Triste nouvelle dans le ciel et sur la terre des bonnes gens, que d’entendre le Premier ministre français Jean Marc Aynaut annoncer dans son programme général qu’en France, le mariage homosexuel pourra être librement célébré. Des informations à ne pas répéter fort devant la mosquée de mon village ou même devant la chapelle du très libéral catéchiste qu’est mon oncle.
Je n’en reviens pas. Que les arrières petits-fils des Gaullois venus nous coloniser et nous soumettre à ‘’la bonne civilisation’’ soient à promouvoir la légalisation d’actes aussi indécents parce que contre-nature dans toutes les civilisations du monde. Il est vrai que des agissements isolés en la matière existent sous tous les cieux, mais aucun peuple n’en fait la promotion. Bien au contraire l’acte est réprimandé au point d’être parfois banni de la communauté en guise de punition. De quoi vous mêlez-vous, vous africains, d’une décision qui n’est valable qu’en France, pourrait-on m’objecter ?
Or justement, les Français sont nos cousins lointains auxquels nous sommes solidement restés attachés à plusieurs titres. Nous parlons leur langue, nous leur vendons la majeure partie de nos produits commerciaux et ils nous éditent les critères de la démocratisation. Et c’est justement sur ce dernier point que je tire ma raison de crier mon indignation. Car en suivant l’actualité africaine, j’ai appris le mépris exprimé à juste titre par les Ougandais, Sud Africains et Camerounais aux homosexuels de leur pays. Et bien souvent, les citoyens des pays Européens éprouvent le malin plaisir de condamner ceux qui osent inquiéter judiciairement ces pratiquants de la perversion. Maintenant, qu’un président français promette pendant la campagne électorale de légaliser l’homosexualité et fasse annoncer par son premier ministre, le sujet devient tout de suite d’intérêt international, surtout pour nous autres pays francophones d’Afrique auxquels la grande France dicte les règles de la démocratie. Lesquelles règles dont l’observation conditionne les assistances, les soutiens et autres faveurs. Bien souvent, nous autres citoyens des tropiques sommes toujours prêts à singer les comportements pervers des occidentaux. Cette fois, je souhaite que chaque famille et chaque communauté veillent au grain et que ces actes contre-nature ne se développent pas chez nous pour que des donneurs de leçons viennent à nous exiger de reconnaître des droits à quiconque. On n’aura pas besoin de Talibans et autres islamistes.
G.A
Je n’en reviens pas. Que les arrières petits-fils des Gaullois venus nous coloniser et nous soumettre à ‘’la bonne civilisation’’ soient à promouvoir la légalisation d’actes aussi indécents parce que contre-nature dans toutes les civilisations du monde. Il est vrai que des agissements isolés en la matière existent sous tous les cieux, mais aucun peuple n’en fait la promotion. Bien au contraire l’acte est réprimandé au point d’être parfois banni de la communauté en guise de punition. De quoi vous mêlez-vous, vous africains, d’une décision qui n’est valable qu’en France, pourrait-on m’objecter ?
Or justement, les Français sont nos cousins lointains auxquels nous sommes solidement restés attachés à plusieurs titres. Nous parlons leur langue, nous leur vendons la majeure partie de nos produits commerciaux et ils nous éditent les critères de la démocratisation. Et c’est justement sur ce dernier point que je tire ma raison de crier mon indignation. Car en suivant l’actualité africaine, j’ai appris le mépris exprimé à juste titre par les Ougandais, Sud Africains et Camerounais aux homosexuels de leur pays. Et bien souvent, les citoyens des pays Européens éprouvent le malin plaisir de condamner ceux qui osent inquiéter judiciairement ces pratiquants de la perversion. Maintenant, qu’un président français promette pendant la campagne électorale de légaliser l’homosexualité et fasse annoncer par son premier ministre, le sujet devient tout de suite d’intérêt international, surtout pour nous autres pays francophones d’Afrique auxquels la grande France dicte les règles de la démocratie. Lesquelles règles dont l’observation conditionne les assistances, les soutiens et autres faveurs. Bien souvent, nous autres citoyens des tropiques sommes toujours prêts à singer les comportements pervers des occidentaux. Cette fois, je souhaite que chaque famille et chaque communauté veillent au grain et que ces actes contre-nature ne se développent pas chez nous pour que des donneurs de leçons viennent à nous exiger de reconnaître des droits à quiconque. On n’aura pas besoin de Talibans et autres islamistes.
G.A