Invité à l’émission RTI reçoit du mardi 22 juin 2012, le Ministre de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle a fait un bref bilan de ses initiatives à la tête de cet important département dans cette période de reconstruction avant de présenter sa vision, les perspectives et les opportunités de son secteur.
Le premier responsable de l’ETFP à d’entrée, soutenu que le dispositif de l’ETFP a perdu de son lustre pour divers raison dont la principale demeure le fait que les investissements de soutien au système n’ont pas suivi après que l’Etat ait réorienté ses priorités suite aux différentes crises socio économique. Pour Albert FLINDE, l’Enseignement Technique et la Formation Professionnelle coute cher. En effet le cout de création d’un établissement d’un établissement varie entre 3 à 5 milliards. D’où la nécessité absolue de solliciter le soutien de bailleurs de fonds pour accompagner la politique de formation professionnelle. Au sujet des promesses faites de voir retourner sur les sites d’origine les établissements délocalisés pour cause de guerre, le ministre a rassuré que l’un d’entre eux, à l’occurrence le lycée professionnelle de man retournera sur son site dès la prochaine rentrée. Suivra ensuite les deux autres à savoir le lycée technique de Bouaké et le lycée professionnel d’Odienné.
En plus des questions de réhabilitation qu’il a inscrit au centre des priorités depuis sa prise de fonction et qui a permis un retour progressif à la normale et l’accroissement de la capacité d’accueil des infrastructures, le Ministre FLINDE s’est résolument investi dans la mise en œuvre de la reforme de l’ETFP. Une opération qui a terme permettra de résoudre l’épineux problème de l’adéquation entre la formation et l’emploi. ‘’ le partenariat étroit entre le secteur productif et le Ministère permettra de resoudre définitivement la question du déphasage entre la formation et l’emploi.’’a souligné le ministre Albert FLINDE. Avant de donner la vision qu’il a de sa mission. ‘’Notre objectif est de faire de l`enseignement technique et de la formation professionnelle le pilier de la reconstruction de notre pays.’’
Rappelant l’objectif du Président de la République de faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent à l’horizon 2020, le premier responsable de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle a rappelé ‘’qu’un pays émergent suppose des ouvriers qualifiés et des agents de maitrise compétent pour soutenir le secteur productif. et cela ne peut être possible que par un dispositif de l`ETFP performant et adapté aux nouvelles donnes de l`économie.’’ Et il s’y attelle avec l’ensemble de ses collaborateurs.
Le service communication
Le premier responsable de l’ETFP à d’entrée, soutenu que le dispositif de l’ETFP a perdu de son lustre pour divers raison dont la principale demeure le fait que les investissements de soutien au système n’ont pas suivi après que l’Etat ait réorienté ses priorités suite aux différentes crises socio économique. Pour Albert FLINDE, l’Enseignement Technique et la Formation Professionnelle coute cher. En effet le cout de création d’un établissement d’un établissement varie entre 3 à 5 milliards. D’où la nécessité absolue de solliciter le soutien de bailleurs de fonds pour accompagner la politique de formation professionnelle. Au sujet des promesses faites de voir retourner sur les sites d’origine les établissements délocalisés pour cause de guerre, le ministre a rassuré que l’un d’entre eux, à l’occurrence le lycée professionnelle de man retournera sur son site dès la prochaine rentrée. Suivra ensuite les deux autres à savoir le lycée technique de Bouaké et le lycée professionnel d’Odienné.
En plus des questions de réhabilitation qu’il a inscrit au centre des priorités depuis sa prise de fonction et qui a permis un retour progressif à la normale et l’accroissement de la capacité d’accueil des infrastructures, le Ministre FLINDE s’est résolument investi dans la mise en œuvre de la reforme de l’ETFP. Une opération qui a terme permettra de résoudre l’épineux problème de l’adéquation entre la formation et l’emploi. ‘’ le partenariat étroit entre le secteur productif et le Ministère permettra de resoudre définitivement la question du déphasage entre la formation et l’emploi.’’a souligné le ministre Albert FLINDE. Avant de donner la vision qu’il a de sa mission. ‘’Notre objectif est de faire de l`enseignement technique et de la formation professionnelle le pilier de la reconstruction de notre pays.’’
Rappelant l’objectif du Président de la République de faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent à l’horizon 2020, le premier responsable de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle a rappelé ‘’qu’un pays émergent suppose des ouvriers qualifiés et des agents de maitrise compétent pour soutenir le secteur productif. et cela ne peut être possible que par un dispositif de l`ETFP performant et adapté aux nouvelles donnes de l`économie.’’ Et il s’y attelle avec l’ensemble de ses collaborateurs.
Le service communication
