• Madame le Ministre Délégué à la Justice,
• Monsieur le Directeur des Opérations de la Banque Mondiale,
• Messieurs les autorités préfectorales,
• Messieurs les Premiers Présidents des Cours d’Appel de Bouaké et de Daloa,
• Messieurs les Présidents des Tribunaux de Première Instance de Bouaké et de Daloa,
• Monsieur le Maire de la Commune de Bouaké,
• Mesdames et Messieurs les autorités politiques,
• Messieurs les autorités coutumières et religieuses,
• Messieurs les Greffiers en Chefs, Mesdames et Messieurs les acteurs de la Justice ivoirienne,
• Distingués participants,
• Mesdames et Messieurs,
Je voudrais de prime abord vous saluer, brave population de Bouaké et vous remercier pour votre présence massive et pour l’accueil si sympathique et chaleureux dont nous même et la délégation qui nous accompagne sommes l’objet.
C’est naturellement avec une grande joie que je me retrouve aujourd’hui ici parmi vous à Bouaké. Bouaké, ville carrefour, symbole d’une Côte d’Ivoire unie, solidaire et accueillante, qui, après avoir souffert le martyre, offre à la communauté nationale et internationale, l’exemple d’une cité qui a su surmonter ses contradictions pour réaliser aujourd’hui une symbiose parfaite entre les différentes communautés ethniques, religieuses et culturelles.
Merci à vous populations de Bouaké pour ce bel exemple d’harmonie et de cohésion. Merci à vous qui faite une éloquente application du « vivre ensemble ».
• Mesdames et Messieurs,
Je voudrais, à ce stade de mon propos, traduire tout l’intérêt que le Président de la République, Son Excellence Monsieur ALASSANE OUATTARA et le Gouvernement accordent à la question de l’état civil, qui constitue une problématique fondamentale dans la maîtrise de la gestion globale de l’identification nationale.
En effet, l’une des questions centrales de la récente crise que la Côte d’Ivoire a connue et de laquelle nous nous remettons progressivement demeure sans conteste notre gestion de l’état-civil et de l’identification de nos concitoyens.
On le sait, bien de contestations de bonne ou de mauvaise foi auxquelles l’on a pu assister au cours du processus d’identification, précédant les dernières élections générales, tirent leur source de l’état des registres d’état-civil et de la question de leur fiabilité qui ont entraîné des débats sur l’identité et la nationalité de certaines personnes.
Je voudrais donc dire que la présente cérémonie, consacrée à la remise des centres régionaux de sécurisation des archives judiciaires de l’état-civil de Bouaké et de Daloa revêt une importance toute particulière.
C’est pourquoi, il me plaît d’adresser à Monsieur le Président de la Cour Suprême, Me KONE Mamadou, ma gratitude pour avoir bien voulu honoré de sa présence la cérémonie de ce jour.
Monsieur le Président, je voudrais saluer en vous l’Homme d’Etat et le Juriste émérite dont les qualités professionnelles et humaines lui valent aujourd’hui de mériter la confiance du Président de la République.
Je tiens aussi à féliciter Monsieur Philippe KOFFI, Coordonnateur du PAPC, qui, par la mise à disposition de ces centres d’archivage équipés et opérationnels, pose un acte d’une grande importance pour la conservation des données d’état-civil.
Je témoigne également la gratitude du Gouvernement ivoirien aux institutions financières internationales, notamment, en ce qui concerne la présente cérémonie, la Banque Mondiale, bailleur de fonds du PAPC.
Je voudrais, en particulier, faire une adresse spéciale à Monsieur Madani TALL, Directeur des opérations du bureau de la Banque Mondiale à Abidjan pour son engagement personnel et la part contributive importante qu’il n’a de cesse de prendre dans la mise en œuvre des importants chantiers de développement financés par cette institution au profit de notre pays.
• Mesdames et Messieurs,
L’enjeu est de taille car, ces centres d’archivage dont nous procédons aujourd’hui à la remise officielle, sont destinés à sauvegarder les doubles des registres d’état-civil conservés dans les différentes juridictions des ressorts territoriaux des Cours d’Appel de Bouaké et de Daloa, afin de sauvegarder ces documents extrêmement sensibles.
La remise de ces deux centres d’archivage apparaît en réalité comme un ballon d’essai qui doit conduire à un mouvement plus vaste, couvrant l’ensemble des juridictions ivoiriennes, afin de sécuriser au mieux les données de l’état-civil.
Il s’agit donc d’un maillon essentiel du programme de modernisation de l’état-civil dans notre pays voulu par le Président de la République, Son Excellence Monsieur ALASSANE OUATTARA afin de doter la Côte d’Ivoire d’un état-civil et, par delà, un système d’identification sûr et fiable pour accompagner la croissance et le développement.
• Messieurs les Premiers Présidents des Cours d’Appel de Bouaké et de Daloa,
• Messieurs les Présidents des Tribunaux de Première Instance de Bouaké et de Daloa,
Tout à l’heure, nous procéderons à l’inauguration des centres d’archivage judiciaires de l’état-civil de Bouaké et de Daloa, ces précieux outils de préservation et de modernisation de l’état-civil.
En votre qualité de principaux gestionnaires de l’état-civil, je voudrais vous exhorter à plus de rigueur et de vigilance dans la tenue de ces centres afin de les préserver assez durablement pour le bénéfice de tous et qu’ils demeurent toujours des instruments de référence dans la préservation des données relatives à l’identification des populations.
Je voudrais, par ailleurs, m’adressant à tout le corps social, inviter chacun et chacune de nos concitoyens à veiller sur ces centres comme la prunelle de leurs yeux. Il y va du développement et de la paix sociale.
C’est sur ces mots, et en réitérant nos remerciements à la Banque Mondiale que je voudrais clore mon propos et ouvrir officiellement la cérémonie.
Je vous remercie. /
• Monsieur le Directeur des Opérations de la Banque Mondiale,
• Messieurs les autorités préfectorales,
• Messieurs les Premiers Présidents des Cours d’Appel de Bouaké et de Daloa,
• Messieurs les Présidents des Tribunaux de Première Instance de Bouaké et de Daloa,
• Monsieur le Maire de la Commune de Bouaké,
• Mesdames et Messieurs les autorités politiques,
• Messieurs les autorités coutumières et religieuses,
• Messieurs les Greffiers en Chefs, Mesdames et Messieurs les acteurs de la Justice ivoirienne,
• Distingués participants,
• Mesdames et Messieurs,
Je voudrais de prime abord vous saluer, brave population de Bouaké et vous remercier pour votre présence massive et pour l’accueil si sympathique et chaleureux dont nous même et la délégation qui nous accompagne sommes l’objet.
C’est naturellement avec une grande joie que je me retrouve aujourd’hui ici parmi vous à Bouaké. Bouaké, ville carrefour, symbole d’une Côte d’Ivoire unie, solidaire et accueillante, qui, après avoir souffert le martyre, offre à la communauté nationale et internationale, l’exemple d’une cité qui a su surmonter ses contradictions pour réaliser aujourd’hui une symbiose parfaite entre les différentes communautés ethniques, religieuses et culturelles.
Merci à vous populations de Bouaké pour ce bel exemple d’harmonie et de cohésion. Merci à vous qui faite une éloquente application du « vivre ensemble ».
• Mesdames et Messieurs,
Je voudrais, à ce stade de mon propos, traduire tout l’intérêt que le Président de la République, Son Excellence Monsieur ALASSANE OUATTARA et le Gouvernement accordent à la question de l’état civil, qui constitue une problématique fondamentale dans la maîtrise de la gestion globale de l’identification nationale.
En effet, l’une des questions centrales de la récente crise que la Côte d’Ivoire a connue et de laquelle nous nous remettons progressivement demeure sans conteste notre gestion de l’état-civil et de l’identification de nos concitoyens.
On le sait, bien de contestations de bonne ou de mauvaise foi auxquelles l’on a pu assister au cours du processus d’identification, précédant les dernières élections générales, tirent leur source de l’état des registres d’état-civil et de la question de leur fiabilité qui ont entraîné des débats sur l’identité et la nationalité de certaines personnes.
Je voudrais donc dire que la présente cérémonie, consacrée à la remise des centres régionaux de sécurisation des archives judiciaires de l’état-civil de Bouaké et de Daloa revêt une importance toute particulière.
C’est pourquoi, il me plaît d’adresser à Monsieur le Président de la Cour Suprême, Me KONE Mamadou, ma gratitude pour avoir bien voulu honoré de sa présence la cérémonie de ce jour.
Monsieur le Président, je voudrais saluer en vous l’Homme d’Etat et le Juriste émérite dont les qualités professionnelles et humaines lui valent aujourd’hui de mériter la confiance du Président de la République.
Je tiens aussi à féliciter Monsieur Philippe KOFFI, Coordonnateur du PAPC, qui, par la mise à disposition de ces centres d’archivage équipés et opérationnels, pose un acte d’une grande importance pour la conservation des données d’état-civil.
Je témoigne également la gratitude du Gouvernement ivoirien aux institutions financières internationales, notamment, en ce qui concerne la présente cérémonie, la Banque Mondiale, bailleur de fonds du PAPC.
Je voudrais, en particulier, faire une adresse spéciale à Monsieur Madani TALL, Directeur des opérations du bureau de la Banque Mondiale à Abidjan pour son engagement personnel et la part contributive importante qu’il n’a de cesse de prendre dans la mise en œuvre des importants chantiers de développement financés par cette institution au profit de notre pays.
• Mesdames et Messieurs,
L’enjeu est de taille car, ces centres d’archivage dont nous procédons aujourd’hui à la remise officielle, sont destinés à sauvegarder les doubles des registres d’état-civil conservés dans les différentes juridictions des ressorts territoriaux des Cours d’Appel de Bouaké et de Daloa, afin de sauvegarder ces documents extrêmement sensibles.
La remise de ces deux centres d’archivage apparaît en réalité comme un ballon d’essai qui doit conduire à un mouvement plus vaste, couvrant l’ensemble des juridictions ivoiriennes, afin de sécuriser au mieux les données de l’état-civil.
Il s’agit donc d’un maillon essentiel du programme de modernisation de l’état-civil dans notre pays voulu par le Président de la République, Son Excellence Monsieur ALASSANE OUATTARA afin de doter la Côte d’Ivoire d’un état-civil et, par delà, un système d’identification sûr et fiable pour accompagner la croissance et le développement.
• Messieurs les Premiers Présidents des Cours d’Appel de Bouaké et de Daloa,
• Messieurs les Présidents des Tribunaux de Première Instance de Bouaké et de Daloa,
Tout à l’heure, nous procéderons à l’inauguration des centres d’archivage judiciaires de l’état-civil de Bouaké et de Daloa, ces précieux outils de préservation et de modernisation de l’état-civil.
En votre qualité de principaux gestionnaires de l’état-civil, je voudrais vous exhorter à plus de rigueur et de vigilance dans la tenue de ces centres afin de les préserver assez durablement pour le bénéfice de tous et qu’ils demeurent toujours des instruments de référence dans la préservation des données relatives à l’identification des populations.
Je voudrais, par ailleurs, m’adressant à tout le corps social, inviter chacun et chacune de nos concitoyens à veiller sur ces centres comme la prunelle de leurs yeux. Il y va du développement et de la paix sociale.
C’est sur ces mots, et en réitérant nos remerciements à la Banque Mondiale que je voudrais clore mon propos et ouvrir officiellement la cérémonie.
Je vous remercie. /