En prélude au lancement du concept «J’ai une famille» prévu pour le mois de septembre 2012, la ministre de la Famille, de la Femme et de l’Enfant a échangé le lundi 9 juillet 2012 avec la «Task force» du Conseil économique et social. A cette occasion, Mme Raymonde Goudou Coffie a déclaré la guerre aux promoteurs des boîtes de nuit où des filles font du strip-tease.
Le président du Conseil économique et social entouré de ses plus proches collaborateurs de la « Task force » qu’il a mise en place, en attendant la nomination des conseillers économiques et sociaux, a fait des propositions pour améliorer le concept « J’ai une famille ».
Ce concept qui a été élaboré par Mme Raymonde Goudou Coffie, se décline en trois thématiques : « J’ai une famille, j’ai des valeurs », « J’ai une famille, je la fais avancer » et « J’ai une famille, je la protège ». Chacune de ces thématiques contient des actions à mener pour l’amélioration de l’environnement de vie des Ivoiriens. Dans cette optique, Mme Raymonde Goudou Coffie s’est insurgée contre certains comportements, en violation des droits de l’homme en Côte d’Ivoire. « Il n’est pas normal que des adultes violent des nourrissons et qu’ils n’écopent que d’une peine de 6 à 8 mois », a dénoncé la ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant. Elle a également insisté sur un phénomène en plein essor en Côte d’Ivoire, le strip-tease dans des bars et autres boîtes de nuit. « Nous ne montons au créneau que lorsque nous avons des informations vérifiées aussi bien au niveau de la police que de la justice. Je n’ai vraiment aucun état d’âme à faire punir des gens qui violent des mineures. Je serai aussi sans état d’âme pour les bars où des filles dansent nues», a-t-elle averti. Le président du CES s’est réjoui de la collaboration entre son institution et le ministère de la Famille, de la Femme et de l’Enfant. « Si nous travaillons ensemble, nous pouvons faire avancer les choses », a dit Marcel Zadi Kessy. En terme de propositions, le président du CES a suggéré à Mme Goudou Coffie, de s’appuyer sur les sites-pilotes créés à Yacolidabouo, Assinie-Mafia, Tiassalé, Didakouadiokro, Fodebougou et Tanguelan, pour expérimenter son concept avant de le porter à l’échelle nationale.
Olivier Dion
Le président du Conseil économique et social entouré de ses plus proches collaborateurs de la « Task force » qu’il a mise en place, en attendant la nomination des conseillers économiques et sociaux, a fait des propositions pour améliorer le concept « J’ai une famille ».
Ce concept qui a été élaboré par Mme Raymonde Goudou Coffie, se décline en trois thématiques : « J’ai une famille, j’ai des valeurs », « J’ai une famille, je la fais avancer » et « J’ai une famille, je la protège ». Chacune de ces thématiques contient des actions à mener pour l’amélioration de l’environnement de vie des Ivoiriens. Dans cette optique, Mme Raymonde Goudou Coffie s’est insurgée contre certains comportements, en violation des droits de l’homme en Côte d’Ivoire. « Il n’est pas normal que des adultes violent des nourrissons et qu’ils n’écopent que d’une peine de 6 à 8 mois », a dénoncé la ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant. Elle a également insisté sur un phénomène en plein essor en Côte d’Ivoire, le strip-tease dans des bars et autres boîtes de nuit. « Nous ne montons au créneau que lorsque nous avons des informations vérifiées aussi bien au niveau de la police que de la justice. Je n’ai vraiment aucun état d’âme à faire punir des gens qui violent des mineures. Je serai aussi sans état d’âme pour les bars où des filles dansent nues», a-t-elle averti. Le président du CES s’est réjoui de la collaboration entre son institution et le ministère de la Famille, de la Femme et de l’Enfant. « Si nous travaillons ensemble, nous pouvons faire avancer les choses », a dit Marcel Zadi Kessy. En terme de propositions, le président du CES a suggéré à Mme Goudou Coffie, de s’appuyer sur les sites-pilotes créés à Yacolidabouo, Assinie-Mafia, Tiassalé, Didakouadiokro, Fodebougou et Tanguelan, pour expérimenter son concept avant de le porter à l’échelle nationale.
Olivier Dion