Abidjan - Des jeunes talents ivoiriens ayant indéniablement marqué ou caractérisé, par ou de leur intelligence, ingéniosité ou savoir-faire, leurs activités, sont à l’honneur, ce jeudi, au siège de cette Institution, à Cocody, à Abidjan, la capitale économique ivoirienne, annonce un communiqué de la Grande Chancellerie dont copie a été transmise à l’AIP, ce lundi.
Selon ledit communiqué, il s’agit, non pas de décorer, mais de distinguer, par l’octroi de diplôme d’encouragement, des jeunes talentueux dans les domaines de la science, la culture, l’artisanat, le sport. L’objectif étant d’ »encourager et valoriser le mérite de ces jeunes qui ont des talents dont la Côte d’Ivoire a besoin pour relever les défis de son développement ».
Résolue à réaliser sa vocation au service de la « promotrice des valeurs d’excellence, du mérite et du dévouement au travail », Mme le Grand Chancelier de l’Ordre national, le Pr. Henriette Rose Dagri-Diabaté, y justifie cette journée du Mérite-Jeunes, par le fait que son institution, au service de la Côte d’Ivoire des valeurs et de la vertu, ne saurait rester indifférente à l’émergence de talents dans les domaines d’expression aussi divers que la science, la culture, l’art, l’artisanat…et le sport.
Le Pr. Dagri-Diabaté réitère que la Grande Chancellerie veut être au cœur de l’édification de la nation en mouvement, en encourageant les jeunes qui, par leur performance scolaire, sportive, culturelle ou l’originalité de leur génie créateur, hautement reconnues, et qui participent à la restauration du label Côte d’Ivoire. « Certes maison de verre, au décor feutré, la Grande Chancellerie veut aussi être, jusqu’au bout, proche de n’importe qui, de n’importe quel citoyen, où qu’il se trouve et quel que soit son âge », a laissé entendre, pour sa part, son conseiller en Communication, Ibrahim Kamagaté.
Le 24 mai, cette institution honorait, à Abidjan, une soixantaine de femmes, de toutes conditions, en divers grade et qualité, reconnues pionnières dans leur domaine d’activité et qui, selon l’exposé du motif, ont contribué à assurer le succès, le développement humain et le progrès économique de la Côte d’Ivoire. Ces pionnières de la République ont, à leur façon, ouvert la voie aux générations futures ». Le 03 avril, à Bouaké (290 Km au nord d’Abidjan), étaient distingués de simples artisans, tenancières de maquis, sorte de restaurant populaire à l’ivoirienne, de coiffeuses et tailleurs ou couturiers, ainsi que des dirigeants d’entreprises et des leaders communautaires et autorités religieuses. Cet acte fut d’ailleurs salué par l’homme d’affaires et opérateur économique ivoirien fort bien connu, Kouamé Konan N’Sikan.
Selon ledit communiqué, il s’agit, non pas de décorer, mais de distinguer, par l’octroi de diplôme d’encouragement, des jeunes talentueux dans les domaines de la science, la culture, l’artisanat, le sport. L’objectif étant d’ »encourager et valoriser le mérite de ces jeunes qui ont des talents dont la Côte d’Ivoire a besoin pour relever les défis de son développement ».
Résolue à réaliser sa vocation au service de la « promotrice des valeurs d’excellence, du mérite et du dévouement au travail », Mme le Grand Chancelier de l’Ordre national, le Pr. Henriette Rose Dagri-Diabaté, y justifie cette journée du Mérite-Jeunes, par le fait que son institution, au service de la Côte d’Ivoire des valeurs et de la vertu, ne saurait rester indifférente à l’émergence de talents dans les domaines d’expression aussi divers que la science, la culture, l’art, l’artisanat…et le sport.
Le Pr. Dagri-Diabaté réitère que la Grande Chancellerie veut être au cœur de l’édification de la nation en mouvement, en encourageant les jeunes qui, par leur performance scolaire, sportive, culturelle ou l’originalité de leur génie créateur, hautement reconnues, et qui participent à la restauration du label Côte d’Ivoire. « Certes maison de verre, au décor feutré, la Grande Chancellerie veut aussi être, jusqu’au bout, proche de n’importe qui, de n’importe quel citoyen, où qu’il se trouve et quel que soit son âge », a laissé entendre, pour sa part, son conseiller en Communication, Ibrahim Kamagaté.
Le 24 mai, cette institution honorait, à Abidjan, une soixantaine de femmes, de toutes conditions, en divers grade et qualité, reconnues pionnières dans leur domaine d’activité et qui, selon l’exposé du motif, ont contribué à assurer le succès, le développement humain et le progrès économique de la Côte d’Ivoire. Ces pionnières de la République ont, à leur façon, ouvert la voie aux générations futures ». Le 03 avril, à Bouaké (290 Km au nord d’Abidjan), étaient distingués de simples artisans, tenancières de maquis, sorte de restaurant populaire à l’ivoirienne, de coiffeuses et tailleurs ou couturiers, ainsi que des dirigeants d’entreprises et des leaders communautaires et autorités religieuses. Cet acte fut d’ailleurs salué par l’homme d’affaires et opérateur économique ivoirien fort bien connu, Kouamé Konan N’Sikan.