ABIDJAN - La Côte d`Ivoire, qui ambitionne d`être le grenier de l`Afrique de l`ouest, a présenté mercredi son Programme national d`investissement agricole (PNIA), d`un coût de 2.002 milliards FCFA (3,93 mds de dollars) pour moderniser le secteur et assurer la sécurité alimentaire.
Le PNIA "vise une croissance agricole de 8,9% pour assurer la sécurité alimentaire en Côte d`Ivoire et contribuer significativement à celle de la sous-région ouest-africaine", a affirmé le ministre ivoirien de l`Agriculture, Mamadou Sangafowa Coulibaly, à l`ouverture d`une rencontre des bailleurs de fonds internationaux prévue pour durer deux jours.
Cette réunion regroupe une dizaine d`institutions, notamment l`Union européenne, l`Organisation des Nations unies pour l`agriculture et l`alimentation (FAO), la Banque africaine de développement (BAD), afin d`obtenir les 2.002 milliards de FCFA indispensables au programme sur cinq ans.
Le PNIA vise également à contribuer à "une réduction de la pauvreté de 50% actuellement à 16% d`ici 2020", a ajouté M. Coulibaly, soulignant que cette réforme devrait aboutir à "la modernisation du secteur agricole du pays peu mécanisé et souffrant du manque d`investissements publics".
"Le PNIA permettra d`accélérer la mutation d`une agriculture familiale, extensive et de subsistance, à une agriculture moderne orientée vers le marché et qui contribue à la sécurité alimentaire du pays et à celle de la sous-région", a déclaré de son côté Musa Mbenga, représentant régional de la FAO.
Le gouvernement ivoirien a promis de "consacrer au moins 10% du budget national au secteur agricole", a annoncé Daniel Kabalan Duncan, ministre des Affaires étrangères.
Le gouvernement ivoirien a entrepris des réformes, en particulier au niveau de la gouvernance de son secteur agricole, afin de le relancer de manière durable, après une décennie de crise dans le pays.
Le PNIA "vise une croissance agricole de 8,9% pour assurer la sécurité alimentaire en Côte d`Ivoire et contribuer significativement à celle de la sous-région ouest-africaine", a affirmé le ministre ivoirien de l`Agriculture, Mamadou Sangafowa Coulibaly, à l`ouverture d`une rencontre des bailleurs de fonds internationaux prévue pour durer deux jours.
Cette réunion regroupe une dizaine d`institutions, notamment l`Union européenne, l`Organisation des Nations unies pour l`agriculture et l`alimentation (FAO), la Banque africaine de développement (BAD), afin d`obtenir les 2.002 milliards de FCFA indispensables au programme sur cinq ans.
Le PNIA vise également à contribuer à "une réduction de la pauvreté de 50% actuellement à 16% d`ici 2020", a ajouté M. Coulibaly, soulignant que cette réforme devrait aboutir à "la modernisation du secteur agricole du pays peu mécanisé et souffrant du manque d`investissements publics".
"Le PNIA permettra d`accélérer la mutation d`une agriculture familiale, extensive et de subsistance, à une agriculture moderne orientée vers le marché et qui contribue à la sécurité alimentaire du pays et à celle de la sous-région", a déclaré de son côté Musa Mbenga, représentant régional de la FAO.
Le gouvernement ivoirien a promis de "consacrer au moins 10% du budget national au secteur agricole", a annoncé Daniel Kabalan Duncan, ministre des Affaires étrangères.
Le gouvernement ivoirien a entrepris des réformes, en particulier au niveau de la gouvernance de son secteur agricole, afin de le relancer de manière durable, après une décennie de crise dans le pays.