A la suite de la réunion des BCN, le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur Hamed Bakayoko, a présidé hier la 13ème Assemblée générale du Comité des chefs de Police de l’Afrique de l’Ouest, organisée à Abidjan, conformément à la Présidence tournante de la CEDEAO, qu’assure la Côte d’Ivoire. Extraits de ses propos !
«La lutte contre le crime organisé devient de plus en plus complexe, en raison de l’apparition de nouvelles formes de criminalité que nos services affrontent quotidiennement dans le cadre de leurs missions de sécurisation des personnes et des biens et de protection des institutions. Ces nouvelles formes de criminalité sont dues, entre autres, à la pauvreté et aux conflits successifs dans nos différents pays qui ont entraîné la prolifération des armes légères et de petit calibre accentuée par la porosité des frontières. Nos différents Etats connaissent sensiblement les mêmes formes de délinquance. Pour réussir la lutte contre ce phénomène, il faut conjuguer nos efforts dans la concertation. Le succès dans cette lutte requiert une bonne formation des agents chargés de l’application de la loi, une stratégie commune de lutte, ainsi que le recours à des spécialisations. C’est tout le sens, je crois, de cette rencontre. Pour sa part, la Côte d’Ivoire est déterminée à participer activement à toutes ces actions qui concourent à la sécurité globale de la sous-région».
KH
«La lutte contre le crime organisé devient de plus en plus complexe, en raison de l’apparition de nouvelles formes de criminalité que nos services affrontent quotidiennement dans le cadre de leurs missions de sécurisation des personnes et des biens et de protection des institutions. Ces nouvelles formes de criminalité sont dues, entre autres, à la pauvreté et aux conflits successifs dans nos différents pays qui ont entraîné la prolifération des armes légères et de petit calibre accentuée par la porosité des frontières. Nos différents Etats connaissent sensiblement les mêmes formes de délinquance. Pour réussir la lutte contre ce phénomène, il faut conjuguer nos efforts dans la concertation. Le succès dans cette lutte requiert une bonne formation des agents chargés de l’application de la loi, une stratégie commune de lutte, ainsi que le recours à des spécialisations. C’est tout le sens, je crois, de cette rencontre. Pour sa part, la Côte d’Ivoire est déterminée à participer activement à toutes ces actions qui concourent à la sécurité globale de la sous-région».
KH