Abidjan – Le coordonnateur national de la Convention de la société civile ivoirienne élu lors du 3ème congrès du 05 juillet, Dr Kouamé Christophe appelle les autorités nationales et les organisations membres de cette faîtière à « ne pas se faire complice et faire barrage à l’imposture » créée par le bicéphalisme constaté.
Dans un communiqué transmis dimanche à l’AIP, Dr Kouamé relate la transgression de son siège la veille par la Police qui y est entrée de force, alors que je jour-là, la CSCI n’avait autorisé la tenue d’aucune activité dans ses locaux sis à Cocody.
« A l’information, le Lieutenant de Police Koné Dossoya, de la Préfecture de Police d’Abidjan, conduisant cette unité n’a pu nous produire un mandat ou tout autre document l’y autorisant. Toutefois, il nous a informés qu’il aurait reçu ordre du Préfet de Police d’Abidjan, l’autorisant à venir sécuriser l’organisation d’une convention générale élective au siège de la CSCI », précise le texte.
La CSCI, la plus grande faitière de la société civile nationale composée de 168 organisations issues des confessions religieuses chrétiennes et musulmanes, des organisations professionnelles, des syndicats et des ONG, dit vouloir garder sa crédibilité, son objectivité, son impartialité et son indépendance.
Elle fait savoir à ses organisations membres qu’elle n’est ni de près ni de loin concernée par cette activité en date du samedi 25 août 2012, sous escorte policière, tenue par effraction à son siège. En conséquence, elle déclare qu’elle n’est point concernée par celle-ci et invite tous ses membres à la prudence, à la vigilance et à la mobilisation.
La Convention condamne « ces pratiques cavalières, lesquelles reçoivent l’onction de l’administration publique au préjudice des organes réguliers et légitimes, en s’immisçant dans les affaires associatives (Cf. La loi 315 du 20 septembre 1960 régissant les associations) », note le document.
Dr Kouamé souligne que « par ailleurs, en ces périodes de troubles et de fragilité que traverse notre pays, la CSCI attire l’attention des autorités ivoiriennes, la communauté nationale et la communauté internationale sur les éventuelles dérives que ces pratiques, tendant à la décrédibiliser peuvent susciter ».
Enfin, ajoute le communiqué, la CSCI, au vu des grands chantiers de l’Etat (Pays émergent en 2020, Reforme de l’administration et de la sécurité…), pense qu’une société civile forte, crédible, impartiale et indépendante est un atout incontournable pour l’atteinte de ces objectifs, salutaires pour la population ivoirienne.
Une dissidence conduite par pasteur Kaha Grivaz Lucien est constatée à la CSCI depuis le 3ème congrès des 3, 4 et 5 juillet qui a été marqué par l’élection de Dr Kouamé Christophe. La dissidence, composée de Atsé Anderson, Komenan Kanga, Séa Denis, Yao N’Dri et Bakayoko Sidiki a porté ce dernier à la tête de sa branche CSCI, samedi, lors d’une convention générale élective tenue sous escorte policière au siège de l’organisation, malgré le procès en appel remporté par la CSCI de Dr Kouamé.
Dans un communiqué transmis dimanche à l’AIP, Dr Kouamé relate la transgression de son siège la veille par la Police qui y est entrée de force, alors que je jour-là, la CSCI n’avait autorisé la tenue d’aucune activité dans ses locaux sis à Cocody.
« A l’information, le Lieutenant de Police Koné Dossoya, de la Préfecture de Police d’Abidjan, conduisant cette unité n’a pu nous produire un mandat ou tout autre document l’y autorisant. Toutefois, il nous a informés qu’il aurait reçu ordre du Préfet de Police d’Abidjan, l’autorisant à venir sécuriser l’organisation d’une convention générale élective au siège de la CSCI », précise le texte.
La CSCI, la plus grande faitière de la société civile nationale composée de 168 organisations issues des confessions religieuses chrétiennes et musulmanes, des organisations professionnelles, des syndicats et des ONG, dit vouloir garder sa crédibilité, son objectivité, son impartialité et son indépendance.
Elle fait savoir à ses organisations membres qu’elle n’est ni de près ni de loin concernée par cette activité en date du samedi 25 août 2012, sous escorte policière, tenue par effraction à son siège. En conséquence, elle déclare qu’elle n’est point concernée par celle-ci et invite tous ses membres à la prudence, à la vigilance et à la mobilisation.
La Convention condamne « ces pratiques cavalières, lesquelles reçoivent l’onction de l’administration publique au préjudice des organes réguliers et légitimes, en s’immisçant dans les affaires associatives (Cf. La loi 315 du 20 septembre 1960 régissant les associations) », note le document.
Dr Kouamé souligne que « par ailleurs, en ces périodes de troubles et de fragilité que traverse notre pays, la CSCI attire l’attention des autorités ivoiriennes, la communauté nationale et la communauté internationale sur les éventuelles dérives que ces pratiques, tendant à la décrédibiliser peuvent susciter ».
Enfin, ajoute le communiqué, la CSCI, au vu des grands chantiers de l’Etat (Pays émergent en 2020, Reforme de l’administration et de la sécurité…), pense qu’une société civile forte, crédible, impartiale et indépendante est un atout incontournable pour l’atteinte de ces objectifs, salutaires pour la population ivoirienne.
Une dissidence conduite par pasteur Kaha Grivaz Lucien est constatée à la CSCI depuis le 3ème congrès des 3, 4 et 5 juillet qui a été marqué par l’élection de Dr Kouamé Christophe. La dissidence, composée de Atsé Anderson, Komenan Kanga, Séa Denis, Yao N’Dri et Bakayoko Sidiki a porté ce dernier à la tête de sa branche CSCI, samedi, lors d’une convention générale élective tenue sous escorte policière au siège de l’organisation, malgré le procès en appel remporté par la CSCI de Dr Kouamé.