Dimbokro - Le président de l’Autorité de régulation du coton et de l’anacarde (ARECA), Bamba Mamadou a souhaité, lundi à Dimbokro, la réforme de la filière pour résoudre les difficultés qui la minent.
Selon M., Bamba, la réforme faciliterait la mise en place d’une stratégie capable d’aboutir à la transformation locale de toute la production nationale pour mettre fin à la variabilité du prix bord champs et pourrait réduire les difficultés de commercialisation de la noix de cajou.
La baisse de la qualité des noix de cajou tributaire des changements climatiques influence considérablement le conditionnement de l’anacarde. nL’accroissement des charges portuaires et la multiplicité des intervenants sont autant de difficultés qui minent la filière anacarde.
Pour y remédier, l’ARECA propose à court terme la sensibilisation des producteurs aux bonnes pratiques de conservation ; séchage, triage, ensachage et stockage. Pour de meilleures perspectives, le PCA de l’ARECA propose la poursuite de la concertation avec les exportateurs en vue de redynamiser les achats. La concertation avec les structures portuaires dans le but de réduire les charges portuaires peut également booster la filière anacarde, au dire de M. Bamba.
A moyen et long terme, le président de l’ARECA pense que la réforme de la filière dont les travaux sont en cours pourrait lui redonner vie. Pour lui, la réforme pourrait faciliter également la mise en place d’un encadrement adéquat des producteurs, la mise en place d’une bonne politique de commercialisation qui préserverait la qualité des produits.
(AIP)
ss/cmas
Selon M., Bamba, la réforme faciliterait la mise en place d’une stratégie capable d’aboutir à la transformation locale de toute la production nationale pour mettre fin à la variabilité du prix bord champs et pourrait réduire les difficultés de commercialisation de la noix de cajou.
La baisse de la qualité des noix de cajou tributaire des changements climatiques influence considérablement le conditionnement de l’anacarde. nL’accroissement des charges portuaires et la multiplicité des intervenants sont autant de difficultés qui minent la filière anacarde.
Pour y remédier, l’ARECA propose à court terme la sensibilisation des producteurs aux bonnes pratiques de conservation ; séchage, triage, ensachage et stockage. Pour de meilleures perspectives, le PCA de l’ARECA propose la poursuite de la concertation avec les exportateurs en vue de redynamiser les achats. La concertation avec les structures portuaires dans le but de réduire les charges portuaires peut également booster la filière anacarde, au dire de M. Bamba.
A moyen et long terme, le président de l’ARECA pense que la réforme de la filière dont les travaux sont en cours pourrait lui redonner vie. Pour lui, la réforme pourrait faciliter également la mise en place d’un encadrement adéquat des producteurs, la mise en place d’une bonne politique de commercialisation qui préserverait la qualité des produits.
(AIP)
ss/cmas