Le ministère ivoirien de la Culture a instauré un système de "bibliothèques ambulantes" pour inciter les populations à la lecture, a constaté mercredi Xinhua.
Des actions de promotion ont ainsi été instituées afin de rapprocher le livre de toutes les couches sociales.
Pour le directeur de la Lecture et du livre au ministère ivoirien de la Culture Jérôme Kouassi, le livre se présente comme un excellent outil d'acquisition de connaissances et d'épanouissement.
M. Kouassi dont les services ont initié l'action en milieu scolaire baptisée "les carrefours du livre" a fait état de son ambition de donner aux élèves le goût de la lecture, facteur de socialisation.
De son côté, la directrice de la bibliothèque nationale Chantal Adjiman s'est inscrite dans la mouvance des "bibliothèques ambulantes" à travers la mise en place de centres de lecture dans des secteurs à fréquentation féminine.
"Le livre nous ouvre l'esprit. Il nous permet d'être des citoyens enracinés dans notre propre culture et ouverts aussi sur le reste du monde", a déclaré Mme Adjiman au cours d'une séance d'installation de mini bibliothèques.
A maintes occasions, les autorités du ministère ont déploré le désintérêt des Ivoiriens pour la culture, et ont pris l'engagement de s'atteler à une promotion accrue du livre auprès des populations dans toutes leurs composantes.
Des actions de promotion ont ainsi été instituées afin de rapprocher le livre de toutes les couches sociales.
Pour le directeur de la Lecture et du livre au ministère ivoirien de la Culture Jérôme Kouassi, le livre se présente comme un excellent outil d'acquisition de connaissances et d'épanouissement.
M. Kouassi dont les services ont initié l'action en milieu scolaire baptisée "les carrefours du livre" a fait état de son ambition de donner aux élèves le goût de la lecture, facteur de socialisation.
De son côté, la directrice de la bibliothèque nationale Chantal Adjiman s'est inscrite dans la mouvance des "bibliothèques ambulantes" à travers la mise en place de centres de lecture dans des secteurs à fréquentation féminine.
"Le livre nous ouvre l'esprit. Il nous permet d'être des citoyens enracinés dans notre propre culture et ouverts aussi sur le reste du monde", a déclaré Mme Adjiman au cours d'une séance d'installation de mini bibliothèques.
A maintes occasions, les autorités du ministère ont déploré le désintérêt des Ivoiriens pour la culture, et ont pris l'engagement de s'atteler à une promotion accrue du livre auprès des populations dans toutes leurs composantes.