Le lundi 25 juin 2012, à la Fondation Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la Paix de Yamoussoukro, s’est tenu un séminaire gouvernemental sur le foncier rural et urbain.
L’objectif de ces assises était de permettre aux membres du Gouvernement d’identifier les problèmes afférents au foncier rural et urbain, en vue d’y apporter des solutions dans la perspective d’un développement cohérent et durable, gage d’une cohésion des populations et d’une paix durable. Prenant une part active aux travaux qui se sont déroulés dans la capitale politique, le Ministre des Mines, du Pétrole et de l’Energie, M. Adama Toungara a indiqué que les décisions qui ont été prises peuvent avoir des répercussions sur la recherche minière en Côte d’ivoire. « La recherche minière porte sur le sous-sol, mais elle s’appuie sur le sol pour conduire les opérations de contrôle et de développement. Il se trouve que les décisions que nous avons arrêtées peuvent impacter sérieusement la recherche minière parce que nous voyons les revendications quelques fois abusives appelées droit coutumier qui font que la recherche minière se trouve retardée », souligne-t-il. Pour lui, si nous n’y prenons garde, « cette situation peut conduire à l’arrêt de certaines opérations minières parce que dans certaines régions, des cadres auto-constitués ou auto-nommés créent des comités de gestion des opérations minières et attribuent des autorisations d’orpaillage qui engendrent aujourd’hui des problèmes réels ». Le secteur minier est en plein essor dans notre pays. En effet, de 2008 à 2010, il n’y a eu que 62 demandes de permis d’exploitation minière. Pour la seule année 2011, il y en a eu 50 et pour le premier semestre 2012, nous avons enregistré 62 demandes. Rien qu’à considérer ces chiffres, le Ministre Adama Toungara estime qu’il faut que le foncier soit organisé et que le droit de l’Etat d’attribuer les permis de recherche soit renforcé.
L’objectif de ces assises était de permettre aux membres du Gouvernement d’identifier les problèmes afférents au foncier rural et urbain, en vue d’y apporter des solutions dans la perspective d’un développement cohérent et durable, gage d’une cohésion des populations et d’une paix durable. Prenant une part active aux travaux qui se sont déroulés dans la capitale politique, le Ministre des Mines, du Pétrole et de l’Energie, M. Adama Toungara a indiqué que les décisions qui ont été prises peuvent avoir des répercussions sur la recherche minière en Côte d’ivoire. « La recherche minière porte sur le sous-sol, mais elle s’appuie sur le sol pour conduire les opérations de contrôle et de développement. Il se trouve que les décisions que nous avons arrêtées peuvent impacter sérieusement la recherche minière parce que nous voyons les revendications quelques fois abusives appelées droit coutumier qui font que la recherche minière se trouve retardée », souligne-t-il. Pour lui, si nous n’y prenons garde, « cette situation peut conduire à l’arrêt de certaines opérations minières parce que dans certaines régions, des cadres auto-constitués ou auto-nommés créent des comités de gestion des opérations minières et attribuent des autorisations d’orpaillage qui engendrent aujourd’hui des problèmes réels ». Le secteur minier est en plein essor dans notre pays. En effet, de 2008 à 2010, il n’y a eu que 62 demandes de permis d’exploitation minière. Pour la seule année 2011, il y en a eu 50 et pour le premier semestre 2012, nous avons enregistré 62 demandes. Rien qu’à considérer ces chiffres, le Ministre Adama Toungara estime qu’il faut que le foncier soit organisé et que le droit de l’Etat d’attribuer les permis de recherche soit renforcé.