel de Coopération économique et commerciale entre ce pays (Usa) et l'Afrique sub-saharienne (Agoa, African Growth and Opportunities Act) du 12 au 19 juin, le Premier ministre ivoirien, Jeannot Kouadio-Ahoussou, donne un sérieux coup d'accélérateur au levier économique et financier de la Côte d'Ivoire.
Parti d'Abidjan, le samedi 09 juin 2012, à 10 heures, le Numéro 1 du gouvernement ivoirien a été accueilli à l'aéroport de Washington, le même jour à 18 heures 30 (heure locale) par l'ambassadeur de Côte d'Ivoire accrédité auprès du pays du président Barack Obama, Daouda Diabaté. Pour cette importante mission, la première du genre depuis sa nomination au poste de Premier ministre, il était accompagné de deux (2) ministres, notamment le ministre d'Etat, Mousa Dosso, de l'Industrie et du développement du secteur privé, et Dagobert Banzio, du Commerce. Et bien évidemment, des proches collaborateurs. Grande opportunité d'échanges entre les Usa et l'Afrique, l'édition de cette année aura été fort fructueuse pour la Côte d'Ivoire, conduite par Jeannot Kouadio-Ahoussou.
Les faits parlent...
Partenariat contre la faim et la pauvreté en Afrique, Usaid. Avant la cérémonie d'ouverture de l'Agoa 2012, le 14 juin, Kouadio-Ahoussou et sa délégation ont pris part, le 11 juin, à une table-ronde initiée par une Organisation non gouvernementale (Ong) américaine de référence dans son secteur, "Partnership to cut hunger and poverty in Africa", en français, "Partenariat contre la faim et la pauvreté en Afrique". A cette rencontre, le Premier ministre était aux côtés de grandes figures africaines, les anciens présidents Joaquim Chissano du Mozambique, John Kufuor du Ghana, tous deux (2) responsables d'organismes portant leurs noms, et œuvrant dans le domaine de la sécurité alimentaire ; Alpha Konaré du Mali et l'actuel président du Sénégal, Macky Sall. Le gouverneur du District de Yamoussoukro, Augustin Thiam, membre de la délégation ivoirienne, a fait une communication de 10 minutes sur les "ambitions agricoles" de sa circonscription. Kouadio Ahoussou a salué cette tribune de l'Ong américaine et "l'exemple exceptionnel de Yamoussoukro" basé sur un partenariat public-privé gagnant-gagnant. Il a lancé un appel pressant à la lutte contre la faim en Afrique. Aussi, a-t-il déploré le drame qui mine le continent "noir" en ces termes: "Cette année, ce sont 18 millions de personnes qui seront frappées par la famine en Afrique de l'Ouest". Egalement membres de la délégation ivoirienne, Guy Mbengue et Gérard Amangoua, respectivement, directeur général et directeur du développement de l'Association pour la promotion des exportations de Côte d'Ivoire (Apexi) étaient présents à cette réunion avec l’Ong.
Le lendemain mardi 12 juin, recevant en début de soirée, à son hôtel de Georges Town, près de Washington Dc, l'administrateur principal de l'Agence des Etats-Unis pour le développement international (Usaid), Rajiv Shah, Jeannot Ahoussou-Kouadio a dit toute sa satisfaction face au regain d'intérêt de l'administration américaine et des hommes d'affaires américains et européens pour la destination Côte d'Ivoire. En bon manager, il a clairement exprimé à l’administrateur principal de l’Usaid, sa volonté de voir ces partenaires américains et européens prendre l'engagement d'investir à nouveau et véritablement dans l'agriculture et la santé en Côte d'Ivoire. Les deux (2) ont, au cours des échanges, mûri la réflexion sur la recherche de stratégies pour optimiser les relations entre la Côte d'Ivoire et cette agence économique et d'assistance humanitaire dans le monde. Selon Rajiv Shah, au dernier sommet du Groupe des huit (8) nations les plus industrialisées, le président Barack Obama avait exhorté les pays membres du groupe à nouer un partenariat avec la Côte d'Ivoire qui sortait de crise. Un appel entendu par les opérateurs économiques américains qui souhaitent aujourd'hui investir en Côte d'Ivoire. Par ailleurs, il a annoncé une mission d'experts de l'Usaid en collaboration avec des délégués de l'Union européenne (Ue) à Abidjan, dans la deuxième semaine du mois de juillet 2012, en vue d'évaluer les efforts accomplis par le pays. L'Usaid, pour rappel, a été créée en 1961 par le président américain, John Kennedy qui avait été inspiré par le Plan Marshall de l'après-deuxième guerre mondiale en faveur de la reconstruction de l'Europe.
Eligibilité au Mcc. Une autre information de taille, celle qui notifie que la Côte d'Ivoire "à l'allure où elle progresse pourrait très bientôt obtenir l'éligibilité au Millenium challenge corporation, (Mcc)". Les vice-président, James Parks, et directeur général, Thomas Kelly, de cette institution qui ont reçu la visite du Premier ministre, Ahoussou-Kouadio, qu'accompagnaient, pour la circonstance, les ministres Moussa Dosso et Dagobert Banzio, ont exprimé à leurs hôtes, le mardi dernier, leur satisfaction de voir la Côte d'Ivoire travailler en vue de remplir les critères d'éligibilité au Mcc, notamment dans les domaines du social, de l'école, de l'éducation, de la sécurité des investissements, de la fiscalité, du commerce extérieur...Le Mcc, à l'instar de l'Agoa, est un programme du gouvernement américain visant à donner l'opportunité à des pays d'exporter vers les Usa, d'une part, et d'autre part, de bénéficier de subventions financières substantielles et d'une "aura" de qualité pour ce qui est du positionnement vis-à-vis des investissements étrangers et des institutions internationales dont la Banque mondiale, le Fonds monétaire international (Fmi). Ahoussou a assuré ses interlocuteurs des efforts de son pays pour remplir les conditions de son éligibilité au Mcc.
Point d'achèvement du Ppte. L'audience accordée par la directrice générale du Fonds monétaire international (Fmi), Christine Lagarde, à la forte délégation ivoirienne conduite par Ahoussou-Kouadio, aura fini, disons-le ainsi, de convaincre la Côte d'Ivoire de sa bonne position quant à l'obtention imminente du point d'achèvement de l’initiative Ppte (pays pauvres très endettés) au cours des réunions des Conseils d'administration, les 25 et 26 juin 2012 du Fmi auxquelles ce pays prendra part. Ahoussou s'est réjoui de cette information capitale, et a invité la Dg de cette institution à se rendre en Côte d'Ivoire, au cours de sa prochaine tournée africaine. Pour les 500 milliards F d'économie par an que le pays pourra réaliser grâce à la phase finale du Ppte, le gouvernement, selon Jeannot Ahoussou, les investira prioritairement dans les infrastructures économiques et sociales (routes, santé, éducation...)
Agoa. Ouvrant officiellement l'édition 2012 de l'Agoa, le 14 juin dernier, devant un parterre de personnalités du monde des affaires et du commerce international, la Secrétaire d'Etat américaine, Hillary Clinton, a annoncé la tenue prochaine d'une table-ronde à Abidjan, consacrée entre autres à la réouverture de la Chambre de commerce américaine fermée en raison de la crise post-électorale. Elle a aussi révélé que tous les pays qui ont bénéficié de l'Agoa, au cours des 10 dernières années de sa mise en œuvre, ont multiplié leurs exportations vers les Usa par 6 dans cette période avec plus de 300 mille emplois créés, directement liés à ce programme américain. Hillary Clinton, Michael Froman, vice-conseiller du président américain chargé des questions de Sécurité, et Ronald Kirk, représentant au Commerce extérieur, ont mentionné que "le bilan aurait pu être meilleur". Car, de leur avis, "l'Agoa est une loi figurant parmi les mesures prises par les Usa au bénéfice des pays africains pour permettre aux entreprises du continent d'exporter sans droits de douanes sur le marché américain, n'a pas été suffisamment exploité. Les opportunités de l'Agoa n'ont été exploitées qu'à hauteur de 8%". Ronald Kirk a exhorté les gouvernements africains à prendre leurs responsabilités afin de profiter des avantages que l'Agoa offre aux commerces africains. Les dirigeants américains ont annoncé que le dispositif de ce programme qui prend fin en 2015, pourrait être reconduit au-delà de cette échéance. Bonne nouvelle donc pour les Etats africains dont la Côte d'Ivoire représentée par l'importante délégation conduite par le Premier ministre, Jeannot Kouadio-Ahoussou. Qui portera la parole du chef de l'Etat ivoirien, Alassane Ouattara, à la Conférence Rio+20 sur l'environnement (économie verte) et le développement durable au Brésil.
Soutien de la Banque mondiale. Le chef du gouvernement ivoirien a reçu de la haute direction de la Banque mondiale (Bm) représentée par son N°2, Mme Sri Mulyani Indrawati, directrice générale, et le vice-président région Afrique, Matar Diop, le soutien de l’institution financière internationale. Les deux dirigeants ont loué les efforts du gouvernement ivoirien en matière de la bonne gouvernance. Toutefois, ils ont souhaité un maintien renforcé et suivi des efforts sur le terrain en mettant un point d’honneur à lutter contre la corruption, à faire respecter la liberté de la presse…afin que la Côte d’Ivoire puisse jouir de l’entièreté de la prime à la bonne gouvernance d’un montant global de 15 millions de dollars (soit 7,5 milliards de F) disponible au guichet de la banque à son intention. Matar Diop a tenu à rappeler la disponibilité de ce financement sur lequel la Côte d’Ivoire n’a utilisé, à ce jour que 3 millions de dollars (soit 1,5 milliard de F). Kouadio-Ahoussou, lui, a précisé que le président Alassane Ouattara a placé au centre de son action, la bonne gouvernance et la lutte acharnée contre la corruption.
PARFAIT TADJAU
Parti d'Abidjan, le samedi 09 juin 2012, à 10 heures, le Numéro 1 du gouvernement ivoirien a été accueilli à l'aéroport de Washington, le même jour à 18 heures 30 (heure locale) par l'ambassadeur de Côte d'Ivoire accrédité auprès du pays du président Barack Obama, Daouda Diabaté. Pour cette importante mission, la première du genre depuis sa nomination au poste de Premier ministre, il était accompagné de deux (2) ministres, notamment le ministre d'Etat, Mousa Dosso, de l'Industrie et du développement du secteur privé, et Dagobert Banzio, du Commerce. Et bien évidemment, des proches collaborateurs. Grande opportunité d'échanges entre les Usa et l'Afrique, l'édition de cette année aura été fort fructueuse pour la Côte d'Ivoire, conduite par Jeannot Kouadio-Ahoussou.
Les faits parlent...
Partenariat contre la faim et la pauvreté en Afrique, Usaid. Avant la cérémonie d'ouverture de l'Agoa 2012, le 14 juin, Kouadio-Ahoussou et sa délégation ont pris part, le 11 juin, à une table-ronde initiée par une Organisation non gouvernementale (Ong) américaine de référence dans son secteur, "Partnership to cut hunger and poverty in Africa", en français, "Partenariat contre la faim et la pauvreté en Afrique". A cette rencontre, le Premier ministre était aux côtés de grandes figures africaines, les anciens présidents Joaquim Chissano du Mozambique, John Kufuor du Ghana, tous deux (2) responsables d'organismes portant leurs noms, et œuvrant dans le domaine de la sécurité alimentaire ; Alpha Konaré du Mali et l'actuel président du Sénégal, Macky Sall. Le gouverneur du District de Yamoussoukro, Augustin Thiam, membre de la délégation ivoirienne, a fait une communication de 10 minutes sur les "ambitions agricoles" de sa circonscription. Kouadio Ahoussou a salué cette tribune de l'Ong américaine et "l'exemple exceptionnel de Yamoussoukro" basé sur un partenariat public-privé gagnant-gagnant. Il a lancé un appel pressant à la lutte contre la faim en Afrique. Aussi, a-t-il déploré le drame qui mine le continent "noir" en ces termes: "Cette année, ce sont 18 millions de personnes qui seront frappées par la famine en Afrique de l'Ouest". Egalement membres de la délégation ivoirienne, Guy Mbengue et Gérard Amangoua, respectivement, directeur général et directeur du développement de l'Association pour la promotion des exportations de Côte d'Ivoire (Apexi) étaient présents à cette réunion avec l’Ong.
Le lendemain mardi 12 juin, recevant en début de soirée, à son hôtel de Georges Town, près de Washington Dc, l'administrateur principal de l'Agence des Etats-Unis pour le développement international (Usaid), Rajiv Shah, Jeannot Ahoussou-Kouadio a dit toute sa satisfaction face au regain d'intérêt de l'administration américaine et des hommes d'affaires américains et européens pour la destination Côte d'Ivoire. En bon manager, il a clairement exprimé à l’administrateur principal de l’Usaid, sa volonté de voir ces partenaires américains et européens prendre l'engagement d'investir à nouveau et véritablement dans l'agriculture et la santé en Côte d'Ivoire. Les deux (2) ont, au cours des échanges, mûri la réflexion sur la recherche de stratégies pour optimiser les relations entre la Côte d'Ivoire et cette agence économique et d'assistance humanitaire dans le monde. Selon Rajiv Shah, au dernier sommet du Groupe des huit (8) nations les plus industrialisées, le président Barack Obama avait exhorté les pays membres du groupe à nouer un partenariat avec la Côte d'Ivoire qui sortait de crise. Un appel entendu par les opérateurs économiques américains qui souhaitent aujourd'hui investir en Côte d'Ivoire. Par ailleurs, il a annoncé une mission d'experts de l'Usaid en collaboration avec des délégués de l'Union européenne (Ue) à Abidjan, dans la deuxième semaine du mois de juillet 2012, en vue d'évaluer les efforts accomplis par le pays. L'Usaid, pour rappel, a été créée en 1961 par le président américain, John Kennedy qui avait été inspiré par le Plan Marshall de l'après-deuxième guerre mondiale en faveur de la reconstruction de l'Europe.
Eligibilité au Mcc. Une autre information de taille, celle qui notifie que la Côte d'Ivoire "à l'allure où elle progresse pourrait très bientôt obtenir l'éligibilité au Millenium challenge corporation, (Mcc)". Les vice-président, James Parks, et directeur général, Thomas Kelly, de cette institution qui ont reçu la visite du Premier ministre, Ahoussou-Kouadio, qu'accompagnaient, pour la circonstance, les ministres Moussa Dosso et Dagobert Banzio, ont exprimé à leurs hôtes, le mardi dernier, leur satisfaction de voir la Côte d'Ivoire travailler en vue de remplir les critères d'éligibilité au Mcc, notamment dans les domaines du social, de l'école, de l'éducation, de la sécurité des investissements, de la fiscalité, du commerce extérieur...Le Mcc, à l'instar de l'Agoa, est un programme du gouvernement américain visant à donner l'opportunité à des pays d'exporter vers les Usa, d'une part, et d'autre part, de bénéficier de subventions financières substantielles et d'une "aura" de qualité pour ce qui est du positionnement vis-à-vis des investissements étrangers et des institutions internationales dont la Banque mondiale, le Fonds monétaire international (Fmi). Ahoussou a assuré ses interlocuteurs des efforts de son pays pour remplir les conditions de son éligibilité au Mcc.
Point d'achèvement du Ppte. L'audience accordée par la directrice générale du Fonds monétaire international (Fmi), Christine Lagarde, à la forte délégation ivoirienne conduite par Ahoussou-Kouadio, aura fini, disons-le ainsi, de convaincre la Côte d'Ivoire de sa bonne position quant à l'obtention imminente du point d'achèvement de l’initiative Ppte (pays pauvres très endettés) au cours des réunions des Conseils d'administration, les 25 et 26 juin 2012 du Fmi auxquelles ce pays prendra part. Ahoussou s'est réjoui de cette information capitale, et a invité la Dg de cette institution à se rendre en Côte d'Ivoire, au cours de sa prochaine tournée africaine. Pour les 500 milliards F d'économie par an que le pays pourra réaliser grâce à la phase finale du Ppte, le gouvernement, selon Jeannot Ahoussou, les investira prioritairement dans les infrastructures économiques et sociales (routes, santé, éducation...)
Agoa. Ouvrant officiellement l'édition 2012 de l'Agoa, le 14 juin dernier, devant un parterre de personnalités du monde des affaires et du commerce international, la Secrétaire d'Etat américaine, Hillary Clinton, a annoncé la tenue prochaine d'une table-ronde à Abidjan, consacrée entre autres à la réouverture de la Chambre de commerce américaine fermée en raison de la crise post-électorale. Elle a aussi révélé que tous les pays qui ont bénéficié de l'Agoa, au cours des 10 dernières années de sa mise en œuvre, ont multiplié leurs exportations vers les Usa par 6 dans cette période avec plus de 300 mille emplois créés, directement liés à ce programme américain. Hillary Clinton, Michael Froman, vice-conseiller du président américain chargé des questions de Sécurité, et Ronald Kirk, représentant au Commerce extérieur, ont mentionné que "le bilan aurait pu être meilleur". Car, de leur avis, "l'Agoa est une loi figurant parmi les mesures prises par les Usa au bénéfice des pays africains pour permettre aux entreprises du continent d'exporter sans droits de douanes sur le marché américain, n'a pas été suffisamment exploité. Les opportunités de l'Agoa n'ont été exploitées qu'à hauteur de 8%". Ronald Kirk a exhorté les gouvernements africains à prendre leurs responsabilités afin de profiter des avantages que l'Agoa offre aux commerces africains. Les dirigeants américains ont annoncé que le dispositif de ce programme qui prend fin en 2015, pourrait être reconduit au-delà de cette échéance. Bonne nouvelle donc pour les Etats africains dont la Côte d'Ivoire représentée par l'importante délégation conduite par le Premier ministre, Jeannot Kouadio-Ahoussou. Qui portera la parole du chef de l'Etat ivoirien, Alassane Ouattara, à la Conférence Rio+20 sur l'environnement (économie verte) et le développement durable au Brésil.
Soutien de la Banque mondiale. Le chef du gouvernement ivoirien a reçu de la haute direction de la Banque mondiale (Bm) représentée par son N°2, Mme Sri Mulyani Indrawati, directrice générale, et le vice-président région Afrique, Matar Diop, le soutien de l’institution financière internationale. Les deux dirigeants ont loué les efforts du gouvernement ivoirien en matière de la bonne gouvernance. Toutefois, ils ont souhaité un maintien renforcé et suivi des efforts sur le terrain en mettant un point d’honneur à lutter contre la corruption, à faire respecter la liberté de la presse…afin que la Côte d’Ivoire puisse jouir de l’entièreté de la prime à la bonne gouvernance d’un montant global de 15 millions de dollars (soit 7,5 milliards de F) disponible au guichet de la banque à son intention. Matar Diop a tenu à rappeler la disponibilité de ce financement sur lequel la Côte d’Ivoire n’a utilisé, à ce jour que 3 millions de dollars (soit 1,5 milliard de F). Kouadio-Ahoussou, lui, a précisé que le président Alassane Ouattara a placé au centre de son action, la bonne gouvernance et la lutte acharnée contre la corruption.
PARFAIT TADJAU