Jacques Anouma a affirmé, hier au Plateau, qu’il sera bel et bien candidat contre Issa Hayatou à la prochaine assemblée générale élective de la Confédération africaine de football (CAF).
Jacques Anouma est loin d’être ingrat. Hier, dans ses bureaux au Plateau, il est revenu sur les péripéties de l’assemblée générale extraordinaire de la CAF qui s’est tenue le 03 septembre aux Seychelles et sur l’attitude de l’actuel président de la Fédération ivoirienne de football, Sidy Diallo, qui comme ses homologues du Liberia, du Burundi, du Niger, du Mali et du Sénégal a voté contre la « loi Raouaroua ». Celle-ci stipule que « tout candidat aux élections à la présidence de la CAF, outre les compétences nécessaires, devra être ou avoir été membre du comité exécutif de la CAF». Jacques Anouma a surtout fait cette mise au point : « j’étais aux Seychelles en tant que membre du comité exécutif de la CAF. Je n’y étais pas en campagne. Et je n’ai pas fait de campagne là-bas car il ne s’agissait pas d’une élection Hayatou-Anouma. Je vaux mieux que six voix… » Et, à tous ceux qui doutent encore de ses chances de candidature au poste de président de la CAF, Jacques Anouma annonce : « à partir du 17 octobre, je reprends le combat. Même si un seul pays me soutient, j’irai jusqu’au bout car c’est une question d’éthique ». Pour boucler le chapitre des élections à la CAF, l’ex-président de la FIF promet que même si les textes l’autorisent à aller vers d’autres Fédérations sœurs pour la validation de sa candidature, il attendra la FIF.
Pour finir, Anouma se dit très fier du résultat des Eléphants (4-2) obtenu face aux Lions de la Teranga, samedi au Stade Houphouet-Boigny et demande aux Ivoiriens de rester mobilisés pour la rencontre retour du 13 octobre Eléphants-Lions de la Teranga, comptant pour le tour final retour des éliminatoires CAN 2013.
Guy-Florentin Yameogo
Jacques Anouma est loin d’être ingrat. Hier, dans ses bureaux au Plateau, il est revenu sur les péripéties de l’assemblée générale extraordinaire de la CAF qui s’est tenue le 03 septembre aux Seychelles et sur l’attitude de l’actuel président de la Fédération ivoirienne de football, Sidy Diallo, qui comme ses homologues du Liberia, du Burundi, du Niger, du Mali et du Sénégal a voté contre la « loi Raouaroua ». Celle-ci stipule que « tout candidat aux élections à la présidence de la CAF, outre les compétences nécessaires, devra être ou avoir été membre du comité exécutif de la CAF». Jacques Anouma a surtout fait cette mise au point : « j’étais aux Seychelles en tant que membre du comité exécutif de la CAF. Je n’y étais pas en campagne. Et je n’ai pas fait de campagne là-bas car il ne s’agissait pas d’une élection Hayatou-Anouma. Je vaux mieux que six voix… » Et, à tous ceux qui doutent encore de ses chances de candidature au poste de président de la CAF, Jacques Anouma annonce : « à partir du 17 octobre, je reprends le combat. Même si un seul pays me soutient, j’irai jusqu’au bout car c’est une question d’éthique ». Pour boucler le chapitre des élections à la CAF, l’ex-président de la FIF promet que même si les textes l’autorisent à aller vers d’autres Fédérations sœurs pour la validation de sa candidature, il attendra la FIF.
Pour finir, Anouma se dit très fier du résultat des Eléphants (4-2) obtenu face aux Lions de la Teranga, samedi au Stade Houphouet-Boigny et demande aux Ivoiriens de rester mobilisés pour la rencontre retour du 13 octobre Eléphants-Lions de la Teranga, comptant pour le tour final retour des éliminatoires CAN 2013.
Guy-Florentin Yameogo