Père Jean-Charles Amangoua, révèle : “Faites le chapelet pendant trois mois, à partir de minuit, et vous verrez”
« Faites le chapelet pendant trois mois, à partir de minuit, et vous verrez. Si vous le faites et n’obtenez pas de grâce, je laisse mon sacerdoce. Je sais de quoi je parle. Je suis un enfant de Marie ». Le Père Jean-Charles Amangoua, officiant principal hier de la deuxième messe (9h), de la Paroisse Notre de l’Incarnation (Ndi), à la Riviera Palmeraie, à la faveur de la solennité de l’Assomption (élévation au ciel de Marie-mère de Jésus-Christ, par son corps et son âme), a magnifié la Vierge Marie.
Faisant savoir qu’elle ne déçoit jamais. A l’occasion de cette fête catholique, les fidèles de cette paroisse ont été enseignés aux vertus de la Mère de Jésus-Christ, celle qui a triomphé du bien sur le mal, à travers l’Apocalypse, de Saint Jean, chapitre 1, verset 19 et chapitre 12, verset 1 à 6.
Au niveau de la lecture de Saint Paul apôtres, 1 Corinthiens, chapitre 15, verset 20 à 27, le Père Ezoua Patrice de l’archidiocèse d’Abidjan, dans son homélie, a expliqué que tout le monde est appelé à ressusciter, pourvu qu’il mette sa confiance en Dieu. Et de préciser : « L’Assomption de Marie est la consécration de son ‘‘oui’’ perpétuel. C’est une invitation à s’ouvrir à l’Amour et au Salut donné à Dieu. Marie entre au ciel pour nous ouvrir une porte et nous sommes tous invités à rentrer dans la gloire de Dieu ».
Cette fête préfigure de l’entrée du Chrétien au Paradis. Et le chemin que Marie a pris à la suite de son fils Jesus, ‘‘ nous sommes appelés à le prendre’’. Il a donc été demandé aux fidèles de se transformer, à l’image de la vie de Marie, en mettant l’accent sur le pardon et la charité. L’on a prié et chanté (le père Eric Boto à l’unisson avec la chorale) pour les fidèles, les autorités politiques et militaires de la Côte d’Ivoire en cette période où le pays a besoin de paix. Faut-il le préciser, au cours de cette deuxième messe, c’est par une procession, avec la statue de la Vierge Marie en tête, que les fidèles ont pénétré dans l’enceinte de la paroisse.
Jean-Eric ADINGRA
« Faites le chapelet pendant trois mois, à partir de minuit, et vous verrez. Si vous le faites et n’obtenez pas de grâce, je laisse mon sacerdoce. Je sais de quoi je parle. Je suis un enfant de Marie ». Le Père Jean-Charles Amangoua, officiant principal hier de la deuxième messe (9h), de la Paroisse Notre de l’Incarnation (Ndi), à la Riviera Palmeraie, à la faveur de la solennité de l’Assomption (élévation au ciel de Marie-mère de Jésus-Christ, par son corps et son âme), a magnifié la Vierge Marie.
Faisant savoir qu’elle ne déçoit jamais. A l’occasion de cette fête catholique, les fidèles de cette paroisse ont été enseignés aux vertus de la Mère de Jésus-Christ, celle qui a triomphé du bien sur le mal, à travers l’Apocalypse, de Saint Jean, chapitre 1, verset 19 et chapitre 12, verset 1 à 6.
Au niveau de la lecture de Saint Paul apôtres, 1 Corinthiens, chapitre 15, verset 20 à 27, le Père Ezoua Patrice de l’archidiocèse d’Abidjan, dans son homélie, a expliqué que tout le monde est appelé à ressusciter, pourvu qu’il mette sa confiance en Dieu. Et de préciser : « L’Assomption de Marie est la consécration de son ‘‘oui’’ perpétuel. C’est une invitation à s’ouvrir à l’Amour et au Salut donné à Dieu. Marie entre au ciel pour nous ouvrir une porte et nous sommes tous invités à rentrer dans la gloire de Dieu ».
Cette fête préfigure de l’entrée du Chrétien au Paradis. Et le chemin que Marie a pris à la suite de son fils Jesus, ‘‘ nous sommes appelés à le prendre’’. Il a donc été demandé aux fidèles de se transformer, à l’image de la vie de Marie, en mettant l’accent sur le pardon et la charité. L’on a prié et chanté (le père Eric Boto à l’unisson avec la chorale) pour les fidèles, les autorités politiques et militaires de la Côte d’Ivoire en cette période où le pays a besoin de paix. Faut-il le préciser, au cours de cette deuxième messe, c’est par une procession, avec la statue de la Vierge Marie en tête, que les fidèles ont pénétré dans l’enceinte de la paroisse.
Jean-Eric ADINGRA
