Si la Côte d’Ivoire veut devenir un pays émergent à l’horizon 2020, elle doit réduire la fracture numérique et se positionner comme un hub en matière de technologie de l’information et de la communication (Tic). C’est l’essentiel du message qu’a passé le ministre Koné Bruno de la Poste et des Tic, vendredi dernier, à la place ADO de San Pedro. C’était lors du lancement officielle de la construction du réseau haut débit de fibre optique qui a eu lieu en présence du Premier ministre Jeannot Ahoussou Kouadio. « Investir dans l’économie numérique, c’est investir dans l’avenir », a-t-il soutenu.
En effet, pour le ministre, l’avenir n’est pas envisageable sans les Tic. C’est pourquoi, il a rappelé que « avant, on disait que le route précède le développement, désormais, l’on devrait dire que les autoroutes de l’information et de la communication précèdent le développement ». C’est donc pour ne pas rester à la traine que, selon Bruno Koné, le gouvernement a lancé depuis quelques mois, un vaste chantier de développement des Tic. La cérémonie du jour, comme il l’a fait savoir, s’inscrit dans cette logique avec le lancement de la construction d’une réseau national haut débit de fibre optique qui s’inscrit dans le champ d’action du service universel tel que défini et prescrit par la nouvelle loi sur les télécommunications. « Ce réseau sera d’une longueur d’environ 6.700 km et reliera à son terme toutes les préfectures et sous-préfectures de Côte d’Ivoire », explique-t-il. Il a continué pour faire savoir que ce projet permettra la mise en œuvre plus aisée à l’intérieur du pays du projet de gouvernance électronique, l’extension sur tout le territoire des points de présence des opérateurs de téléphonie à des coûts d’investissement et d’exploitation moindre, l’accessibilité à l’Internet haut débit, etc.
Il est revenu à Euloge Soro Kipéya du Fonds national des télécommunications (Fnt), président du comité technique de donner des détails techniques sur le projet. Les étapes 1 et 2 concernent, selon lui, respectivement 1.400 km couvrant l’Ouest du pays et 549 km sur la partie Est. Il a révélé que les services qui pourront être offerts sur cette infrastructure seront la location de fibre noire entre deux points de coupure, la location de capacité ou bande passante entre deux points de coupure, la location d’espace sur pylône, la location d’espace au sol pour l’installation des équipements de fournisseurs de services de télécommunications et des Tic.
Comme le ministre de la Poste et des Tic, le Premier ministre Jeannot Ahoussou Kouadio croit en la Côte d’Ivoire pays émergent à l’horizon 2020. « Cet acte que nous posons est pour l’avenir de la Côte d’Ivoire », a-t-il lancé. Il a aussi noté la baisse des coûts des téléphones portables et des communications. Pour lui, « c’est aussi ça la lutte contre la cherté de la vie ».
Le projet, d’un coût global de 90 millions de dollars US est financé par un crédit fournisseur de la société de chinoise Huawei (85%) et par l’Etat de Côte d’Ivoire (15%). Cette cérémonie a enregistré la présente d’un représentant de l’ambassade de Chine en Côte d’Ivoire et de représentants de cette entreprise.
En effet, pour le ministre, l’avenir n’est pas envisageable sans les Tic. C’est pourquoi, il a rappelé que « avant, on disait que le route précède le développement, désormais, l’on devrait dire que les autoroutes de l’information et de la communication précèdent le développement ». C’est donc pour ne pas rester à la traine que, selon Bruno Koné, le gouvernement a lancé depuis quelques mois, un vaste chantier de développement des Tic. La cérémonie du jour, comme il l’a fait savoir, s’inscrit dans cette logique avec le lancement de la construction d’une réseau national haut débit de fibre optique qui s’inscrit dans le champ d’action du service universel tel que défini et prescrit par la nouvelle loi sur les télécommunications. « Ce réseau sera d’une longueur d’environ 6.700 km et reliera à son terme toutes les préfectures et sous-préfectures de Côte d’Ivoire », explique-t-il. Il a continué pour faire savoir que ce projet permettra la mise en œuvre plus aisée à l’intérieur du pays du projet de gouvernance électronique, l’extension sur tout le territoire des points de présence des opérateurs de téléphonie à des coûts d’investissement et d’exploitation moindre, l’accessibilité à l’Internet haut débit, etc.
Il est revenu à Euloge Soro Kipéya du Fonds national des télécommunications (Fnt), président du comité technique de donner des détails techniques sur le projet. Les étapes 1 et 2 concernent, selon lui, respectivement 1.400 km couvrant l’Ouest du pays et 549 km sur la partie Est. Il a révélé que les services qui pourront être offerts sur cette infrastructure seront la location de fibre noire entre deux points de coupure, la location de capacité ou bande passante entre deux points de coupure, la location d’espace sur pylône, la location d’espace au sol pour l’installation des équipements de fournisseurs de services de télécommunications et des Tic.
Comme le ministre de la Poste et des Tic, le Premier ministre Jeannot Ahoussou Kouadio croit en la Côte d’Ivoire pays émergent à l’horizon 2020. « Cet acte que nous posons est pour l’avenir de la Côte d’Ivoire », a-t-il lancé. Il a aussi noté la baisse des coûts des téléphones portables et des communications. Pour lui, « c’est aussi ça la lutte contre la cherté de la vie ».
Le projet, d’un coût global de 90 millions de dollars US est financé par un crédit fournisseur de la société de chinoise Huawei (85%) et par l’Etat de Côte d’Ivoire (15%). Cette cérémonie a enregistré la présente d’un représentant de l’ambassade de Chine en Côte d’Ivoire et de représentants de cette entreprise.