Abidjan -A peine rentré d’une mission des Etats-Unis d’Amérique, le premier ministre, Me Jeannot Ahoussou-Kouadio, présidera lundi, à la fondation Félix Houphouët-Boigny de Yamoussoukro, un séminaire gouvernemental sur le foncier rural et urbain en Côte d’Ivoire, a appris l’AIP de source officielle.
Selon une note d’information de la commission communication, cette rencontre de haut niveau a pour objectif "de permettre au gouvernement ivoirien d’identifier les problèmes afférents au foncier rural et urbain en vue d’y apporter les solutions idoines dans la perspective d’un développement économique cohérent, gage d’une cohésion sociale et d’une paix durable".
Onze communications dont dix présentées par des ministres vont expliquer certainement les textes de lois et de règlements existants en la matière, précise la note.
La gestion du foncier, tant urbain que rural, reste confrontée à de nombreux problèmes, notamment de conflits parfois meurtriers, et se pose aujourd’hui, par endroits, comme une véritable menace à la paix et à la cohésion sociale.
En effet, à l’occasion du 36ème congrès des géomètres-experts français, le 19 juin 2002, un géomètre ivoirien, parlant du régime foncier et domanial de la Côte d’Ivoire, avait indiqué qu’il "passe pour le mieux élaboré de la sous-région ouest-africaine. Comment alors expliquer les nombreux conflits qui germent et éclatent dans la société jusqu’à mort d’homme ?", s’est-il interrogé, estimant que pour trouver une solution, il était important d’explorer un certain nombre de pistes que sont la responsabilité du législateur, de l’exécutif, des tiers détenteurs et la poussée démographique.
"La terre constitue en effet pour l’humanité en plus des nombreuses ressources minières indispensables à sa survie, le socle sur lequel s’organise et repose toutes ses activités", avait conclu M. Bernard N’Guessan citant le Pr Jacques Atali.
Les conclusions de ce séminaire gouvernemental permettront sûrement d’identifier les problèmes du secteur du foncier rural et urbain, l’impact de la question du foncier sur la paix et la cohésion sociale clairement établi, pour que le gouvernement de prendre à bras le corps cette question telle que promise par le président de la République, Alassane Ouattara, lors de sa visite d’Etat dans le district des Montagnes du 21 au 24 avril 2012.
Selon une note d’information de la commission communication, cette rencontre de haut niveau a pour objectif "de permettre au gouvernement ivoirien d’identifier les problèmes afférents au foncier rural et urbain en vue d’y apporter les solutions idoines dans la perspective d’un développement économique cohérent, gage d’une cohésion sociale et d’une paix durable".
Onze communications dont dix présentées par des ministres vont expliquer certainement les textes de lois et de règlements existants en la matière, précise la note.
La gestion du foncier, tant urbain que rural, reste confrontée à de nombreux problèmes, notamment de conflits parfois meurtriers, et se pose aujourd’hui, par endroits, comme une véritable menace à la paix et à la cohésion sociale.
En effet, à l’occasion du 36ème congrès des géomètres-experts français, le 19 juin 2002, un géomètre ivoirien, parlant du régime foncier et domanial de la Côte d’Ivoire, avait indiqué qu’il "passe pour le mieux élaboré de la sous-région ouest-africaine. Comment alors expliquer les nombreux conflits qui germent et éclatent dans la société jusqu’à mort d’homme ?", s’est-il interrogé, estimant que pour trouver une solution, il était important d’explorer un certain nombre de pistes que sont la responsabilité du législateur, de l’exécutif, des tiers détenteurs et la poussée démographique.
"La terre constitue en effet pour l’humanité en plus des nombreuses ressources minières indispensables à sa survie, le socle sur lequel s’organise et repose toutes ses activités", avait conclu M. Bernard N’Guessan citant le Pr Jacques Atali.
Les conclusions de ce séminaire gouvernemental permettront sûrement d’identifier les problèmes du secteur du foncier rural et urbain, l’impact de la question du foncier sur la paix et la cohésion sociale clairement établi, pour que le gouvernement de prendre à bras le corps cette question telle que promise par le président de la République, Alassane Ouattara, lors de sa visite d’Etat dans le district des Montagnes du 21 au 24 avril 2012.
