Venus d’horizons divers, des jeunes africains et asiatiques sont à Abidjan où ils participent à la 3è édition du Camp mondial qui leur est consacré. Le 29 juillet 2012, au palais des congrès de l’hôtel Ivoire, tous ont pris part à la cérémonie d’ouverture de cette rencontre de la jeunesse du monde qui ferme ses portes ce 31 juillet.
Le parrain du Camp mondial 2012, le ministre de la Jeunesse et de la Promotion du Service civique, Alain Lobognon, a reconnu dans l’action du pasteur Ock Soo Park, fondateur de l’Ong International Youth Fellowship (IYF), un humaniste, un altruiste et un militant pour l’éducation. «Je me suis rendu compte de son amour pour l’Afrique. Vous croyez en l’Afrique… Le développement de l’Afrique va reposer sur un changement de mentalité des jeunes. Un geste n’est jamais de trop quand il est question d’éducation», a dit Alain Lobognon. Qui a exhorté la jeunesse à tirer des enseignements lors de ce camp. «Il faut se battre pour surmonter les obstacles. La solidarité est le ciment du volontariat. Vous partirez de ce camp nantis de parchemins qui vous ouvrent les portes de la vie», a-t-il encouragé.
Le camp mondial, de l’avis de Kandia Camara, ministre de l’Education nationale, est un événement qui cible à la fois le développement économique, touristique, socio-éducatif et culturel. C’est une opportunité tant pour la Côte d’Ivoire que pour tous les autres pays. Cette rencontre s’inscrit, ajoute-t-elle, dans le cadre d’une stratégie participative et interactive au service de la réconciliation des jeunes. C’est, explique-t-elle, un foyer d’incubations de propositions concrètes issues d’une approche auto-réflexible qu’on pourrait dénommer «les jeunes vus par eux-mêmes».
A travers l’IYF, Kandia Camara salue la «philosophie du dialogue interculturel» qui offre aux jeunes une même tribune de libre expression et un cadre ouvert aux réflexions sur les doutes (des jeunes), sur leurs préoccupations et sur l’ouverture les uns aux autres. A la jeunesse, le ministre de l’Education nationale a dit que les enseignements reçus lors du camp mondial sont de précieux outils, des moyens d’actions qui peuvent leur permettre de mutualiser leurs expériences en matière de stratégies et de développement personnel, ainsi de concessions et de gestion de projets novateurs.
«Merci de redonner espoir à la jeunesse mondiale en lui indiquant le chemin de l’amour, de la paix et de la réussite», s’est-elle adressée à Ock Soo Parck. Par ailleurs, Kandia Camara a souhaité qu’une synergie naisse autour de la «composante jeunesse entre les décideurs, acteurs sociaux, chefs d’entreprises et membres de la société civile pour qu’une réflexion approfondie soit menée sur l’implication effective des jeunes dans la conception, l’élaboration, la mise en œuvre et l’évaluation des grands chantiers de développement et d’éclosion sociale».
Faisant le parallèle entre le poids de la jeunesse en Afrique et en Europe, elle a relevé des indices qui impactent, sur le développement et posent la problématique douloureuse de la qualité de la vie. Comme l’enseigne le pasteur Ock Soo Park, Kandia Camara a appelé à un changement de mentalité. «Il faut absolument un changement de paradigme qui passe par le changement qualitatif de la mentalité de ces jeunes et même des moins jeunes. Le meilleur changement naît d’une mentalité forte, elle-même nourrie par un cœur fort mais ouvert. C’est ce qui fera des jeunes de potentiels leaders», a-t-elle insisté. Bien avant, les jeunes ont fait découvrir à travers des prestations, les valeurs culturelles de leurs différents pays.
Koné Saydoo
Le parrain du Camp mondial 2012, le ministre de la Jeunesse et de la Promotion du Service civique, Alain Lobognon, a reconnu dans l’action du pasteur Ock Soo Park, fondateur de l’Ong International Youth Fellowship (IYF), un humaniste, un altruiste et un militant pour l’éducation. «Je me suis rendu compte de son amour pour l’Afrique. Vous croyez en l’Afrique… Le développement de l’Afrique va reposer sur un changement de mentalité des jeunes. Un geste n’est jamais de trop quand il est question d’éducation», a dit Alain Lobognon. Qui a exhorté la jeunesse à tirer des enseignements lors de ce camp. «Il faut se battre pour surmonter les obstacles. La solidarité est le ciment du volontariat. Vous partirez de ce camp nantis de parchemins qui vous ouvrent les portes de la vie», a-t-il encouragé.
Le camp mondial, de l’avis de Kandia Camara, ministre de l’Education nationale, est un événement qui cible à la fois le développement économique, touristique, socio-éducatif et culturel. C’est une opportunité tant pour la Côte d’Ivoire que pour tous les autres pays. Cette rencontre s’inscrit, ajoute-t-elle, dans le cadre d’une stratégie participative et interactive au service de la réconciliation des jeunes. C’est, explique-t-elle, un foyer d’incubations de propositions concrètes issues d’une approche auto-réflexible qu’on pourrait dénommer «les jeunes vus par eux-mêmes».
A travers l’IYF, Kandia Camara salue la «philosophie du dialogue interculturel» qui offre aux jeunes une même tribune de libre expression et un cadre ouvert aux réflexions sur les doutes (des jeunes), sur leurs préoccupations et sur l’ouverture les uns aux autres. A la jeunesse, le ministre de l’Education nationale a dit que les enseignements reçus lors du camp mondial sont de précieux outils, des moyens d’actions qui peuvent leur permettre de mutualiser leurs expériences en matière de stratégies et de développement personnel, ainsi de concessions et de gestion de projets novateurs.
«Merci de redonner espoir à la jeunesse mondiale en lui indiquant le chemin de l’amour, de la paix et de la réussite», s’est-elle adressée à Ock Soo Parck. Par ailleurs, Kandia Camara a souhaité qu’une synergie naisse autour de la «composante jeunesse entre les décideurs, acteurs sociaux, chefs d’entreprises et membres de la société civile pour qu’une réflexion approfondie soit menée sur l’implication effective des jeunes dans la conception, l’élaboration, la mise en œuvre et l’évaluation des grands chantiers de développement et d’éclosion sociale».
Faisant le parallèle entre le poids de la jeunesse en Afrique et en Europe, elle a relevé des indices qui impactent, sur le développement et posent la problématique douloureuse de la qualité de la vie. Comme l’enseigne le pasteur Ock Soo Park, Kandia Camara a appelé à un changement de mentalité. «Il faut absolument un changement de paradigme qui passe par le changement qualitatif de la mentalité de ces jeunes et même des moins jeunes. Le meilleur changement naît d’une mentalité forte, elle-même nourrie par un cœur fort mais ouvert. C’est ce qui fera des jeunes de potentiels leaders», a-t-elle insisté. Bien avant, les jeunes ont fait découvrir à travers des prestations, les valeurs culturelles de leurs différents pays.
Koné Saydoo
