Bouaké -Le ministre des Ressources animales et halieutiques, Kobena Kouassi Adjoumani, a annoncé, jeudi à Bouaké, le décaissement de plus de deux milliards FCFA pour restructurer le secteur de l’élevage et de la pêche en Côte d'Ivoire.
En tournée de sensibilisation dans les régions de Gbèkè et du Hambol dans le cadre du règlement des conflits entre éleveurs et agriculteurs, le ministre Kouassi Adjoumani a indiqué que des mesures pour mettre fin aux récurent conflits entre agriculteurs et éleveurs sont inscrites dans le programme d’urgence du président de la République et les budgets 2011 et 2012.
Au titre du programme présidentiel d’urgence (PPU), a-t-il souligné, il est prévu une enveloppe d’un milliard FCFA pour l’organisation des états généraux de l’élevage, la réhabilitation et l'équipement du Ranch de la Marahoué, l’installation des éleveurs et l’équipement des services du ministère des Ressources animales et halieutiques en matériel roulant.
La mise à disposition d’une autre enveloppe d’un montant de 1,375 milliard FCFA, toujours dans le cadre du PPU, permettra de réaliser une étude sur la transhumance, d'installer des jeunes dans le secteur de l’élevage et de mettre en place sept comités de gestion des plans d’eau à Kossou, Taabo, Buyo, Grand-Bassam, Ayamé, Aby et à Abidjan, a ajouté Kouassi Adjoumani sans oublier la réhabilitation du centre national ovin de Béoumi.
Au titre du budget de l’Etat, plusieurs enveloppes sont aussi prévues pour la réhabilitation et la construction de barrages, de marchés et parcs à bétail dans le Bafing, et l’installation de 23 nouveaux éleveurs dans la région du Gbèkè, a dit le ministre des Ressources animales et halieutiques.
Il a aussi assuré de l’équipement et la gestion durable de l’espace pastoral et aquacole à Béoumi et à Bouaké ainsi que du recensement et de l’organisation des éleveurs à Odienné et à Touba, au nord-ouest.
"C’est à ce prix que nous pourrons créer plus de richesses dans nos régions au bénéfice des populations", a fait savoir le ministre Adjoumani, soulignant que tous ces efforts ne sont efficaces sans la volonté des populations de vivre ensemble, tout en appelant ces dernières à s’inscrire dans la dynamique de la paix en Côte d’Ivoire.
En tournée de sensibilisation dans les régions de Gbèkè et du Hambol dans le cadre du règlement des conflits entre éleveurs et agriculteurs, le ministre Kouassi Adjoumani a indiqué que des mesures pour mettre fin aux récurent conflits entre agriculteurs et éleveurs sont inscrites dans le programme d’urgence du président de la République et les budgets 2011 et 2012.
Au titre du programme présidentiel d’urgence (PPU), a-t-il souligné, il est prévu une enveloppe d’un milliard FCFA pour l’organisation des états généraux de l’élevage, la réhabilitation et l'équipement du Ranch de la Marahoué, l’installation des éleveurs et l’équipement des services du ministère des Ressources animales et halieutiques en matériel roulant.
La mise à disposition d’une autre enveloppe d’un montant de 1,375 milliard FCFA, toujours dans le cadre du PPU, permettra de réaliser une étude sur la transhumance, d'installer des jeunes dans le secteur de l’élevage et de mettre en place sept comités de gestion des plans d’eau à Kossou, Taabo, Buyo, Grand-Bassam, Ayamé, Aby et à Abidjan, a ajouté Kouassi Adjoumani sans oublier la réhabilitation du centre national ovin de Béoumi.
Au titre du budget de l’Etat, plusieurs enveloppes sont aussi prévues pour la réhabilitation et la construction de barrages, de marchés et parcs à bétail dans le Bafing, et l’installation de 23 nouveaux éleveurs dans la région du Gbèkè, a dit le ministre des Ressources animales et halieutiques.
Il a aussi assuré de l’équipement et la gestion durable de l’espace pastoral et aquacole à Béoumi et à Bouaké ainsi que du recensement et de l’organisation des éleveurs à Odienné et à Touba, au nord-ouest.
"C’est à ce prix que nous pourrons créer plus de richesses dans nos régions au bénéfice des populations", a fait savoir le ministre Adjoumani, soulignant que tous ces efforts ne sont efficaces sans la volonté des populations de vivre ensemble, tout en appelant ces dernières à s’inscrire dans la dynamique de la paix en Côte d’Ivoire.