S’approprier le processus de mise en œuvre nationale de l’initiative mondiale sur les économies de carburant et l’utilisation de véhicules propres et plus efficaces et mobiliser les parties prenantes pour une collaboration conséquente dans ce cadre sont les objectifs de l’atelier qu’a ouvert le ministre de l’Environnement et du Développement durable, M. Rémi Allah Kouadio à la salle de conférence du Bureau international du travail (BIT) au Plateau le lundi 16 juillet 2012. En présence de la représentante du Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE), Mme Jane Akumu, il a déclaré à cet effet que les thématiques de cet atelier de deux jours, vont contribuer, au lendemain de la Conférence de Rio+20, à assurer d’une part la transition vers une économie verte à travers des économies de carburant et d’autre part à réduire les émissions de gaz à effet de serre par l’utilisation de véhicules propres et plus efficaces.
Effectifs, taux de croissance, âge moyen et importation des véhicules de transport de passagers où autres, émissions liées aux transports, régimes fiscal des véhicules, qualités et normes sur les carburants, sensibilisation des populations constituent les points saillants qui seront abordés au cours de cet atelier. Le but visé est de promouvoir auprès des différents ministères et acteurs cibles des stratégies efficaces de réduction des émissions des automobiles au niveau de chaque pays afin de s’assurer que d’ici 2050, les voitures dans le monde, et en particulier en Côte d’Ivoire, soient deux fois plus efficaces qu’elles ne le sont aujourd’hui.
Dans ce contexte, M. Allah Kouadio Rémi a noté que les efforts du gouvernement en matière de projections pour l’amélioration de la qualité du carburant en Côte d’Ivoire sont déjà encourageants, et a annoncé par ailleurs, des mesures au niveau de son département pour interdire d’ici peu la circulation de tous les véhicules émettant des fumées opaques de couleur noire ou blanche et l’instauration à court terme de seuils d’émission de gaz à effets de serres. Une dynamique qui vise à freiner la menace que constitue pour la santé des citoyens, la pollution de l’air due au gaz d’échappement des véhicules, a-t-il souligné.
C’est pourquoi, il a appelé les participants à cet atelier à des travaux de qualités, car leurs conclusions sont vivement attendues par l’ensemble des ministères techniques concernés pour asseoir des mesures opérationnelles à conduire dans le court et moyen terme ; en vue d’affirmer la volonté actuelle du gouvernement à améliorer la qualité de vie des populations à travers entre autres, la réduction de tous les facteurs pouvant générer des polluants.
Une nécessité affirmé par Mme Jane Akumu qui annonce que face au boom que va connaitre la croissance du nombre de véhicules dans les pays en développement, avec la plus forte progression en 2015, il faut que chacun de ces pays se dote de politique conséquente pour contribuer à atteindre l’objectif de l’initiative mondiale qui vise une réduction de 50% des gaz à effet de serres d’ici 2050.
Effectifs, taux de croissance, âge moyen et importation des véhicules de transport de passagers où autres, émissions liées aux transports, régimes fiscal des véhicules, qualités et normes sur les carburants, sensibilisation des populations constituent les points saillants qui seront abordés au cours de cet atelier. Le but visé est de promouvoir auprès des différents ministères et acteurs cibles des stratégies efficaces de réduction des émissions des automobiles au niveau de chaque pays afin de s’assurer que d’ici 2050, les voitures dans le monde, et en particulier en Côte d’Ivoire, soient deux fois plus efficaces qu’elles ne le sont aujourd’hui.
Dans ce contexte, M. Allah Kouadio Rémi a noté que les efforts du gouvernement en matière de projections pour l’amélioration de la qualité du carburant en Côte d’Ivoire sont déjà encourageants, et a annoncé par ailleurs, des mesures au niveau de son département pour interdire d’ici peu la circulation de tous les véhicules émettant des fumées opaques de couleur noire ou blanche et l’instauration à court terme de seuils d’émission de gaz à effets de serres. Une dynamique qui vise à freiner la menace que constitue pour la santé des citoyens, la pollution de l’air due au gaz d’échappement des véhicules, a-t-il souligné.
C’est pourquoi, il a appelé les participants à cet atelier à des travaux de qualités, car leurs conclusions sont vivement attendues par l’ensemble des ministères techniques concernés pour asseoir des mesures opérationnelles à conduire dans le court et moyen terme ; en vue d’affirmer la volonté actuelle du gouvernement à améliorer la qualité de vie des populations à travers entre autres, la réduction de tous les facteurs pouvant générer des polluants.
Une nécessité affirmé par Mme Jane Akumu qui annonce que face au boom que va connaitre la croissance du nombre de véhicules dans les pays en développement, avec la plus forte progression en 2015, il faut que chacun de ces pays se dote de politique conséquente pour contribuer à atteindre l’objectif de l’initiative mondiale qui vise une réduction de 50% des gaz à effet de serres d’ici 2050.
