«La Côte d’Ivoire connait une faible performance en matière de lutte contre la corruption, si l’on se réfère au classement mondial par rapport à l’indice de perception de la corruption publié par Transparency International… la Côte d’Ivoire s’est retrouvée à la 154ème place en 2011, et cela sur 182 pays… 46ème sur 53 pays africains», a révélé Koffi Kablan Marc-Antoine, Directeur des Programmes du renforcement des capacités (. ) à l’occasion de l’atelier initié par le Ministère des Droits de l’Homme et des Libertés Publiques en partenariat avec le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) et le Secrétariat National à la Bonne Gouvernance et au Renforcement des Capacités autour du thème : «Corruption et atteintes aux Droits de l’Homme».Il a eu lieu les jeudi 23 et vendredi 24 août 2012, à la Conférence Episcopale Régionale d’Afrique de l’Ouest (CERAO) à Cocody.
Pendant deux jours donc, les séminaristes ont porté leurs réflexions sur différents sujets notamment « Corruption et justice, Corruption et sécurité, Corruption et jeunesse… ». Les échanges, au cours de ces assises, ont permis de mettre davantage en exergue l’impact négatif de la corruption sur les Droits de l’Homme en Côte d’Ivoire. C’est tout naturellement que les participants ont pris la ferme résolution au terme de ces assises de «lutter contre la corruption dans tous ces états et sur toutes ses formes…» en s’appuyant évidemment, sur les recommandations qui ont sanctionné cet atelier. Il s’agit entre autre de la formation des citoyens aux valeurs positives sans exclusive, de l’information des populations sur ses droits et devoirs, du renforcement des capacités de l’Inspection générale d’Etat par la mis à disposition des moyens indispensables à ses missions etc…
«Nous espérons que les conclusions et les recommandations serviront d’orientation aux décideurs ivoiriens dans l’adoption de textes novateurs dans la lutte contre la corruption et permettront aux administrateurs publiques, privées et à la société civile d’adopter des comportements plus citoyens», a déclaré Monsieur Jean-Fructueux Bako, le Directeur de Cabinet et le représentant le Ministre des Droits de l’Homme et des Libertés Publiques pendant ces assises.
Sercom du Ministère des Droits de l’Homme et des Libertés Publiques
Pendant deux jours donc, les séminaristes ont porté leurs réflexions sur différents sujets notamment « Corruption et justice, Corruption et sécurité, Corruption et jeunesse… ». Les échanges, au cours de ces assises, ont permis de mettre davantage en exergue l’impact négatif de la corruption sur les Droits de l’Homme en Côte d’Ivoire. C’est tout naturellement que les participants ont pris la ferme résolution au terme de ces assises de «lutter contre la corruption dans tous ces états et sur toutes ses formes…» en s’appuyant évidemment, sur les recommandations qui ont sanctionné cet atelier. Il s’agit entre autre de la formation des citoyens aux valeurs positives sans exclusive, de l’information des populations sur ses droits et devoirs, du renforcement des capacités de l’Inspection générale d’Etat par la mis à disposition des moyens indispensables à ses missions etc…
«Nous espérons que les conclusions et les recommandations serviront d’orientation aux décideurs ivoiriens dans l’adoption de textes novateurs dans la lutte contre la corruption et permettront aux administrateurs publiques, privées et à la société civile d’adopter des comportements plus citoyens», a déclaré Monsieur Jean-Fructueux Bako, le Directeur de Cabinet et le représentant le Ministre des Droits de l’Homme et des Libertés Publiques pendant ces assises.
Sercom du Ministère des Droits de l’Homme et des Libertés Publiques