M. Akrou Koffi Didier (cultivateur): ‘’Ça participe au développement économique de la ville’’
L'exploitation de l'or a permis à Kokumbo de s'affirmer un peu et permis aux jeunes qui n'avaient pas de travail de se prendre en charge et d'abandonner les mauvaises idées de banditisme et de vol. Je suis désolé pour les personnes qui ont demandé qu'on arrête cette activité. Ce n'est pas possible, moi je m'oppose à cela car c'est pour le développement économique de notre sous-préfecture.
Mlle Konan Adjoua Simone (gérante de maquis)
'’Que le Gouvernement prenne ses responsabilités pour mettre de l'ordre’’
Cette activité, franchement n'arrange pas Kokumbo. Il y a du désordre dans cette exploitation d'or car elle est artisanale. Il faut que le Gouvernement prenne ses responsabilités pour mettre de l'ordre. Ce n'est pas la peine d'accuser le maire; lui il ne gère que la commune et les biens publics. Voyez-vous, les parents donnent leurs champs où des puits sont creusés puis abandonnés et qui plus tard vont être des dangers. Il y a aussi le phénomène de la corruption. Les agents du ministère une fois sur le terrain, sont corrompus par les exploitants et plaintes restent dans leurs tiroirs. Que l'Etat intervienne.
Mme Konan Chantal (régisseur de la mairie)
‘’ Nous voulons une exploitation légale de l’or’’
«Cette exploitation nous a pris à la gorge et nous sommes bloqués. Nous voulons une exploitation venant du Gouvernement avec une société légalement reconnue; alors les dégâts que cela aura causés seront réparés. Nous souffrons de la présence de tout ce monde et qui crée la désunion au sein des fils et filles de Kokumbo. Je lance un appel au président de la République, Alassane Ouattara d'agir.
M. Eppaley Parfait (comptable)
‘’Il faut une intervention de l’Etat’’
«Notre sous-préfecture connaît un ressort commercial intéressant suite à cette découverte du métal jaune. Cependant, il y a un hic. Cette pratique artisanale est un danger imminent qui se pointe à l'horizon avec les profonds puits que ces exploitations créent et qui abîment les plantations. J'ai organisé des réunions avec les parents afin de leur expliquer le bien-fondé de la conservation des forêts mais ils continuent de brader leurs terres. C’est l'intervention de l'Etat qui pourra sauver la situation.»
L'exploitation de l'or a permis à Kokumbo de s'affirmer un peu et permis aux jeunes qui n'avaient pas de travail de se prendre en charge et d'abandonner les mauvaises idées de banditisme et de vol. Je suis désolé pour les personnes qui ont demandé qu'on arrête cette activité. Ce n'est pas possible, moi je m'oppose à cela car c'est pour le développement économique de notre sous-préfecture.
Mlle Konan Adjoua Simone (gérante de maquis)
'’Que le Gouvernement prenne ses responsabilités pour mettre de l'ordre’’
Cette activité, franchement n'arrange pas Kokumbo. Il y a du désordre dans cette exploitation d'or car elle est artisanale. Il faut que le Gouvernement prenne ses responsabilités pour mettre de l'ordre. Ce n'est pas la peine d'accuser le maire; lui il ne gère que la commune et les biens publics. Voyez-vous, les parents donnent leurs champs où des puits sont creusés puis abandonnés et qui plus tard vont être des dangers. Il y a aussi le phénomène de la corruption. Les agents du ministère une fois sur le terrain, sont corrompus par les exploitants et plaintes restent dans leurs tiroirs. Que l'Etat intervienne.
Mme Konan Chantal (régisseur de la mairie)
‘’ Nous voulons une exploitation légale de l’or’’
«Cette exploitation nous a pris à la gorge et nous sommes bloqués. Nous voulons une exploitation venant du Gouvernement avec une société légalement reconnue; alors les dégâts que cela aura causés seront réparés. Nous souffrons de la présence de tout ce monde et qui crée la désunion au sein des fils et filles de Kokumbo. Je lance un appel au président de la République, Alassane Ouattara d'agir.
M. Eppaley Parfait (comptable)
‘’Il faut une intervention de l’Etat’’
«Notre sous-préfecture connaît un ressort commercial intéressant suite à cette découverte du métal jaune. Cependant, il y a un hic. Cette pratique artisanale est un danger imminent qui se pointe à l'horizon avec les profonds puits que ces exploitations créent et qui abîment les plantations. J'ai organisé des réunions avec les parents afin de leur expliquer le bien-fondé de la conservation des forêts mais ils continuent de brader leurs terres. C’est l'intervention de l'Etat qui pourra sauver la situation.»