Les promoteurs de treize (13) établissements privés d’enseignement supérieur, dont 11 grandes écoles et 2 universités, ayant obtenu les mauvaises notes au terme de l’évaluation, vont perdre leur autorisation d’ouverture et d’exercice. Le Pr Abou Karamoko a brandi cette sanction le mardi 11 septembre 2012 lors de la restitution des résultats de l’évaluation desdits établissements.
Les résultats de l’évaluation des grandes écoles et universités privées sont connus depuis hier. Au titre des grandes écoles privées, sur les 111 de type BTS évaluées, 20 établissements ont eu une moyenne supérieure à 15 et seules 14 n’ont pu obtenir 10 de moyenne contre 55 lors de l’édition précédente en 2008. Au titre des universités, sur les 18 évaluées, 16 ont obtenu une moyenne supérieure à 10 et seules 2, à savoir le CUP et l’ESPI ont cumulé respectivement une contre performance de 9,70 et 8,80. D’où l’observation «fonctionnement insuffisant» infligée par le comité de pilotage. Livrant les résultats à la presse, le président Abou Karamoko s’est réjoui des performances enregistrées dans l’ensemble, contrairement aux éditions antérieures. «C’est le lieu de féliciter les fondateurs et leurs collaborateurs pour les efforts importants réalisés. Toutefois, des lacunes persistent dans l’animation pédagogique, dans la certification des enseignants (autorisation d’enseigner) et la proportion d’enseignants permanents qui est très faible», a-t-il interpellé. Puis, il a indiqué que des sanctions de fermeture seront prises, à l’encontre des grandes écoles et universités ayant obtenue les mauvaises notes. «Nous sommes en passe d’éradiquer le phénomène des grandes écoles et universités boutiques. C’est pourquoi, des décisions immédiates seront prises contre celles jugées irrecevables par le comité de pilotage. Et ce, pour les motifs d’effectifs insuffisants, de refus de communiquer certaines informations aux inspecteurs, de fermeture volontaire sans informer la tutelle et de relocalisation sans autorisation», a-t-il précisé. Bien avant, Mme Tatiana Aka, vice-présidente et représentant le Patronat des entreprises, a rassuré que le processus d’évaluation s’est déroulé dans la transparence à partir d’un mode opératoire qui exclut, dira-t-elle «toute possibilité de corruption et d’achat de conscience»
LOKO à nouveau sur la plus haute marche de l’excellence
Les éditions d’évaluation des grandes écoles passent et se ressemblent pour le groupe LOKO. Ensemble de 17 établissements d’enseignement supérieur général, technique et professionnel, tertiaire et technologique, avec l’objectif constant d’allier la qualité et l’innovation afin d’assurer à ses étudiants et prescripteurs, les résultats qu’ils attendent d’une institution qui garantit le sérieux et la pérennité de son service d’éducation et de formation, le groupe créé par M. José-Dominique LOKO a ravi à nouveau la palme de l’excellence hier. Après les sacres de 2006, 2007 et 2008, les 25 membres du comité de pilotage lui ont attribué hier la mention « Excellent » avec une moyenne de 19,45 sur 20. Dont respectivement 19,25 de moyenne au titre des infrastructures et l’environnement des études, 20 pour l’équipement, 20 pour la gestion pédagogique, 15 pour le rendement. Toujours imité, copié, envié, de par ses 27 filières de BTS et 16 filières de second et troisième cycles qui ont permis à des milliers de jeunes et de travailleurs une insertion sociale réussie en Côte d’Ivoire, dans la sous-région et ailleurs dans le monde, le groupe Loko tient toujours la dragée haute. A la grande satisfaction de son président fondateur José Dominique Loko pour qui la formation est avant tout un vecteur de promotion humaine des femmes et des hommes de toutes origines. Il entend apporter ainsi sa contribution à la relance et la reconstruction post-crise, car se plait-il souvent à le souligner «la formation est un des investissements les plus précieux pour le développement».
MTT
Les résultats de l’évaluation des grandes écoles et universités privées sont connus depuis hier. Au titre des grandes écoles privées, sur les 111 de type BTS évaluées, 20 établissements ont eu une moyenne supérieure à 15 et seules 14 n’ont pu obtenir 10 de moyenne contre 55 lors de l’édition précédente en 2008. Au titre des universités, sur les 18 évaluées, 16 ont obtenu une moyenne supérieure à 10 et seules 2, à savoir le CUP et l’ESPI ont cumulé respectivement une contre performance de 9,70 et 8,80. D’où l’observation «fonctionnement insuffisant» infligée par le comité de pilotage. Livrant les résultats à la presse, le président Abou Karamoko s’est réjoui des performances enregistrées dans l’ensemble, contrairement aux éditions antérieures. «C’est le lieu de féliciter les fondateurs et leurs collaborateurs pour les efforts importants réalisés. Toutefois, des lacunes persistent dans l’animation pédagogique, dans la certification des enseignants (autorisation d’enseigner) et la proportion d’enseignants permanents qui est très faible», a-t-il interpellé. Puis, il a indiqué que des sanctions de fermeture seront prises, à l’encontre des grandes écoles et universités ayant obtenue les mauvaises notes. «Nous sommes en passe d’éradiquer le phénomène des grandes écoles et universités boutiques. C’est pourquoi, des décisions immédiates seront prises contre celles jugées irrecevables par le comité de pilotage. Et ce, pour les motifs d’effectifs insuffisants, de refus de communiquer certaines informations aux inspecteurs, de fermeture volontaire sans informer la tutelle et de relocalisation sans autorisation», a-t-il précisé. Bien avant, Mme Tatiana Aka, vice-présidente et représentant le Patronat des entreprises, a rassuré que le processus d’évaluation s’est déroulé dans la transparence à partir d’un mode opératoire qui exclut, dira-t-elle «toute possibilité de corruption et d’achat de conscience»
LOKO à nouveau sur la plus haute marche de l’excellence
Les éditions d’évaluation des grandes écoles passent et se ressemblent pour le groupe LOKO. Ensemble de 17 établissements d’enseignement supérieur général, technique et professionnel, tertiaire et technologique, avec l’objectif constant d’allier la qualité et l’innovation afin d’assurer à ses étudiants et prescripteurs, les résultats qu’ils attendent d’une institution qui garantit le sérieux et la pérennité de son service d’éducation et de formation, le groupe créé par M. José-Dominique LOKO a ravi à nouveau la palme de l’excellence hier. Après les sacres de 2006, 2007 et 2008, les 25 membres du comité de pilotage lui ont attribué hier la mention « Excellent » avec une moyenne de 19,45 sur 20. Dont respectivement 19,25 de moyenne au titre des infrastructures et l’environnement des études, 20 pour l’équipement, 20 pour la gestion pédagogique, 15 pour le rendement. Toujours imité, copié, envié, de par ses 27 filières de BTS et 16 filières de second et troisième cycles qui ont permis à des milliers de jeunes et de travailleurs une insertion sociale réussie en Côte d’Ivoire, dans la sous-région et ailleurs dans le monde, le groupe Loko tient toujours la dragée haute. A la grande satisfaction de son président fondateur José Dominique Loko pour qui la formation est avant tout un vecteur de promotion humaine des femmes et des hommes de toutes origines. Il entend apporter ainsi sa contribution à la relance et la reconstruction post-crise, car se plait-il souvent à le souligner «la formation est un des investissements les plus précieux pour le développement».
MTT
