« Nous avons parlé de la réunion qui nous réunit ici à Cotonou, à savoir la réunion des ministres de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique de l’espace CEDEAO.
Cette réunion vise à adopter une politique régionale commune en matière de recherche scientifique. Elle intervient deux mois après celle que nous avons eue à Yamoussoukro, le 24 mars dernier. Réunion au cours de laquelle nous avons passé en revue toutes les problématiques concernant la recherche dans nos différents pays. Mais également les stratégies à mettre en œuvre pour que ces problématiques soient adressées et que les solutions idoines puissent être apportées en nous donnant les moyens de faire en sorte que les solutions adoptées puissent être mis en œuvre.
Nous avons donc exposé au Président de la République, d’abord l’objet de notre rencontre, mais surtout nous avons demandé au Président de la République, d’être notre avocat auprès de ces pairs pour défendre la cause de la Recherche Scientifique dans nos différents pays. Pourquoi défendre la cause de la Recherche Scientifique ? Parce que nous lui avons dit que la Recherche Scientifique était considérée dans nos différents pays comme la cinquième roue de la charrette c'est-à-dire comme moins que rien. Et pourtant de notre point de vue, la Recherche Scientifique est au début de tout développement. Nous avons-nous en Côte d’Ivoire, un leitmotiv au ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, c’est la Recherche Scientifique est le moteur de développement. Nous avons rappelé à l’attention du Président de la république quelques deux exemples de pays qui sont arrivés là où ils sont aujourd’hui à cause de la recherche. La Corée du Sud qui en 1970 était moins développée que certains de nos Etats, à ce jour je n’ai pas besoin de faire un commentaire pour vous dire qu’est cet Etat. Cela n’est pas le fruit du hasard, cela n’est pas le fait du hasard. C’est le fait de la Recherche Scientifique.
Nous avons pris le cas d’un deuxième pays, la Malaisie. Ce pays a exporté des plants de palmier à partir de nos différents pays. Et le Président de la République a relevé qu’au Benin ici, des pays sont venus prendre des plants de palmiers. Ces pays sont devenus premier producteur de palmier à ce jour. Cela n’est pas le fait du hasard, c’est le fait de la Recherche Scientifique.
Nous avons donc demandé au Président en exercice de l’UA d’être notre avocat auprès de ces pairs afin que la Recherche Scientifique bénéficie de toute l’attention dont elle a besoin, que la recherche scientifique bénéficie de tout l’appui institutionnel, politique, financier, matériel qu’il lui faut pour pousser nos différents pays au niveau de développement auquel nous aspirons tous. Cela est possible et très vite je crois que nous avons été bien entendus puisque le Président de la République dans son intervention nous a donné toutes les assurances à faire en sorte que ses pairs puissent être sensibilisés autant nous avons - j’espère – réussit à le sensibiliser.
Aussi, nous avons évoqué la décoration du Président de la République au rang du Grand Croix de l’Ordre International des Palmes Académiques du CAMES. Cette décoration n’est pas pour faire plaisir au Président BONI YAYI, mais plutôt à tous les Présidents qui ont apporté beaucoup à la recherche scientifique, qui se sont impliqués dans la promotion de la recherche scientifique dans leur pays. C’est ainsi que BONI YAYI a été proposé au même titre que les Présidents Blaise COMPAORE et Alassane OUATTARA.
Propos recueillis par le service de communication
Cette réunion vise à adopter une politique régionale commune en matière de recherche scientifique. Elle intervient deux mois après celle que nous avons eue à Yamoussoukro, le 24 mars dernier. Réunion au cours de laquelle nous avons passé en revue toutes les problématiques concernant la recherche dans nos différents pays. Mais également les stratégies à mettre en œuvre pour que ces problématiques soient adressées et que les solutions idoines puissent être apportées en nous donnant les moyens de faire en sorte que les solutions adoptées puissent être mis en œuvre.
Nous avons donc exposé au Président de la République, d’abord l’objet de notre rencontre, mais surtout nous avons demandé au Président de la République, d’être notre avocat auprès de ces pairs pour défendre la cause de la Recherche Scientifique dans nos différents pays. Pourquoi défendre la cause de la Recherche Scientifique ? Parce que nous lui avons dit que la Recherche Scientifique était considérée dans nos différents pays comme la cinquième roue de la charrette c'est-à-dire comme moins que rien. Et pourtant de notre point de vue, la Recherche Scientifique est au début de tout développement. Nous avons-nous en Côte d’Ivoire, un leitmotiv au ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, c’est la Recherche Scientifique est le moteur de développement. Nous avons rappelé à l’attention du Président de la république quelques deux exemples de pays qui sont arrivés là où ils sont aujourd’hui à cause de la recherche. La Corée du Sud qui en 1970 était moins développée que certains de nos Etats, à ce jour je n’ai pas besoin de faire un commentaire pour vous dire qu’est cet Etat. Cela n’est pas le fruit du hasard, cela n’est pas le fait du hasard. C’est le fait de la Recherche Scientifique.
Nous avons pris le cas d’un deuxième pays, la Malaisie. Ce pays a exporté des plants de palmier à partir de nos différents pays. Et le Président de la République a relevé qu’au Benin ici, des pays sont venus prendre des plants de palmiers. Ces pays sont devenus premier producteur de palmier à ce jour. Cela n’est pas le fait du hasard, c’est le fait de la Recherche Scientifique.
Nous avons donc demandé au Président en exercice de l’UA d’être notre avocat auprès de ces pairs afin que la Recherche Scientifique bénéficie de toute l’attention dont elle a besoin, que la recherche scientifique bénéficie de tout l’appui institutionnel, politique, financier, matériel qu’il lui faut pour pousser nos différents pays au niveau de développement auquel nous aspirons tous. Cela est possible et très vite je crois que nous avons été bien entendus puisque le Président de la République dans son intervention nous a donné toutes les assurances à faire en sorte que ses pairs puissent être sensibilisés autant nous avons - j’espère – réussit à le sensibiliser.
Aussi, nous avons évoqué la décoration du Président de la République au rang du Grand Croix de l’Ordre International des Palmes Académiques du CAMES. Cette décoration n’est pas pour faire plaisir au Président BONI YAYI, mais plutôt à tous les Présidents qui ont apporté beaucoup à la recherche scientifique, qui se sont impliqués dans la promotion de la recherche scientifique dans leur pays. C’est ainsi que BONI YAYI a été proposé au même titre que les Présidents Blaise COMPAORE et Alassane OUATTARA.
Propos recueillis par le service de communication
