C’est le 25 juillet 2012 que le litige financier sur le montant de 264 millions de FCFA qui oppose Elie Hallassou à Maola Mohamed connaîtra son dénouement après plusieurs années de procès. Mais à quelques jours de cette date fatidique, Elie Hallassou a fait le point de ce procès marathon à la presse le jeudi 19 juillet 2012. A en croire le conférencier qui s’est appesanti sur le protocole d’accord, Maola Mohamed a reconnu qu’il lui doit la somme de 264 millions de FCFA.
‘’Dans le cadre de leurs relations, monsieur Mohamed Maola a signé 14 reconnaissances de dette en faveur de monsieur Elie Hallassou. Monsieur Mohamed Maola a en outre signé 14 chèques d’une valeur totale de 264.000.000 de FCFA au profit de monsieur Elie Hallassou’’, dit le protocole d’accord. Mais contre toute attente, Maola se rebiffe et conteste le bien fondé de cette somme, sous prétexte qu’il a émis ces chèques sous la menace des armes de la garde rapprochée d’Elie Hallassou. Il saisit le procureur de la République et propose la somme de 30.000.000 de FCFA pour solde de tout compte. Pour sa défense, Maola porte son choix sur Me Prince Bessy, et la SCPA Ahoussou-Konan et Associés. Quant à Elie Hallasssou, il se confie à Me Vieirra Patrick Georges Kader. Il s’en suit alors un procès qui dure trois ans. Lors de sa conférence de presse d’hier, Elie Hallassou s’est étonné du fait que Maola et ses Avocats fassent machine arrière au grand dam de certains juges qui refusent selon lui, de faire leur mue malgré le séminaire sur la réforme de la justice qui a eu lieu à Yamoussoukro. Le client de Me Vieirra voit des mains politiques derrière les décisions de justice. Il estime que malgré le vaste mouvement de mutation des juges, rien n’a changé et ‘‘qu’on arrête de tromper le peuple’’. ‘’Qu’on arrête de faire croire que les anciens collaborateurs de l’ancien régime étaient tous des miliciens. C’est faux ! Il y avait des opérateurs économiques, des cadres, des hommes d’affaires et des hommes honnêtes. On ne prend pas la politique pour régler le droit. On règle le droit par le droit’’, a martelé Elie Hallassou.
Dosso Villard
‘’Dans le cadre de leurs relations, monsieur Mohamed Maola a signé 14 reconnaissances de dette en faveur de monsieur Elie Hallassou. Monsieur Mohamed Maola a en outre signé 14 chèques d’une valeur totale de 264.000.000 de FCFA au profit de monsieur Elie Hallassou’’, dit le protocole d’accord. Mais contre toute attente, Maola se rebiffe et conteste le bien fondé de cette somme, sous prétexte qu’il a émis ces chèques sous la menace des armes de la garde rapprochée d’Elie Hallassou. Il saisit le procureur de la République et propose la somme de 30.000.000 de FCFA pour solde de tout compte. Pour sa défense, Maola porte son choix sur Me Prince Bessy, et la SCPA Ahoussou-Konan et Associés. Quant à Elie Hallasssou, il se confie à Me Vieirra Patrick Georges Kader. Il s’en suit alors un procès qui dure trois ans. Lors de sa conférence de presse d’hier, Elie Hallassou s’est étonné du fait que Maola et ses Avocats fassent machine arrière au grand dam de certains juges qui refusent selon lui, de faire leur mue malgré le séminaire sur la réforme de la justice qui a eu lieu à Yamoussoukro. Le client de Me Vieirra voit des mains politiques derrière les décisions de justice. Il estime que malgré le vaste mouvement de mutation des juges, rien n’a changé et ‘‘qu’on arrête de tromper le peuple’’. ‘’Qu’on arrête de faire croire que les anciens collaborateurs de l’ancien régime étaient tous des miliciens. C’est faux ! Il y avait des opérateurs économiques, des cadres, des hommes d’affaires et des hommes honnêtes. On ne prend pas la politique pour régler le droit. On règle le droit par le droit’’, a martelé Elie Hallassou.
Dosso Villard