Ouattara et son régime ont vraisemblablement le sommeil troublé depuis que Koua Justin a entamé ses tournées dans le District d’Abidjan. Ouattara voit des coups d’Etat partout. Le régime d’Abidjan devient paranoïaque sans la moindre raison. Sa frilosité et sa fébrilité ont atteint le pic, suite aux dernières tournées du secrétaire national de la Jfpi à Cocody, Marcory, Abobo et à Yopougon le week-end dernier. Fidèle à ses habitudes de dictateur, d’oppresseur, le pouvoir veut intimider Koua Justin. Des sources au sein de l’appareil de sécurité du pouvoir, nous ont tenus informer d’un projet funeste du régime contre Koua Justin. Ces sources révèlent que l’exécutif ivoirien veut arrêter le leader de la Jfpi par tous les moyens. Les agents des renseignements généraux, depuis quelques jours, à ses trousses. Parce que ses sorties fracassantes au cours de ses tournées, gênent énormément le pouvoir. Koua Justin est devenu donc l’homme à abattre pour le régime. Il faut le faire taire simplement.
Afin d’éteindre toutes velléités de résistance ou de contestation dans les rangs de la Jfpi et de la jeunesse patriotique. Informé de ce projet du pouvoir, Koua Justin est plus que jamais serein et déterminé à continuer le combat. Lorsque nous l’avons joint pour savoir son état d’esprit, il a répondu que rien ne pourra le faire taire. «Je suis serein. Quand tu es militant du Fpi, il faut te dire que tu gouteras un jour à la prison. Donc moi, je suis déjà préparé à cela. Ça fait partie du combat. J’ai vu pire que ça. Je voudrais dire à Ouattara que je ne me tairai jamais devant la souffrance qu’il fait endurer au peuple ivoirien. Dans ce combat, je me suis engagé à faire don de ma vie.
Que le pouvoir s’attelle plutôt à mettre en marche son programme de gouvernement plutôt que de passer son temps à arrêter et emprisonner les pro-Gbagbo et les honnêtes citoyens», a martelé Koua Justin. Il fait savoir au locataire du palais présidentiel qu’il y aura toujours au Fpi et à la Jfpi, des hommes pour reprendre et terminer le combat pour la démocratie et la liberté. Car le Fpi est une grosse machine fortement structurée qui dispose en son sein, des hommes et des femmes aguerries politiquement. Donc, son arrestation ne changera en rien la détermination de son parti. Pourtant dans ces discours pacifiques, ce leader de la jeunesse de l’opposition, n’a jamais fait cas de prendre les armes pour chasser Ouattara du pouvoir. Il s’agit pour Koua Justin de chasser ce régime tribal et fasciste de manière démocratique. A savoir par une révolution populaire. Visiblement, c’est le terme révolution qui fait terriblement au pouvoir de Ouattara. Pour rappel, cela fait bientôt deux mois que la jeunesse du Front populaire ivoirien (Jfpi) entreprend des tournées dans tout le District d’Abidjan et ses environs. N’en déplaise au régime actuel, qui est très inquiet.
Pourtant, ces tournées pacifiques visent simplement à remobiliser et à mettre en ordre de bataille, les fédérations, sections et les bases de la Jfpi dans les communes de la capitale économique. Il est aussi question de faire comprendre conscience à la population des souffrances quotidiennes, qu’elle vit depuis l’arrivée au pouvoir de Ouattara le 11 avril 2011. L’initiateur de ces tournées n’est autre que Koua Justin, secrétaire national par intérim de la Jfpi. Celui qu’on appelle affectueusement Nanan, a décidé de prendre le taureau par les cornes, face à la déliquescence dans laquelle se trouve la Côte d’Ivoire. Il refuse d’être complice des malheurs des Ivoiriens. Lesquels sont causés par le régime Ouattara. Il n’est plus question aux dires de Koua de rester les bras croisés et assister à la destruction des fondamentaux de la nation ivoirienne. C’est pourquoi il ne mâche pas ses mots pour dénoncer la corruption, la pauvreté grandissante, les licenciements abusifs, l’insécurité notoire, les enlèvements, les arrestations arbitraires, les persécutions des pro-Gbagbo, les exactions et crimes des Frci.
Koua Justin en a marre des dérives tribales et totalitaires du pouvoir d’Abidjan. Au lieu de se préoccuper des problèmes réels des Ivoiriens, Ouattara s’acharne tous les jours sur les pro-Gbagbo en Côte d’Ivoire et à l’extérieur. Ce que refuse avec la dernière énergie le secrétaire national de la Jfpi. Koua Justin explique dans ses tournées que le peuple doit prendre conscience du gouffre dans lequel le pays est plongé à cause de ce «gouvernement incompétent et corrompu». Mais également, il veut amener les structures du Fpi dont la jeunesse, à multiplier les réunions d’informations et de formation de ses membres dans fédérations, sections et base d’Abidjan. Le Fpi, à en croire Nanan, ne doit pas regarder le peuple souffrir et mourir au quotidien. Le Fpi a un devoir historique à accomplir pour sauver ce qui peut l’être encore.
Pour mener donc la lutte pour la démocratie et la liberté, il faut des hommes et des femmes courageuses, estime Koua Justin. Désormais, la Jfpi doit faire face au climat de terreur que veut installer le régime à travers ses Frci qui pullulent partout en Côte d’Ivoire. Il faut chasser Ouattara du pouvoir, ne cesse de répéter le patron intérimaire de la Jfpi. «Ce n’est pas par les armes que nous chasserons ce régime fébrile. Nous n’avons pas une culture de coups d’Etat comme certains dans ce pays. Nous avons été formés à l’école du président Gbagbo, démocrate chevronné. Nos moyens d’expression sont les marches, les meetings, les sit-in, les tournées de sensibilisation. Nous ferons partir Ouattara du pouvoir de manière démocratique», assène Koua Justin. «Il n’y a que par la révolution populaire que le pouvoir d’Abidjan s’écroulera», insiste le secrétaire national de la Jfpi dans chacune de ses tournées. Pour lui, il faut désormais que la peur s’installe du côté du pouvoir
Fabrice Tété
Afin d’éteindre toutes velléités de résistance ou de contestation dans les rangs de la Jfpi et de la jeunesse patriotique. Informé de ce projet du pouvoir, Koua Justin est plus que jamais serein et déterminé à continuer le combat. Lorsque nous l’avons joint pour savoir son état d’esprit, il a répondu que rien ne pourra le faire taire. «Je suis serein. Quand tu es militant du Fpi, il faut te dire que tu gouteras un jour à la prison. Donc moi, je suis déjà préparé à cela. Ça fait partie du combat. J’ai vu pire que ça. Je voudrais dire à Ouattara que je ne me tairai jamais devant la souffrance qu’il fait endurer au peuple ivoirien. Dans ce combat, je me suis engagé à faire don de ma vie.
Que le pouvoir s’attelle plutôt à mettre en marche son programme de gouvernement plutôt que de passer son temps à arrêter et emprisonner les pro-Gbagbo et les honnêtes citoyens», a martelé Koua Justin. Il fait savoir au locataire du palais présidentiel qu’il y aura toujours au Fpi et à la Jfpi, des hommes pour reprendre et terminer le combat pour la démocratie et la liberté. Car le Fpi est une grosse machine fortement structurée qui dispose en son sein, des hommes et des femmes aguerries politiquement. Donc, son arrestation ne changera en rien la détermination de son parti. Pourtant dans ces discours pacifiques, ce leader de la jeunesse de l’opposition, n’a jamais fait cas de prendre les armes pour chasser Ouattara du pouvoir. Il s’agit pour Koua Justin de chasser ce régime tribal et fasciste de manière démocratique. A savoir par une révolution populaire. Visiblement, c’est le terme révolution qui fait terriblement au pouvoir de Ouattara. Pour rappel, cela fait bientôt deux mois que la jeunesse du Front populaire ivoirien (Jfpi) entreprend des tournées dans tout le District d’Abidjan et ses environs. N’en déplaise au régime actuel, qui est très inquiet.
Pourtant, ces tournées pacifiques visent simplement à remobiliser et à mettre en ordre de bataille, les fédérations, sections et les bases de la Jfpi dans les communes de la capitale économique. Il est aussi question de faire comprendre conscience à la population des souffrances quotidiennes, qu’elle vit depuis l’arrivée au pouvoir de Ouattara le 11 avril 2011. L’initiateur de ces tournées n’est autre que Koua Justin, secrétaire national par intérim de la Jfpi. Celui qu’on appelle affectueusement Nanan, a décidé de prendre le taureau par les cornes, face à la déliquescence dans laquelle se trouve la Côte d’Ivoire. Il refuse d’être complice des malheurs des Ivoiriens. Lesquels sont causés par le régime Ouattara. Il n’est plus question aux dires de Koua de rester les bras croisés et assister à la destruction des fondamentaux de la nation ivoirienne. C’est pourquoi il ne mâche pas ses mots pour dénoncer la corruption, la pauvreté grandissante, les licenciements abusifs, l’insécurité notoire, les enlèvements, les arrestations arbitraires, les persécutions des pro-Gbagbo, les exactions et crimes des Frci.
Koua Justin en a marre des dérives tribales et totalitaires du pouvoir d’Abidjan. Au lieu de se préoccuper des problèmes réels des Ivoiriens, Ouattara s’acharne tous les jours sur les pro-Gbagbo en Côte d’Ivoire et à l’extérieur. Ce que refuse avec la dernière énergie le secrétaire national de la Jfpi. Koua Justin explique dans ses tournées que le peuple doit prendre conscience du gouffre dans lequel le pays est plongé à cause de ce «gouvernement incompétent et corrompu». Mais également, il veut amener les structures du Fpi dont la jeunesse, à multiplier les réunions d’informations et de formation de ses membres dans fédérations, sections et base d’Abidjan. Le Fpi, à en croire Nanan, ne doit pas regarder le peuple souffrir et mourir au quotidien. Le Fpi a un devoir historique à accomplir pour sauver ce qui peut l’être encore.
Pour mener donc la lutte pour la démocratie et la liberté, il faut des hommes et des femmes courageuses, estime Koua Justin. Désormais, la Jfpi doit faire face au climat de terreur que veut installer le régime à travers ses Frci qui pullulent partout en Côte d’Ivoire. Il faut chasser Ouattara du pouvoir, ne cesse de répéter le patron intérimaire de la Jfpi. «Ce n’est pas par les armes que nous chasserons ce régime fébrile. Nous n’avons pas une culture de coups d’Etat comme certains dans ce pays. Nous avons été formés à l’école du président Gbagbo, démocrate chevronné. Nos moyens d’expression sont les marches, les meetings, les sit-in, les tournées de sensibilisation. Nous ferons partir Ouattara du pouvoir de manière démocratique», assène Koua Justin. «Il n’y a que par la révolution populaire que le pouvoir d’Abidjan s’écroulera», insiste le secrétaire national de la Jfpi dans chacune de ses tournées. Pour lui, il faut désormais que la peur s’installe du côté du pouvoir
Fabrice Tété