ARUSHA, Tanzanie - M. Christopher Chiza, ministre tanzanien de l’agriculture, de la sécurité alimentaire et des coopératives et Mme Jane Karuku, qui préside l’Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA), ont annoncé aujourd’hui que la Tanzanie accueillerait le Forum sur la révolution verte en Afrique (AGRF) (http://www.agrforum.com) du 26 au 28 septembre 2012. Cette réunion constitue la prochaine étape dans l’élaboration de solutions africaines au problème de la sécurité alimentaire. Lors du récent sommet du G8, les dirigeants internationaux, parmi lesquels figuraient 21 pays africains et 27 entreprises du secteur privé, se sont engagés à financer à hauteur de 3 milliards de dollars une initiative baptisée « Nouvelle Alliance pour la sécurité alimentaire et la nutrition », lançant ainsi la phase suivante du projet mondial en faveur de la sécurité alimentaire qui vise à sortir 50 millions de personnes de la pauvreté au cours de la prochaine décennie.
AGRF 2012 permettra aux dirigeants africains de piloter cette initiative au travers d’investissements et de mesures de soutien politiques visant à accroître la productivité et les revenus des agriculteurs africains. Durant le forum, qui se tiendra au Ngurdoto Mountain Lodge d’Arusha, les dirigeants internationaux évoqueront les politiques de leadership, les méthodes permettant de révolutionner les modèles africains de financement agricole, le renforcement des marchés et la transformation de l’agriculture africaine au travers de partenariats innovants.
« La Tanzanie sait de longue date que l’agriculture figure au cœur de son économie », a déclaré M. Chiza. « Nous sommes très heureux d’accueillir les dirigeants du continent africain et du monde entier afin de trouver de nouveaux moyens de reproduire les succès que nous avons rencontrés au sein de notre propre agriculture. »
Le développement récent de l’agriculture de la Tanzanie, pays d’accueil de ce forum, constitue un sujet d’étude qui témoigne de ce qu’il est possible de réaliser dans ce domaine. Dans le district Kilombero de Morogoro, les rendements du maïs de certains petits exploitants agricoles ont récemment augmenté de 1,5 à 4,5 tonnes par hectare, tandis que les rendements du riz passaient de 2,5 à 6,5 tonnes par hectare.
« L’objectif du gouvernement est de transformer la Tanzanie en un pays à revenu intermédiaire d’ici à 2025, en grande partie sous l’effet de la croissance de son secteur agricole », a ajouté M. Chiza.
Le forum réunira un grand nombre de chefs d’État africains, de ministres, d’entreprises agroalimentaires privées, d’institutions financières, d’agriculteurs, d’ONG, d’organisations de la société civile et de scientifiques qui discuteront et élaboreront des plans d’investissement concrets visant à généraliser les succès de développement agricole à l’ensemble du continent africain. La Tanzanie accueillera des invités de marque, dont Melinda Gates, coprésidente de la Fondation Bill et Melinda Gates, le Dr. Kanayo Nwanze, président du FIDA, le Dr. Akinwumi Adesina, ministre de l’agriculture du Nigeria, le professeur Gebisa Ejeta, lauréat du Prix mondial de l’alimentation et M. Jørgen Ole Haslestad, président-directeur général de Yara International.
Suite aux récentes discussions menées lors du Forum économique mondial sur l’Afrique, du G8 et du Sommet sur la faim de David Cameron, le Forum sur la révolution verte en Afrique continuera de chercher les moyens d’associer la puissance des secteurs public et privé dans les efforts visant à assurer la sécurité alimentaire à l’échelle mondiale.
« Les dirigeants des secteurs public et privé unissent leurs forces de manière inédite pour garantir à tous un avenir alimentaire encore plus sécurisé », a déclaré M. Jørgen Ole Haslestad, président-directeur général de Yara International et co-président du forum. « Nous avons observé d’excellents résultats lorsque les acteurs collaborent et investissent de manière stratégique. Nous espérons impulser un nouvel élan et travailler ensemble à la transformation de l’agriculture en Afrique. »
Le forum restera axé sur les moyens de libérer le potentiel agricole de l’Afrique en autonomisant les petits exploitants à travers le continent. En collaboration avec les organisations agricoles, la société civile et d’autres partenaires, les participants examineront de nouveaux moyens permettant de fournir des ressources, de surmonter les obstacles et d’améliorer les rendements pour les millions d’agriculteurs qui exploitent moins de deux hectares de terre sur le continent africain.
« Les petits exploitants agricoles figurent au cœur de tout ce que nous faisons » a déclaré Jane Karuku, présidente de l’AGRA. « Notre démarche est claire et éprouvée : si nous fournissons aux agriculteurs africains les outils dont ils ont besoin pour accroître leur production et augmenter leurs revenus, ils nous mèneront tous vers un avenir plus prospère. »
AGRF 2012 permettra aux dirigeants africains de piloter cette initiative au travers d’investissements et de mesures de soutien politiques visant à accroître la productivité et les revenus des agriculteurs africains. Durant le forum, qui se tiendra au Ngurdoto Mountain Lodge d’Arusha, les dirigeants internationaux évoqueront les politiques de leadership, les méthodes permettant de révolutionner les modèles africains de financement agricole, le renforcement des marchés et la transformation de l’agriculture africaine au travers de partenariats innovants.
« La Tanzanie sait de longue date que l’agriculture figure au cœur de son économie », a déclaré M. Chiza. « Nous sommes très heureux d’accueillir les dirigeants du continent africain et du monde entier afin de trouver de nouveaux moyens de reproduire les succès que nous avons rencontrés au sein de notre propre agriculture. »
Le développement récent de l’agriculture de la Tanzanie, pays d’accueil de ce forum, constitue un sujet d’étude qui témoigne de ce qu’il est possible de réaliser dans ce domaine. Dans le district Kilombero de Morogoro, les rendements du maïs de certains petits exploitants agricoles ont récemment augmenté de 1,5 à 4,5 tonnes par hectare, tandis que les rendements du riz passaient de 2,5 à 6,5 tonnes par hectare.
« L’objectif du gouvernement est de transformer la Tanzanie en un pays à revenu intermédiaire d’ici à 2025, en grande partie sous l’effet de la croissance de son secteur agricole », a ajouté M. Chiza.
Le forum réunira un grand nombre de chefs d’État africains, de ministres, d’entreprises agroalimentaires privées, d’institutions financières, d’agriculteurs, d’ONG, d’organisations de la société civile et de scientifiques qui discuteront et élaboreront des plans d’investissement concrets visant à généraliser les succès de développement agricole à l’ensemble du continent africain. La Tanzanie accueillera des invités de marque, dont Melinda Gates, coprésidente de la Fondation Bill et Melinda Gates, le Dr. Kanayo Nwanze, président du FIDA, le Dr. Akinwumi Adesina, ministre de l’agriculture du Nigeria, le professeur Gebisa Ejeta, lauréat du Prix mondial de l’alimentation et M. Jørgen Ole Haslestad, président-directeur général de Yara International.
Suite aux récentes discussions menées lors du Forum économique mondial sur l’Afrique, du G8 et du Sommet sur la faim de David Cameron, le Forum sur la révolution verte en Afrique continuera de chercher les moyens d’associer la puissance des secteurs public et privé dans les efforts visant à assurer la sécurité alimentaire à l’échelle mondiale.
« Les dirigeants des secteurs public et privé unissent leurs forces de manière inédite pour garantir à tous un avenir alimentaire encore plus sécurisé », a déclaré M. Jørgen Ole Haslestad, président-directeur général de Yara International et co-président du forum. « Nous avons observé d’excellents résultats lorsque les acteurs collaborent et investissent de manière stratégique. Nous espérons impulser un nouvel élan et travailler ensemble à la transformation de l’agriculture en Afrique. »
Le forum restera axé sur les moyens de libérer le potentiel agricole de l’Afrique en autonomisant les petits exploitants à travers le continent. En collaboration avec les organisations agricoles, la société civile et d’autres partenaires, les participants examineront de nouveaux moyens permettant de fournir des ressources, de surmonter les obstacles et d’améliorer les rendements pour les millions d’agriculteurs qui exploitent moins de deux hectares de terre sur le continent africain.
« Les petits exploitants agricoles figurent au cœur de tout ce que nous faisons » a déclaré Jane Karuku, présidente de l’AGRA. « Notre démarche est claire et éprouvée : si nous fournissons aux agriculteurs africains les outils dont ils ont besoin pour accroître leur production et augmenter leurs revenus, ils nous mèneront tous vers un avenir plus prospère. »