Elles interpellent le président Hollande et le ministre de la Justice Française
L’observatoire internationale des droits de l’homme (OITDH) et des organisations non gouvernementales françaises et africaines se sont élevés contre le mandat d’arrêt lancé par les autorités judiciaires françaises contre Théodorin NGuema Obiang, ministre des Forêts et de l’Agriculture et vice-président de la Guinée équatoriale. Lors d’une rencontre organisée récemment à Paris (France), ces différentes structures ont exprimé leur indignation et dénoncé ce qu’elles ont qualifié de ‘’justice du plus fort’’. Carlos Fardon, président de l’Observatoire a animé cette rencontre. Il a fait remarquer que ce mandat d’arrêt qui procède, selon eux d’un abus de pouvoir, est « une atteinte flagrante à la souveraineté d’un Etat ». En outre, il a estimé que c’est une manipulation et un acharnement qu’exercent les juges Roger Le Loire et René Gourmand contre Théodorin N’Guema Obiang, par ailleurs, fils du président Equato-guinéen. « Nous protestons vivement contre cet acharnement sur le vice-président Théodorin. Pourquoi ressusciter cette fausse affaire alors que cette affaire sous Nicolas Sarkozy avait été bloquée par le parquet de Paris ? » a interrogé Carlos Fardon. « Aujourd’hui, après investigations nous avons découvert que c’est William Boudan, un des membres fondateurs de l’organisation Anti-corruption transparency international et Sherpa et conseiller du président Hollande qui est derrière cette machination. Et c’est lui qui a actionné les juges Le Loire et Gourmand. Mais nous disons non à cette atteinte à la souveraineté de l’Etat equato-guinéen », a fait fait savoir Fardon. « Il faut que les puissances étrangères comprennent qu’elles n’ont pas le droit de harceler les pays africains et de les humilier. Ce n’est pas normal. L’Afrique est un continent digne et respectable. C’est pourquoi nous ne permettrons pas qu’elle soit le souffre douleurs des occidentaux. Le président de la République française a été saisie ainsi le ministre de la Justice français », a-t-il. Par ailleurs, Carlos Fardon plaide auprès du vice-président Théodorin N`Guema Obiang afin que l`un de leurs membres, à savoir, Touré Moustapha en exil au Sénégal puisse bénéficier de tout son soutien pour regagner son pays. Il faut noter que c’est en 2008 que Transparency international et sherpa a déposé une plainte contre Théodorin N’Guema Obiang pour recel et détournement de biens publics. Des Ong françaises présentes à cette rencontre ont vigoureusement dénoncé ce mandat d`arrêt qu`elles jugent illégal et non fondé
L’observatoire internationale des droits de l’homme (OITDH) et des organisations non gouvernementales françaises et africaines se sont élevés contre le mandat d’arrêt lancé par les autorités judiciaires françaises contre Théodorin NGuema Obiang, ministre des Forêts et de l’Agriculture et vice-président de la Guinée équatoriale. Lors d’une rencontre organisée récemment à Paris (France), ces différentes structures ont exprimé leur indignation et dénoncé ce qu’elles ont qualifié de ‘’justice du plus fort’’. Carlos Fardon, président de l’Observatoire a animé cette rencontre. Il a fait remarquer que ce mandat d’arrêt qui procède, selon eux d’un abus de pouvoir, est « une atteinte flagrante à la souveraineté d’un Etat ». En outre, il a estimé que c’est une manipulation et un acharnement qu’exercent les juges Roger Le Loire et René Gourmand contre Théodorin N’Guema Obiang, par ailleurs, fils du président Equato-guinéen. « Nous protestons vivement contre cet acharnement sur le vice-président Théodorin. Pourquoi ressusciter cette fausse affaire alors que cette affaire sous Nicolas Sarkozy avait été bloquée par le parquet de Paris ? » a interrogé Carlos Fardon. « Aujourd’hui, après investigations nous avons découvert que c’est William Boudan, un des membres fondateurs de l’organisation Anti-corruption transparency international et Sherpa et conseiller du président Hollande qui est derrière cette machination. Et c’est lui qui a actionné les juges Le Loire et Gourmand. Mais nous disons non à cette atteinte à la souveraineté de l’Etat equato-guinéen », a fait fait savoir Fardon. « Il faut que les puissances étrangères comprennent qu’elles n’ont pas le droit de harceler les pays africains et de les humilier. Ce n’est pas normal. L’Afrique est un continent digne et respectable. C’est pourquoi nous ne permettrons pas qu’elle soit le souffre douleurs des occidentaux. Le président de la République française a été saisie ainsi le ministre de la Justice français », a-t-il. Par ailleurs, Carlos Fardon plaide auprès du vice-président Théodorin N`Guema Obiang afin que l`un de leurs membres, à savoir, Touré Moustapha en exil au Sénégal puisse bénéficier de tout son soutien pour regagner son pays. Il faut noter que c’est en 2008 que Transparency international et sherpa a déposé une plainte contre Théodorin N’Guema Obiang pour recel et détournement de biens publics. Des Ong françaises présentes à cette rencontre ont vigoureusement dénoncé ce mandat d`arrêt qu`elles jugent illégal et non fondé